DAKARACTU.COM Depuis plusieurs jours, Idrissa Seck, leader de Rewmi, se heurte à tous les obstacles imaginables pour tenir son congrès d'investiture. Prévu le 4 janvier, cet évènement conçu comme une démonstration de force populaire par le leader de Rewmi est l'objet d'incertitudes quant à sa tenue. Le régime a tout fait et continuera de tout faire pour l'empêcher. Dernier exemple de tracasserie en date, l'intimidation de l'administration du Cices afin de la dissuader de louer à Idy sa grande salle pour accueillir la cérémonie.
En désespoir de cause, après plusieurs tentatives manquées, la direction de Rewmi s'est rabattue sur le stade Amadou Barry de Guédiawaye qui a accepté à l'arrachée d'accueillir son congrès. Idrissa Seck et ses collaborateurs ne se font pas d'illusions pour autant. Ils savent que jusqu'à la dernière minute le régime fera tout ce qui est en son pouvoir pour saboter leur congrès. Forts de cette certitude, ils ont photocopié l'autorisation du stade en plusieurs exemplaires qu'ils ont remis aux avocats de leur parti. Avec une consigne ferme, utiliser tous les moyens légaux pour empêcher une interdiction ou un sabotage à la dernière minute.
Idrissa Seck n'entend pour rien au monde renoncer à ce congrès qui est un moment important de sa stratégie de campagne électorale. Il compte, à cette occasion, remporter une manche de la guerre psychologique, en infligeant un démenti à ceux qui s'obstinent à affirmer qu'il n'est plus populaire.
Mobiliser une foule nombreuse dans le cadre d'un congrès à l'américaine ne peut que booster le moral de ses troupes et redonner des raisons de le rejoindre aux sceptiques. Un évènement de cette nature ne peut pas ne pas avoir lieu. Quoi qu'il lui en coûte, Rewmi a décidé de le tenir.
En désespoir de cause, après plusieurs tentatives manquées, la direction de Rewmi s'est rabattue sur le stade Amadou Barry de Guédiawaye qui a accepté à l'arrachée d'accueillir son congrès. Idrissa Seck et ses collaborateurs ne se font pas d'illusions pour autant. Ils savent que jusqu'à la dernière minute le régime fera tout ce qui est en son pouvoir pour saboter leur congrès. Forts de cette certitude, ils ont photocopié l'autorisation du stade en plusieurs exemplaires qu'ils ont remis aux avocats de leur parti. Avec une consigne ferme, utiliser tous les moyens légaux pour empêcher une interdiction ou un sabotage à la dernière minute.
Idrissa Seck n'entend pour rien au monde renoncer à ce congrès qui est un moment important de sa stratégie de campagne électorale. Il compte, à cette occasion, remporter une manche de la guerre psychologique, en infligeant un démenti à ceux qui s'obstinent à affirmer qu'il n'est plus populaire.
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