Dans le cadre de la mise en œuvre du Projet d’Appui à la Promotion de l’Emploi des Jeunes et des Femmes (PAPEJF), lancé officiellement le 31 mai 2014, grâce à l’appui de la Banque Africaine de Développement (BAD), le ministère de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Construction citoyenne, vient de procéder à la signature de la convention de refinancement d’une ligne de crédit.
Evaluée à 4 milliards de nos francs, cette dernière, qui a été placée sous le contrôle de la Banque des institutions mutualistes d’Afrique de l’Ouest (BIMAO) suite à un appel d’offres effectué dans les règles, se veut un soutien technique et financier qui assurera aux jeunes et femmes des conditions minimales d’expression.
Le plafond des financements fixé à 12 500 000 FCFA
Aussi, le ministre Mame M’baye Niang de préciser que « les exigences de la sélection tout comme les mécanismes de suivi et d’évaluation de cette collaboration naissante se sont inspirés des expériences antérieures en matière de politiques de crédits », avant de déclarer qu’ils « impliquent alors, forcément, des dispositifs adaptés de choix et d’accompagnement des porteurs de projets aux fins de sécuriser les financements et d’atteindre les résultats escomptés ».
Les projets de financement ne requièrent aucune mobilisation d’apport personnel
Sur la même lancée, le ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Construction citoyenne d’affirmer que « cette convention vise à créer les conditions d’une réussite à large échelle des initiatives des jeunes et des femmes en levant plusieurs contraintes objectives », tout en informant que « le taux d’intérêt global (taux de sortie) applicable pour la ligne de crédit PAPEJF est de l’ordre de 7 % au plus pour les crédits de fonds de roulement et de 8% au plus pour les crédits d’équipement ».
Le plafond de ses financements fixé à 12 500 000 FCFA, le PAPEJF, d’après les mots du ministre Mame M’baye Niang, « ne requière dans ses projets de financement aucune mobilisation d’apport personnel de la part du bénéficiaire », ce qui témoigne d’une prise en compte optimale des besoins et conditions d’épanouissement économiques, autant chez les jeunes, que chez les femmes.
Evaluée à 4 milliards de nos francs, cette dernière, qui a été placée sous le contrôle de la Banque des institutions mutualistes d’Afrique de l’Ouest (BIMAO) suite à un appel d’offres effectué dans les règles, se veut un soutien technique et financier qui assurera aux jeunes et femmes des conditions minimales d’expression.
Le plafond des financements fixé à 12 500 000 FCFA
Aussi, le ministre Mame M’baye Niang de préciser que « les exigences de la sélection tout comme les mécanismes de suivi et d’évaluation de cette collaboration naissante se sont inspirés des expériences antérieures en matière de politiques de crédits », avant de déclarer qu’ils « impliquent alors, forcément, des dispositifs adaptés de choix et d’accompagnement des porteurs de projets aux fins de sécuriser les financements et d’atteindre les résultats escomptés ».
Les projets de financement ne requièrent aucune mobilisation d’apport personnel
Sur la même lancée, le ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Construction citoyenne d’affirmer que « cette convention vise à créer les conditions d’une réussite à large échelle des initiatives des jeunes et des femmes en levant plusieurs contraintes objectives », tout en informant que « le taux d’intérêt global (taux de sortie) applicable pour la ligne de crédit PAPEJF est de l’ordre de 7 % au plus pour les crédits de fonds de roulement et de 8% au plus pour les crédits d’équipement ».
Le plafond de ses financements fixé à 12 500 000 FCFA, le PAPEJF, d’après les mots du ministre Mame M’baye Niang, « ne requière dans ses projets de financement aucune mobilisation d’apport personnel de la part du bénéficiaire », ce qui témoigne d’une prise en compte optimale des besoins et conditions d’épanouissement économiques, autant chez les jeunes, que chez les femmes.
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