Crise universitaire : « Notre préoccupation, ce n’est pas l’insolence d’Idrissa Seck! »


Crise universitaire : « Notre préoccupation, ce n’est pas l’insolence d’Idrissa Seck! »
Contribution
Le peuple sénégalais souverain a fait confiance au Président Macky Sall à plus de 65% à l’élection présidentielle de 2012. Il lui a donné une majorité écrasante à l’assemblée nationale et le plus grand nombre de communes à l’issue des élections locales de juin 2014. Je voudrais le rappeler à Monsieur Idrissa Seck qui est toujours dans le registre du rattrapage politique. Il est important qu’il en soit conscient et je veux le lui rappeler par devoir de loyauté au peuple sénégalais.
Je n’aurais pas éprouvé le besoin d’écrire cette contribution si les propos que Monsieur Idrissa Seck a tenus, ces derniers temps, à travers la presse, ne sortaient pas du politiquement correct. Je n’ai vraiment pas envie de reprendre son langage de palefrenier mais pour la clarté de mon propos je rappelle ce qu’il déclarait après sa visite au domicile de Monsieur Abdoulaye Baldé : « on ne va pas attendre que Macky Sall, qui ne sort de nulle part, vienne se comporter en dictateur. Macky Sall est carrent…Macky est peureux. Macky Sall est le premier virus Ebola que nous connaissons» (L’observateur N° 3270 du Samedi 16 Août 2014). Ces propos irrespectueux n’honorent pas son auteur. Il est évident que l’opposant qu’est Idrissa Seck, autorise la critique facile, le spectaculaire et l’effet d’annonce mais ce statut ne saurait être une licence à l’insolence. Comment peut-on manquer de respect à une institution que l’on convoite ? Non seulement c’est une inconséquence notoire mais c’est également un manque de respect au peuple Sénégal. Il y a lieu, vraiment, de s’interroger sur l’éthique politique de Monsieur Idrissa Seck.
Contrairement à ce qui est dit, le Président Macky Sall n’est pas un anonyme qui ne mérite pas sa place.
Je n’ai pas  besoin de rappeler aux sénégalais que Monsieur Macky Sall a été, successivement, Directeur Général, Ministre, Premier Ministre, Maire, Président de l’Assemblée Nationale avant d’être élu Président de la République du Sénégal. Point n’est besoin donc de dire que le Président Macky Sall est incontestablement un homme d’Etat accompli. Je puis aussi  témoigner, pour avoir été à ses côtés durant des tournées politiques longues et épuisantes, que le Président de l’Alliance Pour la République s’est battu sur le terrain rocailleux de la politique pendant quatre années durant lesquelles il a parcouru 84 milles kilomètres de route, écouté les populations, conçu le programme Yonou Yokkuté pour lutter contre les inégalités sociales. Directeur de campagne de l’ancien Président Wade en 2007, tête de liste de la coalition SOPI aux élections législatives de 2007, numéro 2 du PDS, Président des coalitions Macky 2012 et Benno Bokk Yaakaar à l’élection présidentielle de 2012, le Président Macky Sall est un homme politique de référence.
Je demeure convaincu que ce parcours exceptionnel ne saurait être terni par un homme de la trempe d’Idrissa Seck qui est capable de renier ses convictions d’hier pour ses émotions d’aujourd’hui. Idrissa Seck avait promis en 2011, que s’il accédait au pouvoir, il allait réclamer des comptes, au nom du peuple sénégalais, à tous ceux qui ont eu à gérer des deniers publics. Il avait, à l’époque, cité nommément Monsieur Karim Wade. Il avait même soutenu que pour le cas de Karim Wade, il n’est pas nécessaire d’avoir un procès ; il faut juste le prendre et le mettre en prison. Où est donc passée cette conviction ? Quel crédit peut-on accorder au sieur Idrissa Seck qui soutient aujourd’hui que Karim Wade est blanc comme neige ?
Je voudrais aussi dire, n’en déplaise à monsieur Idrissa Seck, que le Président Macky Sall n’est pas un dictateur, il veut ancrer la culture de la reddition des comptes, combattre la corruption et la délinquance financière. La bonne gouvernance à un prix et ceux qui ont eu à gérer des deniers publics vont rendre compte. Cette demande sociale ne saurait être mise entre parenthèse ou différée pour des raisons politiques.
Pour répondre à cette exigence sociale, il faut avoir confiance à notre justice et respecter l’autorité de l’Etat. Mieux, il faut permettre à la Cour de Répression de l’Enrichissement illicite(CREI) de faire la lumière sur les nébuleuses financières qui ont entouré la gestion de Monsieur Karim Wade. Je pendrais à titre illustratif le jet privé, ce falcon 50, avec lequel Wade-fils voyageait à travers le monde et qui a coûté 12 milliards de francs CFA au contribuable sénégalais. C’est aussi Monsieur Karim Wade qui avait loué, lors du sommet de l’OCI, le bateau Msc Musica à 8 milliards pour seulement une durée de 3 jours. C’est encore lui qui avait acheté deux appareils photos à plus de vingt-six millions de francs CFA. C’est toujours lui qui avait réfectionné son bureau à l’ANOCI pour un coût total de 750 millions de F CFA. Enfin et pas des moindres, c’est lui qui avait acheté des cocotiers à 1,4 milliards de francs CFA.
Les sénégalais veulent des explications et des sanctions contre ce vandalisme !
Monsieur Idrissa Seck, je n’ai pas la prétention de vous donner des leçons mais vous feriez mieux de relever le niveau de votre langage. Un homme politique respectable et de surcroit qui aspire à présider aux destinées du peuple sénégalais, doit être mesuré dans ses propos. Dans une démocratie normale, le débat est centré sur les idées et les arguments et non sur la médisance et la calomnie. Je voudrais alors me permettre de vous rappeler que votre statut d’être humain ne vous autorise point à assimiler une personne au virus Ebola. Certes, le diable vous a tout donné mais ce que vous avez perdu en crédibilité, vous ne pouvez pas le rattraper par ces mots et ces phrases irresponsables qui sortent de votre bouche. La seule façon de relever votre côte de popularité en baisse vertigineuse, c’est de respecter les institutions comme le Président de la République, de restituer l’argent du contribuable sénégalais que vous avez, selon vos dire, volé pour en redistribuer et de prendre en main votre destin politique car jusque-là vous vous positionnez comme une subordonnée du PDS dont vous vous ventez d’être l’actionnaire majoritaire. C’est pourquoi je suis fondé à dire que vous n’êtes pas sérieux quand vous annoncez que « la résistance va s’organiser » pour s’opposer au régime du Président Macky Sall.
Quelle résistance ?
La résistance se conduit par un héros. Or, le seul combat que vous avez vaillamment mené au vu et au su des sénégalais, c’est celui que vous avez conduit contre Wade dans l’affaire des chantiers de Thiès et du contrôle du PDS. La seule image que les sénégalais retiennent, à jamais, de vous, c’est celle d’un obsédé du pouvoir et de l’argent. En 2000, vous partagiez déjà avec votre père Wade, les deniers publics au cours d’une rencontre digne d’un film hollywoodien. Ce festin des charognards a été conté par vous-mêmes, sans vergogne, à travers des CD audio que vous avez rendus publics.
 
Peut-on réellement parler, dans votre cas,  de résistance, d’honneur et de dignité ? Au contraire vous êtes dans le rôle de Juda. Et l’appel au calme que vous avez lancé en direction des étudiants (du Rewmi et du PDS ?) ne vous ressemble pas. Tout porte à croire qu’il s’agit d’une opération suspecte destinée à camoufler votre activité satanique dans la crise à l’université. Votre proposition de médiation ressemble, sans doute, au baiser de Judas à Jésus. Un pyromane ne peut être sapeur-pompier !
Les sénégalais savent distinguer la bonne graine de l’ivraie. Ils l’ont démontré au sieur Idrissa Seck à maintes reprises. C’est l’occasion pour moi de rappeler que les agissements puérils et insolents d’Idrissa Seck ne nous divertiront pas. En écrivant cette contribution, nous avons voulu dénoncer les propos irresponsables de monsieur Seck, démasquer son imposture et lui donner une piqûre de rappel. En réalité, notre préoccupation, ce n’est pas l’insolence d’Idrissa Seck. Le Président Macky Sall travaille sans relâche à la mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent  dont le montant global du financement s’élève à 9 685,6 milliards de FCFA. Ce PSE et la Gestion Axée sur les Résultats doivent, à l’horizon 2035, nous permettre d’avoir une société solidaire dans un Etat de droit. Ceci implique l’instauration de la culture de la reddition des comptes, la restauration de l’autorité de l’Etat et le respect des institutions.
Diamé DIOUF
Conseiller Technique
du Président de la République
Samedi 30 Août 2014




1.Posté par djiby le 30/08/2014 14:29
il est plus urgent de limoger mary taw niane car c est une demande sociale que de ns parler de karime wade je vois vraiment que vs avez peur de idy a chaque fois vs n hesitez pas a lui mettre les batons sur les roues vs n avez rien compris idy est entraint de gagner des points c est a pres que vs allez comprendre au lieu de travailler vous cjercher a enlever des poux ds sa tete il est plus fute que vs et ton soit disant leadeur maky

2.Posté par taphaba le 30/08/2014 14:58
thiey Macky et ses sbires.
tu devrais respecter les sénégalais qui te paient ton salaire de conseiller technique ou non politique du PR en travaillant au lieu de nous bassiner avec des contributions qui visent un opposant qui est dans son rôle d'opposant.
vraiment wa APR niéméwou gnou critique.
liggyeyy lene nguirr yallah.

3.Posté par Bour sine le 30/08/2014 16:29
Tu fais honte aux sereres, Diamétralement Diouf

4.Posté par fan le 30/08/2014 16:42
ne nous fatiguez pas avec ces contributions à la noix! on ne vous a pas élu pour des invectives mais pour régler nos problèmes:il n y a ni eau,ni électricité,ni travail et maintenant y a le virus ebola qui s'invite et vous en êtes là à nous pomper l'air avec idrissa seck,ce n'est pas à lui qu'on demandera des comptes le moment venu:

5.Posté par Éloge le 30/08/2014 17:19
Va travailler way sof gua loll

6.Posté par ndoye le 30/08/2014 18:15
quand il touly les ouailles mbalakh

7.Posté par tamega le 30/08/2014 22:42
tu es le plus grand imbecile du monde incorrecte que vs etez.vs n avez d argument pour vs defendre de cette sale politique de macky sall.

8.Posté par tamega le 30/08/2014 22:45
tu ne merite pas ce poste qu on t a offert comme cadeau de ta majeste.impoli caracterise.ton patron n ose meme pas direr ca a idy

9.Posté par Baks le 30/08/2014 22:49
Monsieur Diame
Tu viens d ou de qui etc. L adage dit qui te prête des yeux de trace un itinéraire du regard. Je comprends que tu veuilles mériter ton salaire mais les préoccupations sont autres
Chômage
Cher été de la vie
Éboula
Gaspillage
Réforme
Etc
Donc ta gueule tu n es qu un petit conseil certainement nostalgique de boulot.

10.Posté par Baks le 30/08/2014 22:49
Monsieur Diame
Tu viens d ou de qui etc. L adage dit qui te prête des yeux de trace un itinéraire du regard. Je comprends que tu veuilles mériter ton salaire mais les préoccupations sont autres
Chômage
Cher été de la vie
Éboula
Gaspillage
Réforme
Etc
Donc ta gueule tu n es qu un petit conseil certainement nostalgique de boulot.

11.Posté par Enfin une preoccupation pour vous ! le 31/08/2014 01:50
"L'injustice est une mère qui n'est jamais stérile et qui produit des enfants dignes d'elle."
Adolphe Thiers.


État de droit, gouvernance vertueuse, transparence, etc. à l’épreuve des faits.
« Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde. »

Un recteur, qui ignorait royalement l’autonomie des structures et les lois du Sénégal, avec une gestion hors norme tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l’Enseignement Supérieur de la Recherche, sans autre forme de procès. Les faits avérés qui lui sont reprochés sont d’une telle gravité qu’il ne doit certainement son « salut » (c’est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que grâce à la transhumance du PDS à l’APR à la 25ème heure. Les « amis » avant la patrie.

LE RAPPORT D’AUDIT QUI MET À NU LA GESTION DE MARY TEUW NIANE
(rapport commandité conjointement par les ministères de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et de l’Économie et des Finances, sur financement de la Banque mondiale)
sur ndarinfo
UGB-de-Saint-Louis-Le-rapport-d-audit-qui-met-a-nu-la-gestion-de-Mary-Teuw-Niane
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« Chaque fois qu’un homme défend un idéal, ou une action pour améliorer le sort des autres ou s’élever contre une injustice, il envoie dès lors une petite vague d’espoir. » Robert Fitzgerald Kennedy

Sauvons nos universités publiques du naufrage.
(leral.net 9 oct. 2012 de Citoyen)

Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l’enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l’UNESCO. Nos institutions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-elles pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.
Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s’évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d’existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l’inaction de l’État.
En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.
A l’État de faire l’état de la gestion de ceux qu’il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.
L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d’enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.
Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d’être juge et parti.
Il n’est jamais trop trad pour bien faire un devoir citoyen.
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"Chaque fois qu'un homme défend un idéal, ou une action pour améliorer le sort des autres ou s'élever contre une injustice, il envoie dès lors une petite vague d'espoir." Robert Fitzgerald Kennedy

«LA JUSTICE DOIT FAIRE LA LUMIERE SUR L’ARGENT INJECTE DANS L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR»
BIRAHIM SECK DU FORUM CIVIL
sur seneplus
la-justice-doit-faire-la-lumiere-sur-l%E2%80%99argent-injecte-dans-l%E2%80%99enseignement-superieur
Publication 16/09/2013

Actuellement, la polémique fait rage entre le Saes et ministère de l’Enseignement Supérieur sur l’utilisation des milliards injectés dans l’enseignement privé pour l’orientation des bacheliers. Qu’est ce que cela vous inspire ?

Le Saes a tout à fait raison de demander des comptes au gouvernement sur l’argent injecté dans l’enseignement supérieur pour la prise en charge des bacheliers orientés dans les universités privées. Les dirigeant du Saes n’ont usé que des dispositions des articles 14 et 15 de la Déclaration des droits de l’Homme et des peuples qui fait partie intégrante du préambule de notre constitution qui prône la bonne gouvernance et la transparence. Il ne devrait y avoir même pas de polémique. Les autorités devraient même rendre compte avant que le Saes ne le demande. Les étudiants également doivent demander des comptes parce que les services sont pour eux.

De plus, mon étonnement est plus grand sur le silence affiché par le gouvernement par rapport aux différents audits publiés sur l’enseignement supérieur qui intéressent les autorités de l’enseignement supérieur et au plus haut niveau. C’est grave et inquiétant au moment où nous dit que l’Etat veut injecter 302 milliards dans le domaine de l’enseignement supérieur.

La justice traque des citoyens sénégalais et quand on produit des audits qui intéressent les membres du gouvernement ou des administrateurs, l’Etat ferme les yeux. Ce sont ces pratiques que les Sénégalais ont combattues. La justice sénégalaise doit également faire la lumière sur l’argent injecté dans l’enseignement supérieur. Les rapports d’audit sont là.

Cependant la Banque mondiale est également interpellée car il ne sera logique ni acceptable que de l’argent soit à nouveau injecté sans que la vérité ne soit connu sur les faits invoqués dans ces rapports d’audit sur l’enseignement supérieur.

Le Saes est bien dans son rôle et il appartient à l’Etat d’éclairer les Sénégalais si on veut avoir un enseignement supérieur de qualité dans un espace de sérénité et de lumière.
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"Ne l'oubliez jamais : celui qui laisse commettre une injustice ouvre la voie à d'autres injustices." Willy Brandt

«MARY TEUW NIANE MENE LE PRESIDENT DROIT AU MUR»
SEYDI ABABACAR NDIAYE, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DU SAES
Oumar KANDE | Publication 23/08/2013
sur seneplus «mary-teuw-niane-mene-le-president-droit-au-mur »

« Seydi Ababacar Ndiaye, continuant son interpellation, demande quelle suite sera donnée à l’audit des universités où il a été noté une mauvaise gestion généralisée, «y compris la gestion du ministre actuel quand il était recteur de l’Ugb».

«Est-ce qu’on peut continuer à faire confiance à des dirigeants qui ont été épinglés par différents rapports ? IL Y A AUSSI UN AUTRE DOCUMENT COMMANDITÉ PAR L’ACTUEL RECTEUR DE L’UGB AU NIVEAU DE LA DÉLÉGATION POUR LA RÉFORME DE L’ETAT ET DE L’ASSISTANAT TECHNIQUE (DREAT), QUI ÉPINGLE LE MÊME MINISTRE.

Ce document à montré que l’actuel ministre de l’Enseignement supérieur, quand il était recteur à l’Ugb, son jeu favori c’était de créer des postes de responsabilité, de direction. Il en avait créé dix-neuf dans une petite université comme l’Ugb et il y avait des conséquences sur la masse salariale car tous ces directeurs avaient l’équivalent d’un million d’indemnité.

Ces manquements devraient édifier qu’il faut faire les bonnes enquêtes et prendre les individus qu’il faut pour les missions importantes.

Quelqu’un qui dirige une simple université et qui a ces types de comportement, on lui confie le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Il y a lieu de se poser des questions», a dit Seydi Ababacar Ndiaye. »



———————-kathior, 24 novembre 2012 00:18 de nettali —————-
DÉCLARATION SAES
La section SAES-UGB s’est réunie en AG ce jeudi 11 octobre 2012 en vue d’évaluer la situation qui prévaut en interne au sein de notre institution universitaire.
Devant le constat :
d’une situation générale de mal gouvernance,
de non fonctionnement des structures et directions démultipliées,
de non respect des textes universitaires,
de mauvaise gestion des deniers publics alloués à l’UGB,
de la dégradation des conditions de travail,
de recrutements massifs et clientélistes de personnels non prévus dans le budget en cours,
de retard dans le paiement des salaires et de retenues sur salaires non versées.
L’Assemblée Générale de Saint-Louis condamne avec la dernière énergie le mode actuel de gestion du Recteur Mary Teuw Niane….

L’Assemblée générale, note avec indignation, désolation et amertume que le Recteur de l’UGB n’a respecté aucun des engagements qu’il avait pris lors de ses dernières rencontres avec le bureau de la section SAES.
Ainsi, l’AG exige :
le respect des textes en vigueur sur le recrutement de personnels enseignants non titulaires,
le paiement sans délai de toutes les sommes dues :
Heures Complémentaires du second semestre,
perdiem de voyage d’études aux ayant droits restants,….
le versement effectif des prélèvements opérés sur les salaires des enseignants au profit de certaines institutions financières,
le paiement effectif des sommes dues aux institutions sanitaires,
L’AG regrette la lecture partielle ou contextuelle que le Recteur fait des textes qui nous régissent. Elle insiste sur l’urgence de la situation désastreuse dans laquelle se trouve l’UGB et INTERPELLE LES POUVOIRS PUBLICS SUR LA NÉCESSITÉ D’AUDITER LES FONDS ALLOUÉS.
Nous restons mobilisés pour la sauvegarde et la défense de notre institution.
Vive l’Université sénégalaise, vive le SAES.
Fait à Saint-Louis le 12 octobre 2012.
L’Assemblée Générale
————-
SYNTUS (Syndicat des travailleurs de l’UGB de Saint louis).
Saint Louis, 22/06/2012.
APPEL A LA COMMUNAUTÉ CONTRE LES DÉRIVES D’UNE GESTION SOLITAIRE.
Depuis quelques années la gestion solitaire, le subjectivisme, le népotisme et les règlements de compte sont monnaie courante a l’UGB. Dans la vie des établissements ( UFR LSH, CCOS…) comme dans la gestion des ressources humaines (recrutement, traitement salarial, nominations) les exemples ne se comptent plus. Retraits de prérogatives, mises en quarantaine et tentatives d’humiliation sont le lot de ceux et celles qui qui refusent de marcher au pas et qui ont osé faire face.
LE SYNTUS FERA FACE COMME PAR LE PASSE.
Nous avons toujours préfère le dialogue social constructif a la confrontation. C’est pourquoi depuis la tentative avortée de licenciement dont certains de nos camarades ont été victimes en 2010 et toutes les tentatives vaines de déstabiliser notre syndicat, nous avons voulu rester sereins et positifs.
Seulement la récidive dans l’irrespect et le manque de considération à l’endroit des travailleurs y compris certains de ces collaborateurs attitres, du Recteur, mettent gravement en péril la gestion démocratique et la justice sociale.
C’est pourquoi sentinelle au service exclusif de l’institution, le SYNTUS est résolu a faire face pour réinstaller la confiance et la joie de travailler ensemble toutes composantes confondues au développement concerté de l’UGB.
VIVE LES SYNTUS, VIVE L’UGB.
L’Assemblée générale
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12.Posté par kocc le 31/08/2014 03:07
Quel torcon pleine de fautes de synthaxe ou a t il apri le francais



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