« Si vous ne réussissez pas à vous entendre avant le 15 Avril, la direction du parti fera un jugement à la Salomon! ». Telles étaient les paroles de Thierno Alassane Sall, superviseur du département de Rufisque lors de sa rencontre avec les différentes tendances de l’APR, il y a tout juste deux semaines. Aucun consensus n’ayant pu être trouvé entre les responsables de BBY et l’APR.
L’ultimatum étant arrivé à terme sans qu'aucun compromis n'ait pu être trouvé, l’ancienne ministre Arame N'doye a été désignée pour diriger les listes du département. La décision n’enchante ni Benno Bokk Yakaar ni l’Apr, et du coup, on assiste à une véritable levée de boucliers dans les différents camps. La presque totalité des membres de Benno Bokk Yakaar de Rufisque ont manifesté leur rejet de la décision. C’est ce que manifeste la responsable des femmes de l’APR de la tendance d’Homère Seck. Aïda Sabara signale par ailleurs que « le parti n’a jamais pris une décision aussi mauvaise pour Rufisque ». Mieux, la responsable apériste fait remarquer qu’Arame N'doye « malgré son statut de grande inconnue au bataillon, a eu déjà à être parachutée ministre et en moins d’un an, a été remerciée pour insuffisance de résultats. C’est seulement longtemps après qu’elle est venue nous rencontrer avec comme argument être juste animée du désir de participer à la marche du parti, mieux ou pire, elle n’a même pas encore installé de comité ».
Même discours dans le Nord de Rufisque où les responsables de l’APR montrent sans ambage, leur désapprobation. De l’avis d’Abdoulaye Sow, responsable de l’APR à Rufisque Nord, « le Benno Bokk Yakaar était déjà dans une dynamique unitaire et nous venons juste de remplir les différents postes de notre comité électoral. Il n’est pas du tout question de revenir en arrière… Nous restons ouverts à tout parti ou mouvement, et toute personne qui le souhaite, peut venir intégrer nos rangs mais pas le contraire ».
A Rufisque Ouest aussi, le rejet d’Arame N'doye comme coordonnatrice de la coalition Benno Bokk Yakaar, est manifeste. Pour Matar N'doye, membre de la coalition BBY, il est temps que la direction du parti rectifie le tir. Car, peste-t-il « des responsables sont là depuis très longtemps, et ont toujours occupé le terrain. Et personne ne voyait l’ombre d’Arame N'doye ». Raison suffisante pour lui faire dire que ces méthodes sont celles d’une autre époque, « le parachutage est révolu et le président Macky Sall, en prônant la rupture, doit déclarer nulle et non avenue cette nomination avant que le Benno n’éclate à Rufisque ». Une situation qui est aujourd’hui en train d’exacerber la division...
L’ultimatum étant arrivé à terme sans qu'aucun compromis n'ait pu être trouvé, l’ancienne ministre Arame N'doye a été désignée pour diriger les listes du département. La décision n’enchante ni Benno Bokk Yakaar ni l’Apr, et du coup, on assiste à une véritable levée de boucliers dans les différents camps. La presque totalité des membres de Benno Bokk Yakaar de Rufisque ont manifesté leur rejet de la décision. C’est ce que manifeste la responsable des femmes de l’APR de la tendance d’Homère Seck. Aïda Sabara signale par ailleurs que « le parti n’a jamais pris une décision aussi mauvaise pour Rufisque ». Mieux, la responsable apériste fait remarquer qu’Arame N'doye « malgré son statut de grande inconnue au bataillon, a eu déjà à être parachutée ministre et en moins d’un an, a été remerciée pour insuffisance de résultats. C’est seulement longtemps après qu’elle est venue nous rencontrer avec comme argument être juste animée du désir de participer à la marche du parti, mieux ou pire, elle n’a même pas encore installé de comité ».
Même discours dans le Nord de Rufisque où les responsables de l’APR montrent sans ambage, leur désapprobation. De l’avis d’Abdoulaye Sow, responsable de l’APR à Rufisque Nord, « le Benno Bokk Yakaar était déjà dans une dynamique unitaire et nous venons juste de remplir les différents postes de notre comité électoral. Il n’est pas du tout question de revenir en arrière… Nous restons ouverts à tout parti ou mouvement, et toute personne qui le souhaite, peut venir intégrer nos rangs mais pas le contraire ».
A Rufisque Ouest aussi, le rejet d’Arame N'doye comme coordonnatrice de la coalition Benno Bokk Yakaar, est manifeste. Pour Matar N'doye, membre de la coalition BBY, il est temps que la direction du parti rectifie le tir. Car, peste-t-il « des responsables sont là depuis très longtemps, et ont toujours occupé le terrain. Et personne ne voyait l’ombre d’Arame N'doye ». Raison suffisante pour lui faire dire que ces méthodes sont celles d’une autre époque, « le parachutage est révolu et le président Macky Sall, en prônant la rupture, doit déclarer nulle et non avenue cette nomination avant que le Benno n’éclate à Rufisque ». Une situation qui est aujourd’hui en train d’exacerber la division...
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