Le programme « Jangando » (apprendre ensemble en wolof) pour l’avènement d’une éducation de qualité, coordonné par le Laboratoire de Recherches sur transformations économiques et sociales (LARTES) et la COSYDEP, est un programme de mesure de la qualité des apprentissages lancé depuis deux ans et qui consiste à évaluer la qualité de l’éducation dans les 45 départements du Sénégal.
Les enfants trouvés dans les ménages de 6 à 14 ans seront interrogés pour mesurer la qualité de leur éducation sur trois épreuves que sont : la lecture, les mathématiques et la culture générale.
« Chaque enfant est présenté devant deux options, à savoir le français ou l’arabe. Cette évaluation devrait permettre sur la base des résultats obtenus par les enfants, de faire une mesure de la qualité de l’éducation au Sénégal » a expliqué le coordonateur du programme le Professeur Abdou Salam Fall, du laboratoire LARTES.
Cependant des résultats mitigés ont été obtenus sur les enfants en calcul, en mathématiques, en lecture courante, lecture de sons, ce qui n’est pas le cas en culture général.
« Les échecs en calcul, en mathématiques et en lecture devraient nous amener à réviser les contenus des apprentissages et des enseignements et à réviser les méthodes de manière à avoir des contenus qui soient le reflet de l’univers culturel des enfants », a dit le Professeur Fall. Il ajoute qu’il s’agit de réfléchir à des méthodes interactives, dynamiques et qui créent de l’attrait suffisant chez les enfants. Les résultats satisfaisants en culture général ont amené le LARTES à considérer que « l’on est en présence d’enfants avec une réceptivité relativement bonne, une ouverture sur leur monde, un intérêt pour les contenus d’enseignement qui sont en relation avec leur environnement ».
L’opération 2013 a permis de savoir, a conclu le Professeur Fall que si on soustrait les enfants qui ne fréquentent pas les établissements scolaires mais qui ont été interrogés, il y a eu un taux d’échec à l’échelle de 71% au Sénégal.
Les enfants trouvés dans les ménages de 6 à 14 ans seront interrogés pour mesurer la qualité de leur éducation sur trois épreuves que sont : la lecture, les mathématiques et la culture générale.
« Chaque enfant est présenté devant deux options, à savoir le français ou l’arabe. Cette évaluation devrait permettre sur la base des résultats obtenus par les enfants, de faire une mesure de la qualité de l’éducation au Sénégal » a expliqué le coordonateur du programme le Professeur Abdou Salam Fall, du laboratoire LARTES.
Cependant des résultats mitigés ont été obtenus sur les enfants en calcul, en mathématiques, en lecture courante, lecture de sons, ce qui n’est pas le cas en culture général.
« Les échecs en calcul, en mathématiques et en lecture devraient nous amener à réviser les contenus des apprentissages et des enseignements et à réviser les méthodes de manière à avoir des contenus qui soient le reflet de l’univers culturel des enfants », a dit le Professeur Fall. Il ajoute qu’il s’agit de réfléchir à des méthodes interactives, dynamiques et qui créent de l’attrait suffisant chez les enfants. Les résultats satisfaisants en culture général ont amené le LARTES à considérer que « l’on est en présence d’enfants avec une réceptivité relativement bonne, une ouverture sur leur monde, un intérêt pour les contenus d’enseignement qui sont en relation avec leur environnement ».
L’opération 2013 a permis de savoir, a conclu le Professeur Fall que si on soustrait les enfants qui ne fréquentent pas les établissements scolaires mais qui ont été interrogés, il y a eu un taux d’échec à l’échelle de 71% au Sénégal.
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