Le tonitruant député Me El Hadj Diouf a profité de son temps de parole lors des débats de la session sur l’orientation budgétaire pour prêcher pour une bonne tenue des toilettes dans les établissements publics.
« Les toilettes dans les écoles publiques sont une catastrophe » dira le député. Et la vieillesse des bâtisses leur fait risquer de tomber sur nos enfants, ajoutera t’il.
« Il reste des secteurs qui méritent plus d’attention », dira-t-il à l’attention du ministre de l’économie et des finances, Amadou Ba.
Le député a aussi félicité le ministre : « vous avez avec le PSE examiné les axes qui permettront à notre pays de rejoindre les pays émergents. Il me plaira de vous féliciter, vous encourager ». Mais ajoutera t-i,l « je vous invite à regarder le secteur des droits de l’homme. J’ai été interpellé par des jeunes avocats désignés d’office pour aller plaider dans les régions périphériques, et comme ils ont été désignés d'office, c’est l’aide juridictionnelle qui doit régler le problème. L’état a déjà mis de l’argent mais ce n’est pas suffisant, on a reformé la justice au Sénégal, chaque tribunal de grande instance organise une cour d’assises ». Donc, dira Me El Hadj Diouf, l’enveloppe prévue par l’Etat n’est plus suffisante...
« Les toilettes dans les écoles publiques sont une catastrophe » dira le député. Et la vieillesse des bâtisses leur fait risquer de tomber sur nos enfants, ajoutera t’il.
« Il reste des secteurs qui méritent plus d’attention », dira-t-il à l’attention du ministre de l’économie et des finances, Amadou Ba.
Le député a aussi félicité le ministre : « vous avez avec le PSE examiné les axes qui permettront à notre pays de rejoindre les pays émergents. Il me plaira de vous féliciter, vous encourager ». Mais ajoutera t-i,l « je vous invite à regarder le secteur des droits de l’homme. J’ai été interpellé par des jeunes avocats désignés d’office pour aller plaider dans les régions périphériques, et comme ils ont été désignés d'office, c’est l’aide juridictionnelle qui doit régler le problème. L’état a déjà mis de l’argent mais ce n’est pas suffisant, on a reformé la justice au Sénégal, chaque tribunal de grande instance organise une cour d’assises ». Donc, dira Me El Hadj Diouf, l’enveloppe prévue par l’Etat n’est plus suffisante...
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