Monsieur,
De mon point de vue, vous venez de réagir à l'article de Mr Babacar Justin Ndiaye sans en saisir la véritable portée.
Tout d'abord, ce dernier est l'un des meilleurs spécialistes en stratégie politique de la sous-région. Grand habitué de ses contributions (entre autres) , je considère que ses analyses sont à chaque fois d'une finesse absolue. Dès lors, mon incrédulité est à comble devant vos lignes l'accusant de bassesses intellectuelles.
Monsieur, le travail de Mr Ndiaye consiste à produire des analyses à même d'aider ses lecteurs à comprendre les processus de décisions politiques. En l'occurrence ici, il fournit les clés pour saisir l'enjeu de cette nomination future et étaye tous les critères qui rentreront en ligne de compte. Mr Ndiaye ne suggère jamais dans son article qu'il serait inopportun de nommer Mr Kane. Au contraire, il dit que ce serait "à tort" s'il devait être écarté du fait de son ethnie.
Cependant, même si le point est éminemment sensible (la preuve!) je lui suis gré de le soulever. Ce qui m'intéresse, c'est encore une fois de comprendre tout ce qui va rentrer en ligne de compte dans le cadre de ce choix .
Comme vous Monsieur, je suis heureux que mon pays, le Sénégal, soit apaisé d'un point de vue ethnique. Nous savons tous les drames (en Afrique notamment) dus aux confrontations à ce niveau. C'est un acquis et une chance considérables. Rassurez-vous cependant, l'article de Mr Ndiaye ne constitue aucunement un danger pour la stabilité de notre pays. Loin de là.
En ce qui me concerne, l'ethnie du futur CEMGA n'a aucune espèce d'importance. Par contre, il me plaît de comprendre les tenants du processus et d'être au fait des quelques éléments que les conseillers du Pr Macky Sall ne manqueront pas de déposer sur sa table de président pour l'aider à faire le meilleur choix possible pour ce poste stratégique .
Au travers de son article, Mr Babacar Justin Ndiaye vient de m'y aider avec brio. A ce niveau, on est dans la science et la stratégie politique. Votre réaction est d'ordre épidermique. Donc sans objet.
Bien à vous,
Jean MBAYE
De mon point de vue, vous venez de réagir à l'article de Mr Babacar Justin Ndiaye sans en saisir la véritable portée.
Tout d'abord, ce dernier est l'un des meilleurs spécialistes en stratégie politique de la sous-région. Grand habitué de ses contributions (entre autres) , je considère que ses analyses sont à chaque fois d'une finesse absolue. Dès lors, mon incrédulité est à comble devant vos lignes l'accusant de bassesses intellectuelles.
Monsieur, le travail de Mr Ndiaye consiste à produire des analyses à même d'aider ses lecteurs à comprendre les processus de décisions politiques. En l'occurrence ici, il fournit les clés pour saisir l'enjeu de cette nomination future et étaye tous les critères qui rentreront en ligne de compte. Mr Ndiaye ne suggère jamais dans son article qu'il serait inopportun de nommer Mr Kane. Au contraire, il dit que ce serait "à tort" s'il devait être écarté du fait de son ethnie.
Cependant, même si le point est éminemment sensible (la preuve!) je lui suis gré de le soulever. Ce qui m'intéresse, c'est encore une fois de comprendre tout ce qui va rentrer en ligne de compte dans le cadre de ce choix .
Comme vous Monsieur, je suis heureux que mon pays, le Sénégal, soit apaisé d'un point de vue ethnique. Nous savons tous les drames (en Afrique notamment) dus aux confrontations à ce niveau. C'est un acquis et une chance considérables. Rassurez-vous cependant, l'article de Mr Ndiaye ne constitue aucunement un danger pour la stabilité de notre pays. Loin de là.
En ce qui me concerne, l'ethnie du futur CEMGA n'a aucune espèce d'importance. Par contre, il me plaît de comprendre les tenants du processus et d'être au fait des quelques éléments que les conseillers du Pr Macky Sall ne manqueront pas de déposer sur sa table de président pour l'aider à faire le meilleur choix possible pour ce poste stratégique .
Au travers de son article, Mr Babacar Justin Ndiaye vient de m'y aider avec brio. A ce niveau, on est dans la science et la stratégie politique. Votre réaction est d'ordre épidermique. Donc sans objet.
Bien à vous,
Jean MBAYE
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