Pour que les PMA aient une chance de réaliser les objectifs de développement durable d’ici à l’horizon 2030, il faut accélérer la croissance économique. Et ce que la CNUCED montre dans son dernier rapport, c’est qu’il faut mettre l’accent sur la transformation structurelle des économies rurales de ces pays. C’est en tout cas l’avis de Rolf Traeger, du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD). Puisque c’est dans ces zones, dira-t-il, que se concentrent deux tiers de la population des Pays les Moins Avancés (PMA) et aussi c’est dans ces zones que les besoins de lutte contre la pauvreté, l’accès à l’eau, l’assainissement à l’électricité sont plus accrus.
Par ailleurs selon M. Traeger, chef de Section des PMA au Service de la recherche et de l'analyse des politiques de la Division Afrique du PNUD, les pays les moins avancés sont en constante réduction. Cela à cause du rétrécissement de l’économie nationale. « Les PMA ont connu une période de croissance très forte au début du siècle. Mais ceci a été poussé par des conditions internationales trés favorables comme la hausse des produits de base, l’augmentation de la demande internationales pour des produits de base. C’à quoi nous assistons maintenant c’est le rétrécissement de l’économie internationale, une chute vertigineuse et de la quantité demandée dans les marches internationaux et des prix des produits de base. Et cela a un impact sur les économies des pays les moins avancés et c’est pourquoi nous assistons à une constante réduction de ces pays de plus de 7% par an entre 2002 et 2008. Nous en sommes à peine à 5,5% par an. »
Par ailleurs selon M. Traeger, chef de Section des PMA au Service de la recherche et de l'analyse des politiques de la Division Afrique du PNUD, les pays les moins avancés sont en constante réduction. Cela à cause du rétrécissement de l’économie nationale. « Les PMA ont connu une période de croissance très forte au début du siècle. Mais ceci a été poussé par des conditions internationales trés favorables comme la hausse des produits de base, l’augmentation de la demande internationales pour des produits de base. C’à quoi nous assistons maintenant c’est le rétrécissement de l’économie internationale, une chute vertigineuse et de la quantité demandée dans les marches internationaux et des prix des produits de base. Et cela a un impact sur les économies des pays les moins avancés et c’est pourquoi nous assistons à une constante réduction de ces pays de plus de 7% par an entre 2002 et 2008. Nous en sommes à peine à 5,5% par an. »
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