Toute la vérité sur la caisse noire du président de la République

Selon Wikipedia, une caisse noire est une réserve d'argent, le plus souvent illicite, servant à financer des actions souvent illicites comme le versement de pots-de-vin, par exemple pour la conclusion d'une vente. Cette caisse dite noire n'est assujettie à aucun contrôle de la part des pouvoirs législatif et judiciaire. En termes plus simples, le chef de l’état s’en sert comme il lui plait et comme bon lui semble sans rendre compte à personne du moment que la loi le lui permet. En plus de ce caractère subreptice, ces fonds occultes ont pris en quantité des proportions injustement élevées : 60 milliards sous Wade.


Toute la vérité sur la caisse noire du président de la République
Au moment où le Président Macky Sall prône une gouvernance sobre et vertueuse, la question liée aux fonds secrets alloués « iniquement » à la présidence de la république ou à certains hauts gouvernants mérite d’être plus bonnement posée et portée à la connaissance du grand public. Il est révélé que le Président Macky Sall a gardé intact ces fonds pour ne pas dire cette folie à la Wade. 60 milliard, cela fait presque 3% le budget annuel du Sénégal.et 10 fois plus que le budget du « futur défunt sénat ».En plus, elle se révèle l’une des plus élevée de l’Afrique. Dans un pays où l’essentiel est en danger, se serrer la ceinture devrait être le sacerdoce du premier président sénégalais né après l’indépendance et de son régime.

Si ces fonds existaient sous Abdou Diouf, force est de rappeler qu’ils étaient « budgétisés » à hauteur de 4 milliard, Abdoulaye Wade a multiplié ce montant par 15; jamais un président n’a été aussi dilapidateur et gaspilleur des deniers publics. Outre cela, ces fonds souterrains, sous leur forme actuelle, n’existent dans aucun pays « normal » dans le monde ; la dynamique morose du pays (inondations, cherté de la vie, chômage, catastrophe énergétique…) voudrait que ces fonds soient purement et simplement supprimés. Maintenant, si Macky tient loyalement à cette gouvernance sobre et vertueuse tant chantée dans les couloirs du palais, il est primordial de réviser dare-dare cette anomalie qui ne dit pas son nom. Si vraiment ces fonds secrets doivent subsister, ils doivent au moins faire l’objet d’un contrôle strict et impartial; de même, leur montant doit raisonnablement être amoindri.

Toutefois, d’autres personnalités du gouvernement en bénéficient de la manière la plus exorbitante qui soit. Le président de l’assemblée nationale a également sa caisse noire, Moustapha Niass est arrosé de 50 millions par mois, soit 600 millions annuellement. Le premier ministre a également ses fonds politiques.

L’on se souvient du fameux protocole de Reubeuss, de l’aveu ahurissant de Landing Savané portant sur les 30 millions perçus indument chaque mois, et de la façon la plus transnationale, l'inoubliable pourboire octroyé par le pape du Sopi à Alex Segura, un fonctionnaire du FMI…cette liste des sabotages économiques engendrés par les fonds secrets est loin d’être exhaustive. C’est pourquoi, au nom de la rigueur dans la gestion des deniers publics et au vu de la conjecture économique actuelle du pays, il est maintenant temps que le Président de la République pratique cette gouvernance sobre et vertueuse.
Lundi 3 Septembre 2012
Mara




1.Posté par Jeanne le 03/09/2012 18:51
VOICI QUELQUES CONSEILS EFFICACES POUR DEVENIR PLUS RICHES SANS PASSER PAR LA CAISSE NOIRE

2.Posté par mamadou mbaye le 03/09/2012 18:57
QUI PEUT FOURNIR LE FAMEUX PROTOCOLE DE REUBEUS.LE P D S N ETANT PLUS AU POUVOIR.IL N YA PLUS DE RAISON D AVOIR PEUR.SI NON JE N Y CROIRAI PLUS

3.Posté par Madiodio le 03/09/2012 21:05
Trés bel article !

4.Posté par Babacar le 04/09/2012 01:43
Lettre ouverte que j'ai adressée au President Macky Sall le 30 juillet pour poser le problème des fonds politiques. Actualité oblige. Bonne lecture


Excellence Monsieur le President de la République

Si j’ai choisi la forme d’une lettre ouverte, ce n'est pas par manque d'égard à l’endroit de la première institution que vous êtes mais plutôt par souci de partage d’une problématique qui interpelle ma conscience et qui nous concerne tous en dehors de nos convictions et appartenances politiques: Une Assemblée Nationale de Rupture dans le contexte de la Bonne Gouvernance.

Le 25 mars 2012, le vaillant peuple du Sénégal vous a élu - presque plébiscité - Président de la République, validant ainsi Yoonu Yokkute, votre programme de développement économique et social. En cela vous avez été soutenu au deuxième tour de l'élection du Président de la République par les candidats malheureux des coalitions de partis, des partis et des mouvements de la Societe civile dont le seul programme était: "Wade dégage".

Parmi les engagements que vous avez pris devant vos concitoyens, figure en bonne place la promotion de la Bonne Gouvernance qui suppose large participation, inclusion des parties prenantes, transparence, respect de la règle de droit, équité, imputabilité et contrôle ( administratif, juridictionnel et parlementaire ainsi que citoyen pour sacrifier aux exigences de la "société civile")

Ces engagements s'inscrivent dans un vaste programme de changements de paradigmes de la gouvernance des affaires publiques dans la sobriété, la transparence et l'efficacité. Est-ce le temps des ruptures? L'installation de la XI ème vous donne l'occasion d'insuffler à l'actuelle majorité la culture de la Gouvernance vertueuse tout en respectant le principe de la séparation des pouvoirs. Et je voudrais d'emblée rassurer ceux qui seraient tentés de me reprocher de n'avoir pas fait les mêmes propositions au Président Wade qui a beaucoup fait dans ce domaine par la mise en place des outils comme l'ARMP, la CNLCC, la PNBG... dont les rapports et recommandations ont donné satisfaction à nos partenaires techniques et financiers au développement. Mais il faut aller encore plus loin. Et les motivations de mes idées sont à rechercher dans le contexte du renouveau démocratique et d'exigence de transparence qui appelle de ma part prise de conscience, repentance, résilience, créativité et mutation pour survivre au cataclysme du 25 mars. Qui plus est, c'est le President Macky Sall lui même qui a décidé de relever les défis de la Bonne Gouvernance et aller plus loin dans les reformes. Alors, loin de moi tout esprit revanchard ou mesquin encore moins les prémices d'une compromission. Seuls les intérêts du pays me servent de viatique dans mon action politique.

Monsieur le Président de la République,

C'est pourquoi, à quelques heures de l'installation de la nouvelle législature, je voudrais vous proposer trois éléments de rupture qui pourraient constituer le socle d'un plan d'amorce des changements attendus dans la Gouvernance en général et dans la gestion des deniers publics en particulier. Il s'agit notamment du management de la Commission des finances de l'Assemblée nationale, du régime, de la nature, du périmètre des "fonds spéciaux" ainsi que du Contrôle et de la Vérification de l'exécution des dépenses y afférentes.

1. Présidence de la Commission de l'Économie Générale, des Finances, du Plan et de la Coopération Economique

Pour satisfaire à l'exigence de participation et de transparence à l'instar des pays de démocratie libérale avancée comme la France, l'Assemblée Nationale ferait un pas de géant, en choisissant le Président et le Rapporteur Général de la Commission de l'Economie Générale, des Finances du Plan et de la Cooperation Economique parmi les députés issus du groupe le plus représentatif de l'opposition. Cette reforme, si elle se réalisait, constituerait, à n'en pas douter, un gage de transparence, de gestion vertueuse et d'imputabilité dans la gestion des finances publiques. Elle serait une innovation salutaire et attesterait de votre volonté plusieurs fois exprimée de rompre avec les pratiques du passé en impliquant davantage l'opposition dans la formulation de l'autorisation parlementaire, le contrôle de l'exécution et la vérification des actes posés par votre gouvernement dans la mise en oeuvre de la loi de finance. Je vous recommande fortement d'en faire la suggestion aux députés de "la République" qui soutiennent la majorité présidentielle comme vous n'avait pas manqué de leur suggérer de faire de Moustapha Niasse, leur futur Président.

2. Spécialisation des crédits ouverts pour les fonds spéciaux.

Aujourd'hui, aucun parlementaire encore moins le citoyen lambda n'est en mesure de vous donner le montant exact utilisé pour alimenter les "caisses noires" de la Présidence, de la Primature et des Institutions de la République. En plus des Six cents millions de fonds de sécurité de la Primature, on nous parle de plusieurs dizaines de milliards pour la Présidence de la République en plus des crédits ouverts pour les dépenses accidentelles ou les charges communes gérés au niveau du Ministère des Finances et qui donnent lieu souvent à des décrets d'avance.

Pour pallier cette entorse à l'autorisation parlementaire, il est impératif de fixer dans le document budgétaire, dans des chapitres, paragraphes et articles distincts, la nature, le périmètre, le montant et la destination des crédits ouverts d'une part pour les fonds spéciaux destinés à assurer la Sécurité intérieure et extérieure du territoire (COS, DST, DGSE, DSM etc..) et d'autre part ceux des crédits ouverts pour les "fonds politiques". (fonds d'intervention sociale, Fonds de solidarité africaine, fonds spéciaux et autres transferts courants....)

Même si la nécessité des crédits pour financer le renseignement ne se discute pas, il est temps de trouver un mécanisme du contrôle à posteriori (vérification) de l'effectivité de l'exécution et la destination des dépenses y afférentes; mais tout ceci dans un cadre strictement secret impliquant le Chef d'Etat Major particulier du Chef de l'Etat, l'Inspection Générale d'Etat, des parlementaires et la Cour des Comptes.

Par contre, il est impératif de limiter les crédits destinés aux "fonds politiques" à des dépenses strictement nécessaires et encadrées, exclusion faite de leur périmètre, l'enrichissement personnel ou familial, les activités politiques des pouvoirs publics, des ministres et collaborateurs, les activités de la Fondation de la Première Dame et les rémunérations occultes et exemptes d'impôts des membres du Gouvernement, des ministres conseillers ainsi que des membres du cabinet du Président de la République et des autres fonctionnaires membres des cabinets ministériels et des institutions de la République.

Si je n'ai pas apprécié votre décision de réduire le salaire des ministres, c'est parce que je subodorais derrière cette annonce, l'utilisation abusive des fonds spéciaux pour continuer à leur glisser mensuellement une enveloppe qui revêt le caractère d'une rémunération permanente illicite ne reposant sur aucune base réglementaire. C'est pourquoi, afin de mettre à l'abri de certaines tentations, les membres du gouvernement et des cabinets du Président, du Premier ministre ... qui sont assujettis à des obligations multiples, il urge de modifier la réglementation sur la rémunération des agents de l'Etat en opérant une discrimination positive pour les hauts fonctionnaires. Et les crédits votés par l'assemblée nationale ferait l'objet d'un Contrôle comme toutes les dépenses de personnel prévues dans les budgets des ministères et services de l'Etat concernés.

Vous avez ici, Monsieur le Président, une occasion de supprimer cette illégalité en revenant à l'orthodoxie dans l'utilisation des ressources publiques.

Pour le reste des fonds politiques gérés au niveau des Pouvoirs publics dont les projets de budget sont toujours votés sans discussion par convenance parlementaire, ma préférence est la mise en place d'une Commission Nationale de Vérification des dépenses exécutées dans le cadre des fonds spéciaux.


3. Vérification des dépenses exécutées sur les crédits ouverts pour les fonds spéciaux

Pour assainir la gestion des fonds spéciaux - notamment les fonds politiques - et relever avec succès les défis d'une Bonne Gouvernance financière dont vous faîtes l'apologie, il me parait important d'adopter une réglementation plus conforme à l’exigence de transparence et d'imputabilité et instaurer par décret, une commission chargée de vérifier la sincérité des dépenses et leur destination en rapport avec l'autorisation du parlement en matière de Loi organique portant loi de finances.

Cette commission de vérification pourrait être composée de deux magistrats de la Cour des Comptes, de deux sénateurs, de deux députés dont le Président de la Commission de l'Économie Générale, des Finances, du Plan et de la Cooperation Economique et de deux représentants des organisations de la Societe civile les plus représentatives. (Aide Transparency et Forum civil par exemple).

Telles sont, Excellence Monsieur le Président de la République, les idées que m'inspire l'installation de la XI eme Législature dans le contexte de promotion accrue de la Bonne Gouvernance.

D'avance, je voudrais Vous remercier de toute compréhension positive que Vous aurez de cette contribution citoyenne et Vous prie de croire à l'assurance de ma très haute considération.

Babacar Gaye

Ancien Vice-Président de l'Assemblée nationale
Ancien Ministre d'Etat
Président du Conseil Regional de Kaffrine
bgayemp@gmail.com

5.Posté par BA le 04/09/2012 09:58
Je pense MR GAye que la décence voudrait que vous reconnaissez d'abord les errements, le pillage, le banditisme durant les 12 ans de votre passage avant que nous citoyens puisse donner du redit à vos dire. Parce que cela serais de la méchanceté gratuit de kelk1 qui ne c'est pas toujours réveiller de la défaite. Je vous propose comme depuis de discours ceci:

Cher Président, chers citoyens martyrisés pendant 12 ans par notre politique sous la houlette de la seule personne qui a déçu tout un peuple: Abdoulaye Wade. j'assume entièrement ma part de responsabilité dans ce massacre orchestré au profit de nous autres membres du PDS et des allies hypocrites.

Après cela, tout ce que vous avez dit est vrai et on vous l'a toujours demandé mais tous autant que vous êtes, se foutez royalement du malheur du peuple sénégalais. Repentez vous auprès de DIEU et du peuple c'est mieux. Rassure toi et nous avons confiance que le nouveau président ne fera pas comme vous et prendra ce qui est bon de votre lettre et commence d'abord à calmer les vautours de ton parti qui observent les maigres restes du festin qu'ils ont inaugurés depuis 2002 sur le dos de vaillants et honnêtes sénégalais.

6.Posté par FauxCulBabacar le 04/09/2012 10:17
Babacar Gaye, pourquoi tu n'avais pas écrit à Abdoulaye Wade quand il était aux commandes. DEGAGE! FAUX C...

7.Posté par Babacar le 04/09/2012 12:02
Cher Mr Ba, je comprends votre déception et les récriminations que vous faites au régime qui a été envoyé dans l'opposition le 25 Mars 2012. Par contre je ne partage pas tout votre diagnostic et les conclusions que vous en tirez. Permets moi de te rappeler que ma part de responsabilité est entière dans la gouvernance du pays depuis 1982, date de mon engagement résolu et partisan en politique, aussi bien dans l'opposition que durant les douze ans que Me Wade a dirigé ce pays avec comme principal collaborateurnpendant huit l'actuel President avec qui j'ai partagé bcp de choses. Alors le sénégalais qui me connaisent bien savent que j'assume toujours mes responsabilité et la sincérité de ma demarche ne fait l'objet d'aucun doute. Je crois seul le coirage de mes idées aurait du suffire pour convaincre les patriotes serieux et objectifs. Mais enfin, vous me demandez l'impossible: avouer des fautes que j'ai pas commise ou regretter un comportement répréhensible que j'ai pas eu. Je ne suis ni corrompu, ni voleur et je resterai attaché à mon pays quelque soit la contingence politique qui le gouverne. Souffrez que je prenne conscience des insuffisance de la methode de Macky Sall qui voudrait asseoir un rigueur dans la gestion des affaires publiques en général et une gouvernace vertueuse des deniers publics. Si vous relisez objectivement et sans passion ma lettre, vous vous rendrez compte qu'elle n'est motivée que par le souci de faire avancer les choses comme nous les signifier les sénégalais en sanctionnant notre Gouvernance le 25 mars. Je tourne cette page et je voudrais inscrire mon action politique dans la réflexion positive loin des polémique, l'imputation gratuite, l'amalgame et le subjectivisme. C'est à ce debat que j'invite. Le reste ne m'afflige pas. Aucun citoyen ne pourra m'enlever ma part du Senegal.
Quant aux insultes du post 6, j'affiche le mépris absolu. Je m'attendais à de telles réactions incultes et Dieu a ôté de mon cœur toute forme d'affliction. Merci de m'accorder autant de temps pour lire la lettre adressee à mon Président.

8.Posté par BA le 04/09/2012 12:19
Je souhaite vraiment que ce que vous dites soit sincère en vous, le cas échéant je vous assure j'en serais le plus heureux car je vous le dis ici je ne suis pour personne je ne suis que pour les sénégalais.
Mais ce qui me gène vous êtes toujours au PDS (je peux me tromper) qui s'affiche contre la suppression du senat et vous savez très bien que c'est de petit bouts de bois qui font un fagot.
Donc je suis d'accord avec vous, il faut supprimer tout ce qui ne fait pas avancer le quotidien des sénégalais y compris cette caisse noire qui a tant servi a wade.Dites à vos camarade de nous épargner des commentaires comme c'est pour avancer la démocratie qu'il faut ceci cela non stop stop la démocratie sous nos cieux te donne le droit d’être misérable, rancunier, intolérant fasse aux agissements de notre classe politique (pouvoir et opposition) mais ne te donne aucune porte de sortie et c'est dommage. Aussi avec votre sincérité vous savais que j'ai raison.
Concernant les insultes vous avez raison c'est pas ça qui va nous faire avancer Dieu sait mieux reconnaitre les siens.

9.Posté par Babacar le 04/09/2012 13:20
Monsieur Ba, je suis toujours du PDS et j'assume pleinement les positions de mon parti même quand j'ai des idées la dessus. C'est ça le militantisme.

- Militer, c'est manifester par l'action son appartenance à une vaste identité collective, et, en ce sens, c'est abdiquer volontairement son libre arbitre pour se conformer à des prescriptions collectives.
- Militer, c'est assumer, dans ses actions et dans ses pratiques, une identité qui n'est pas la sienne propre, mais qui est partagée avec les autres militants dans la réalisation d'un projet collectif.
- Militer, enfin c'est n'avoir de loi que collectivement assumée : c'est taire, dans l'action, les réserves que l'on a pu avoir lors de la décision, même si l'on y a participé, pour ne plus laisser voir que l'expression de l'action collective ».

J'entends demeurer militant et me battre pour que mes opinions, convictions et projets triomphent des autres membres du groupe (Parti ou Sénégal) auquel j'appartiens à force de discuter, de persuader et de convaincre. C'est ça l'esprit démocratique qui reconnait par essence l'autre position.

Pour l'instant, mon ambition est de relooker ma famille politique pour le meilleur de mon pays. C'est pourquoi, jusqu'en 2019, je contribuerai à réorienter la Methode de Macky si j'y décèle des insuffisances. Priez qu'il ait le temps et l'humilité de me lire.

10.Posté par Le citoyen le 04/09/2012 14:00
Macky, en déhors de toutes ces guerres inutiles de politiciens en recherche de notoriété, votre honneteté et votre bonne foi sont interpellées! la suppression de la caisse noire comme son nom l'indique devrait étre ton chantier le plus éclairé! si tu prétend porter la bonne gouvernance en bandouliére!

11.Posté par Ba le 04/09/2012 14:26
Je vous comprends parfaitement Mr Gaye et c'est bien dit. donc pour le Sénégal prions que le bon DIEU nous donne une race de politiciens soucieux des intérêts du peuple et qui savent que DIEU les VOIT il Demandera des comptes et IL Punira pour une éternité la confiance déçue de tout un peuple sacrifié sous autel du clientélisme et maslat politique. je sais que moi je ne peut adhérer à aucun parti si les gens qui le compose ne sont pas sincères et ne se disent pas la vérité. JE vous souhait du courage car ce n’est pas gagné.
En tout cas merci de cet échange ca a été très instructif pour moi.


12.Posté par yomoling le 14/09/2012 14:24
Ecoutez le régime de wade est parti ce que nous demandons surtout est que macky récupère nos deniers et pas autre chose
Secondo Macky doit réduire sa caisse noire et celle de l'assemblée nationale,la société civile doit travailler sur ça
cet argent peut servir à construire des forages, créer des PME pour les jeunes,aider le troisème âge, créer des cooparatives agricoles et les encadrer pour les paysans, doter les étudiants de campus modernes et de chambres suffisantes, recruter des enseignants dans le superieur, faciliter l'accès aux soins de santé, construire des logements sociaux, structurer le secteur informel, etc.

salam

13.Posté par serpent noir le 19/09/2012 13:00
Ces gens du PDS ! enfin le sang est remonté dans leurs cervelles. Ils arrivent à réfléchir maintenant que l'oxygène a quitté leurs pantalons et leurs bouches. lorsqu'on a lu Machiavel et que l'on sait de quoi ils sont capable (mensonges) pour s'accaparer à nouveau du pouvoir, on peut vraiment douter de la sincérité des propos du texte ci dessus.



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