L’attribution de plusieurs grands projets du Chef de l’Etat aux entreprises chinoises ne semble pas agréer, le secrétaire général national du Syndicat des travailleurs de la construction, bâtiments et travaux publics, Diaraf Alassane Ndao.
En effet, ce dernier n’a pas hésité à le dire de vive voix au cours d’une conférence de presse, pour justement, souligne-t-il, attirer l’attention des hautes autorités sénégalaises sur ce phénomène qui risque de plomber sérieusement l’économie de notre pays.
Toute chose qui fonde sa conviction que le Plan Sénégal Emergent (PSE) voulu et souhaité par le Président Macky Sall risque de connaitre de sérieux revers. «Le Président de la République, veut un Sénégal Emergent, mais je peux vous dire qu’avec ce système chinois, la façon dont on traite les travailleurs, l’émergence ne sera pas pour demain», se désole le secrétaire général national du Syndicat des travailleurs de la construction, bâtiments et travaux publics. Parce que selon lui, ces entreprises chinoises n’ont aucun respect du droit des travailleurs sénégalais.
«Nous avons peur parce que, quand ces multinationales chinoises s’implantent en Afrique, plus particulièrement au Sénégal, le code du travail n’est pas respecté, la convention collective n’en parlons pas, les travailleurs sont presque traités comme des esclaves», dénonce-t-il non sans regretter qu’aucune possibilité de faire des revendications n’est accordée au travailleur qui se voit viré s’il ose réclamer ses droits.
Diaraf Ndao est surtout irrité par l’attribution de l’autoroute Ila Touba estimée à plus de 400 milliards aux chinois en lieu et place d’un fractionnement afin de permettre aux entreprises nationales d’en bénéficier. D’où sa plaidoirie en faveur de la préférence nationale et ce d’autant plus qu’on ne voit jamais un chinois fréquenter un marché sénégalais…
En effet, ce dernier n’a pas hésité à le dire de vive voix au cours d’une conférence de presse, pour justement, souligne-t-il, attirer l’attention des hautes autorités sénégalaises sur ce phénomène qui risque de plomber sérieusement l’économie de notre pays.
Toute chose qui fonde sa conviction que le Plan Sénégal Emergent (PSE) voulu et souhaité par le Président Macky Sall risque de connaitre de sérieux revers. «Le Président de la République, veut un Sénégal Emergent, mais je peux vous dire qu’avec ce système chinois, la façon dont on traite les travailleurs, l’émergence ne sera pas pour demain», se désole le secrétaire général national du Syndicat des travailleurs de la construction, bâtiments et travaux publics. Parce que selon lui, ces entreprises chinoises n’ont aucun respect du droit des travailleurs sénégalais.
«Nous avons peur parce que, quand ces multinationales chinoises s’implantent en Afrique, plus particulièrement au Sénégal, le code du travail n’est pas respecté, la convention collective n’en parlons pas, les travailleurs sont presque traités comme des esclaves», dénonce-t-il non sans regretter qu’aucune possibilité de faire des revendications n’est accordée au travailleur qui se voit viré s’il ose réclamer ses droits.
Diaraf Ndao est surtout irrité par l’attribution de l’autoroute Ila Touba estimée à plus de 400 milliards aux chinois en lieu et place d’un fractionnement afin de permettre aux entreprises nationales d’en bénéficier. D’où sa plaidoirie en faveur de la préférence nationale et ce d’autant plus qu’on ne voit jamais un chinois fréquenter un marché sénégalais…
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