Certes, Touba demeure l’éternel refuge pour tout fidèle en quête de sève spirituelle, pour la quiétude de son âme et du levain mystique, qui agrémente sa vie religieuse.
Mais, Touba est tant traumatisé par l’incursion d’une grappe de politiciens à fort potentiel mafieux et rompue à la délinquance et déprédation financière qui, à force de manipulation et de manœuvre dolosive ont fini de mettre les autorités religieuses dans tous leurs états.
Puisqu’il est mal vu et vraiment déplorable d’assister que Touba soit épinglé en 2008, par un rapport de (GIABA) le groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’ouest.
Les dignitaires religieux ont aussi très mal perçu voire vécu, que Touba soit le lieu du théâtre d’une traque sans précédent des rats de la République, qui infestent ses concessions. Ainsi, cette horde endiablée de pilleurs de ressources publiques, ayant bu le calice jusqu’à la lie par ses agissements délictuels, utilise outrancièrement le nom de Touba, comme son refuge. Les dirigeants de Touba new-look sous la férule éclairée de Cheikh Sidy Al Mokhtar, Khalife général des mourides et de son porte parole devraient tout faire pour se débarrasser de ces vermines avec leurs acolytes et complices, qui ternissent le mouridisme par leurs actions illicites et cherchent à faire de Touba, leur sanctuaire de contrebande. Si on se le rappelle bien, Serigne Abdou Lahad Mbacké avait parfaitement réussi à nettoyer la ville sainte de Touba, en la débarrassant de toute cette racaille. Ainsi, la même opération salutaire devrait être renouvelée par le nouveau Khalife pour que Touba et le mouridisme ne soient mêlés ni de près ni de loin à tout ce qui n’est licite. C’est le vœu de l’ensemble des mourides qui sont demeurés attachés fondamentalement aux enseignements de Serigne Touba, Khadimou Rassoul pour la ville de Touba conserve son caractère ou statut de sainteté.
Parmi les Icares que le soleil de Touba a brûlés, on peut parfaitement bien noter –avec brin de regret – Me Madicke Niang, qui a porté et continue de porter beaucoup de tort à Touba et à la communauté mouride tout entière, de par ses menées, manœuvres et manipulations de tous ordres, dans la sphère religieuse. Ces gens ont fini par exaspérer toute la communauté mouride, à force d’user de leurs attachements, comme un viatique.
Serigne Fallou Dieng
Mais, Touba est tant traumatisé par l’incursion d’une grappe de politiciens à fort potentiel mafieux et rompue à la délinquance et déprédation financière qui, à force de manipulation et de manœuvre dolosive ont fini de mettre les autorités religieuses dans tous leurs états.
Puisqu’il est mal vu et vraiment déplorable d’assister que Touba soit épinglé en 2008, par un rapport de (GIABA) le groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’ouest.
Les dignitaires religieux ont aussi très mal perçu voire vécu, que Touba soit le lieu du théâtre d’une traque sans précédent des rats de la République, qui infestent ses concessions. Ainsi, cette horde endiablée de pilleurs de ressources publiques, ayant bu le calice jusqu’à la lie par ses agissements délictuels, utilise outrancièrement le nom de Touba, comme son refuge. Les dirigeants de Touba new-look sous la férule éclairée de Cheikh Sidy Al Mokhtar, Khalife général des mourides et de son porte parole devraient tout faire pour se débarrasser de ces vermines avec leurs acolytes et complices, qui ternissent le mouridisme par leurs actions illicites et cherchent à faire de Touba, leur sanctuaire de contrebande. Si on se le rappelle bien, Serigne Abdou Lahad Mbacké avait parfaitement réussi à nettoyer la ville sainte de Touba, en la débarrassant de toute cette racaille. Ainsi, la même opération salutaire devrait être renouvelée par le nouveau Khalife pour que Touba et le mouridisme ne soient mêlés ni de près ni de loin à tout ce qui n’est licite. C’est le vœu de l’ensemble des mourides qui sont demeurés attachés fondamentalement aux enseignements de Serigne Touba, Khadimou Rassoul pour la ville de Touba conserve son caractère ou statut de sainteté.
Parmi les Icares que le soleil de Touba a brûlés, on peut parfaitement bien noter –avec brin de regret – Me Madicke Niang, qui a porté et continue de porter beaucoup de tort à Touba et à la communauté mouride tout entière, de par ses menées, manœuvres et manipulations de tous ordres, dans la sphère religieuse. Ces gens ont fini par exaspérer toute la communauté mouride, à force d’user de leurs attachements, comme un viatique.
Serigne Fallou Dieng
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