En lançant en Mars 2013, dans un fort élan de rupture, l’acte 3 de la politique de décentralisation, le chef de l’Etat Macky SALL favorisait ainsi l’émergence de territoires viables, compétitifs et porteurs de développement durable.
Cette réforme consacre la refondation majeure de l’action territoriale de l’Etat et traduit l’option de matérialiser l’ancrage de la cohérence territoriale pour une administration simplifiée, de clarifier les compétences entre l’état et les collectivités locales, de développer la contractualisation entre les deux niveaux décisionnels et de moderniser la gestion publique territoriale sous tendue par une réforme résolue des finances locales et une promotion soutenue de la qualité des ressources humaines.
La mise en place du Haut Conseil des collectivités Territoriales, assemblée consultative, traduit ainsi l’impératif de compléter l’architecture de gouvernance territoriale par une institution, siège de la démocratie participative. Cette nouvelle institution vient renforcer le niveau de collaboration entre l’État et les acteurs territoriaux dans la conduite et le suivi de l’évolution des politiques de décentralisation, d’aménagement et de développement du territoire.
Le HCCT contribuera donc à la modernisation de l’action publique territoriale, à l’aménagement équilibré du territoire, à la mobilisation des territoires pour la croissance et l’emploi ainsi qu’au développement des solidarités territoriales et de la démocratie locale.
Il est donc aisé de constater, à la lumière de ce qui précède, que le HCCT jouera un rôle majeur dans le suivi des politiques de décentralisation, d’aménagement et de développement du territoire dont la conception, la coordination et la mise en œuvre restent dévolues au ministère de la gouvernance locale, du développement et de l’aménagement du territoire.
Avec la mise en œuvre prochaine de la phase 2 de l’acte III de la décentralisation portant notamment sur l’érection des pôles territoires, structures pilotes d’un nouveau modèle de développement socio-économique, le Haut Conseil des collectivités Territoriales et le ministère de la gouvernance locale, poseront sans nul doute les bases d’une collaboration fructueuse au profit des territoires.
Un dialogue institutionnel riche en perspectives entre deux institutions à la tête desquelles, deux fortes personnalités aux compétences et leadership reconnus (Ousma Tanor DIENG et Abdoulaye Diouf SARR), qui augure de lendemains meilleurs pour l’amélioration de la compétitivité de l’économie locale.
Moustapha DIOP
APR /Mermoz Sacré Cœur
Cette réforme consacre la refondation majeure de l’action territoriale de l’Etat et traduit l’option de matérialiser l’ancrage de la cohérence territoriale pour une administration simplifiée, de clarifier les compétences entre l’état et les collectivités locales, de développer la contractualisation entre les deux niveaux décisionnels et de moderniser la gestion publique territoriale sous tendue par une réforme résolue des finances locales et une promotion soutenue de la qualité des ressources humaines.
La mise en place du Haut Conseil des collectivités Territoriales, assemblée consultative, traduit ainsi l’impératif de compléter l’architecture de gouvernance territoriale par une institution, siège de la démocratie participative. Cette nouvelle institution vient renforcer le niveau de collaboration entre l’État et les acteurs territoriaux dans la conduite et le suivi de l’évolution des politiques de décentralisation, d’aménagement et de développement du territoire.
Le HCCT contribuera donc à la modernisation de l’action publique territoriale, à l’aménagement équilibré du territoire, à la mobilisation des territoires pour la croissance et l’emploi ainsi qu’au développement des solidarités territoriales et de la démocratie locale.
Il est donc aisé de constater, à la lumière de ce qui précède, que le HCCT jouera un rôle majeur dans le suivi des politiques de décentralisation, d’aménagement et de développement du territoire dont la conception, la coordination et la mise en œuvre restent dévolues au ministère de la gouvernance locale, du développement et de l’aménagement du territoire.
Avec la mise en œuvre prochaine de la phase 2 de l’acte III de la décentralisation portant notamment sur l’érection des pôles territoires, structures pilotes d’un nouveau modèle de développement socio-économique, le Haut Conseil des collectivités Territoriales et le ministère de la gouvernance locale, poseront sans nul doute les bases d’une collaboration fructueuse au profit des territoires.
Un dialogue institutionnel riche en perspectives entre deux institutions à la tête desquelles, deux fortes personnalités aux compétences et leadership reconnus (Ousma Tanor DIENG et Abdoulaye Diouf SARR), qui augure de lendemains meilleurs pour l’amélioration de la compétitivité de l’économie locale.
Moustapha DIOP
APR /Mermoz Sacré Cœur
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