Selon les fichiers obtenus par Libération, la famille libanaise Doumet qui détient des parts dans la Société minière de la vallée du fleuve Sénégal (SOMIVA) est éclaboussée dans les «Panama papers» tout comme leur partenaire Sami Soughayar, le patron de Matelec et de sa filiale Melec qui contrôlent, au Sénégal, les centrales de Kounoune Power et de Tobène.
Matelec tout comme sa filiale apparaissent clairement dans les «Panama papers». D’après les documents consultés par Libération, Melec a été montée grâce à un intermédiaire libanais du cabinet panaméen Mossack Fonseca au cœur d’un scandale mondial d’évasion fiscale.
Il s’agit de firme Abouhamad, Merheb, Nohra, Chamoun, Chedid Law firm qui a son adresse au 22 Hebaro Strt, Warde Blg P.O Box à Beyrouth, au Liban.
Selon nos informations, la firme libanaise - qui a monté pas moins de 30 sociétés citées dans les Panama papers - a ainsi sollicité Mossack qui a constitué, le 26 octobre 2010, Melec Powergen Inc immatriculée dans les Iles vierges britanniques, un paradis fiscal connu. Parmi les bénéficiaires économiques de Melec, on retrouve, sur les documents, Sami Soughayar (Ceo de Matelec), Elias et Michel Doumet (de la famille d’Antoine Doumet) mais aussi un certain Samer Nasr. Et ce n’est pas tout puisqu’à côté de Melec Powergen Inc, les fichiers révèlent l’existence d’une autre entité offshore montée à la requête des mêmes individus. Il s’agit de Melec Sa qui est née huit ans plutôt, le 28 juin 2002, aux Bahamas, un autre paradis fiscal. Cette entité est contrôlée par Elias et Michel du clan Doumet.
Melec n’est que la face visible de l’iceberg. Sa maison mère, Matelec, a été montée dans les Iles Vierges britanniques le 11 juin 2002. Ce, grâce à l’intervention de la même firme basée au Liban. Pourquoi les Doumet ont recouru à des sociétés offshores basées dans des paradis fiscaux ? A-t-on cherché à voir où partent les montants colossaux que brassent ces ressortissants libanais à la Somiva, à Kounoune Power et à Tobène Power ? Libération reviendra sur d’autres révélations des «Panama papers».
Matelec tout comme sa filiale apparaissent clairement dans les «Panama papers». D’après les documents consultés par Libération, Melec a été montée grâce à un intermédiaire libanais du cabinet panaméen Mossack Fonseca au cœur d’un scandale mondial d’évasion fiscale.
Il s’agit de firme Abouhamad, Merheb, Nohra, Chamoun, Chedid Law firm qui a son adresse au 22 Hebaro Strt, Warde Blg P.O Box à Beyrouth, au Liban.
Selon nos informations, la firme libanaise - qui a monté pas moins de 30 sociétés citées dans les Panama papers - a ainsi sollicité Mossack qui a constitué, le 26 octobre 2010, Melec Powergen Inc immatriculée dans les Iles vierges britanniques, un paradis fiscal connu. Parmi les bénéficiaires économiques de Melec, on retrouve, sur les documents, Sami Soughayar (Ceo de Matelec), Elias et Michel Doumet (de la famille d’Antoine Doumet) mais aussi un certain Samer Nasr. Et ce n’est pas tout puisqu’à côté de Melec Powergen Inc, les fichiers révèlent l’existence d’une autre entité offshore montée à la requête des mêmes individus. Il s’agit de Melec Sa qui est née huit ans plutôt, le 28 juin 2002, aux Bahamas, un autre paradis fiscal. Cette entité est contrôlée par Elias et Michel du clan Doumet.
Melec n’est que la face visible de l’iceberg. Sa maison mère, Matelec, a été montée dans les Iles Vierges britanniques le 11 juin 2002. Ce, grâce à l’intervention de la même firme basée au Liban. Pourquoi les Doumet ont recouru à des sociétés offshores basées dans des paradis fiscaux ? A-t-on cherché à voir où partent les montants colossaux que brassent ces ressortissants libanais à la Somiva, à Kounoune Power et à Tobène Power ? Libération reviendra sur d’autres révélations des «Panama papers».
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