Ils ont tout faux ceux qui tentent de qualifier cette coalition d’anachronique. C’est ignorer même la genèse et la gestation de cette entité politique (ô combien déterminante dans la victoire finale du candidat MackySall à la présidentielle de 2012), que de penser que Macky 2012 est « dépassée ».
Je plains les tenants de tels propos qui veulent limiter cette coalition à sa seule dimension sémantique. Ils prennent le signifiant (si) pour le signifié (sé) sans aucune objectivité phonétique. Je comprends aussi ceux qui veulent sa dissolution hic et nunc, parce que ne connaissant pas les péripéties stratégiques de sa création, des entrailles même de Benno SiggilSenegal.
Les partis membres de Macky 2012 ont toujours eu le courage de défendre la candidature plurielle au sein de BSS, au moment où les ténors de cette organisation primaire snobaient la présence d’un « jeune candidat aux ambitions surdimensionnées ».
Les leaders de ces partis aujourd’hui voués aux gémonies, ont subi les quolibets et autres remontrances des membres de partis croyant jadis, « grands et trés représentatifs ».
Je me rappelle de cette attaque acerbe de AdjiMberganeKanouté( UDSI de Zahra IyaneThiam à l’époque proche du bloc socialiste) contre le Professeur Assane Dia de l’ADS/PC, parce ce dernier voulait que l’on prenne en compte les positions des partis favorables à la candidature plurielle, et que cette disposition soit mentionnée dans le rapport final ; c’était lors d’un séminaire de Benno à l’hotelNgorDiarama.
Au sortir de ce séminaire, ou la question de la candidature unique n’avait pas fait l’unanimité, les 32 partis signataires de la résolution ont voulu exclure les récalcitrants et c’estMasseneSéne en personne qui fit le proposition. Pire, le coordonnateur des cadres de l’AFP de l’époque, convoqua une réunion ou publiquement j’entendis de sa bouche prononcer le vocable« Benno 32 », faisant allusion aux partis membres signataires de la résolution intégrant la candidature unique. Ce jour là, nous sortîmes de la salle parce que considérant qu’il y avait là une volonté manifeste de tenir à l’écart les partis proches de MackySall. Aujourd’hui ce cadre est membre du Gouvernement de Abdoul Mbaye.En plusieurs endroits et à de nombreuses circonstances les partis fondateurs de Macky 2012 ont bravé mépris et humiliation de la part d’adversaires d’hier devenus aujourd’hui des alliés de circonstance. Autre exemple et pas des moindres, au moment de la mise en place du comité de veille chargé de faire le suivi de la mission d’audit du fichier électoral, Benoît Sambou et moi avons étés sciemment écartés de la liste des candidats, au profit des représentants de l’AFP, du PS, de la LDet d’autres partis du « Benno 32 ».Ils n’ont jamais cru au Président et ne lui voueront jamais loyauté. Seuls les alliés de l’APR osaient s’afficher derrière le Président MackySall et le soutenir dans ses positions tranchées au sujet des assises nationales.
A ce moment où se trouvaient les adeptes de la dissolution de Macky 2012, à l’instar de AronaNdof Diouf, jadis candidat utopique que je qualifiais de « sénéwebique », tellement le gars « cranait » à longueur d’année sur la toile. Où se trouvait un certain Geum Sa Bopp ? Ma foi ! Je préfère Geum Sa Rew.
Bref revenons en aux faits historiques pour coller à la chronologie. La création de Macky 2012 était mue par un souci de veille et d’alerte, pour parer à toute éventualité au cas ou on décidait de faire éclater la coalition BSS ; les partis réunis autour de l’APR ne voulaient pas endosser la responsabilité d’une cassure, tout en voulant garder intactes leurs chances, à la conquête des suffrages des sénégalais. Plusieurs rencontres ont été menées, des stratégies élaborées dans la plus grande discrétion, etavec une efficacité notoire.Après l’échec de la désignation d’un candidat consensuel unique au sein de BSS, la nouvelle entité eut les coudées pour dérouler son plan d’action.
Sous la coordination de Seydou Gueye, le groupe de plénipotentiaires des partis membres a abattu un travail titanesque d’organisation et d’élargissement de la coalition mais aussi mené une action de propagande assidue pour son ancrage dans la mentalité des sénégalais.
Macky 2012 a imposé à l’opinion sénégalaise que le meilleur candidat était MackySall. C’est là ou se trouve tout le mérite des partis considérés aujourd’hui comme insignifiants. On nous dit que ces partis ne représentent rien, que leur dirigeants ne sortent que pour réclamer des postes. Je m’inscris en faux contre ceux qui tiennent de tels propos. Ces partis représentent le courage, la témérité parce qu’ils ont osé s’afficher avec MackySall au moment où ce dernier était considéré comme un paria. Ils représentent la loyauté, l’espoir.
Ces partis ne demandent pas que des postes, quand bien même ils ont le droit de le faire comme tout sénégalais qui veut servir son pays ; Ils réclament plus que des postes. Ils réclament leurs postes. Ces partis veulent de la considération à leur égard. Il est normal d’être frustré quand on constate que les gens veuillent asseoir l’opportunisme sur le fauteuil du mérite.Nous avons combattu pour l’éradication d’un système et d’une certaine façon de faire de la politique. Nous avons combattu l’injustice, la suffisance, l’ostentation. Malheureusement, ces anti valeurs commencent à ressurgir. C’est avec désolation que nous constatons aujourd’hui l’attitude de certains de nos alliés qui se croient déjà « arrivés ». Ils sont en train de refaire sans s’en rendre compte, les mêmes erreurs que ceux qui ont été déboulonnés un soir de 25 mars 2012.
Les premiers à mépriser la coalition Macky 2012 osons le dire, se comptent au sein de l’APR.Ce parti avec qui la coalition à cheminer pendant les moments difficiles, donne plus de considération à Benno qu’à ses alliés d’hier. Réalisme politique me dira-t-on ; mais pensons aussi à l’avenir politique. Ou se trouve aujourd’hui l’intérêt politique des nouveaux tenants du pouvoir ? C’est dans sa jeunesse, à qui rien ne lui sera donné. Tout ce qu’il obtiendra sera gagné de haute lutte. Ce serait utopique que de penser que Benno BokkYaakar faciliterait la tâche au Président MackySall pour l’obtention d’un second mandat. On est tous d’accord qu’il faut du respect et de la considération à nos ainés de la classe politique, mais cela n’empêche que tout un chacun a le droit de donner son point de vue sur la gestion des affaires du pays.
La pensée évoquée par la coalition sur le désistement des alliés pour la réussite du Président MackySall a été dévoyée, parce que sortie de son contexte. Cette idée va en droite ligne de la proposition d’une grande alliance politique proposée par Mme Aminata Touré, lors du 7° congrès ordinaire de la LD tenu au CICES les 6 et 7 juillet 2013. A cette proposition aucune contestation n’a été entendue ; au contraire elle a été très bien accueillie par le Président Moustapha Niasse présent dans la salle, mais aussi par le nouveau remplaçant du Professeur Abdoulaye Bathily en la personne de Mamadou Ndoye, Secrétaire Général élu de la LD.
Mais que signifie une grande alliance politique dans son essence et son esprit même ? Une direction politique unifiée, un programme commun, un candidat unique, et pour une durée déterminée. Il est clair que le Président MackySall ne peut pas accomplir sa mission en un seul mandat ; l’accepter c’est être réaliste politiquement. Peut être que la coalition Macky 2012 a touché là ou ça fait mal. Nous acceptons d’être le bouclier et le baisse dos du Président Sall. En responsable soucieux de la stabilité du pays, il se devait de prendre position et faire savoir qu’il tient au respect qu’il a toujours voué à ses alliés politiques. Se taire devant cette situation équivaudrait à entretenir l’idée d’un tireur de ficelle. Loin de là ! Le seul souci actuel du Chef de l’Etat c’est la satisfaction des attentes des sénégalais.
Aux oiseaux de mauvais augures qui crient à tout bout de champs qu’il faut dissoudre la coalition, je vous dis que vous perdez votre temps, parce que le Président y tient. En dehors du fait qu’elle représente sa famille politique la plus proche, c’est aussi dans cette coalition que vous trouverez les plus loyaux compagnons de MackySall, ses plus farouches défenseurs. La coalition Macky 2012 est aujourd’hui plus que jamais déterminée à rendre visible les réalisations du gouvernement ; à faire face aux détracteurs de mauvaise foi et à travailler pour l’obtention d’un second mandat. Pour ce, elle a besoin d’être au centre, au moins, à la périphérie du pouvoir, pour mener à bien sa mission. L’exercice du pouvoir, mais l’apprentissage du pouvoir est nécessaire pour tous ces jeunes combattants de la démocratie qui ont placé leur confiance en la personne du Président MackySall.
La coalition Macky 2012 a été une belle trouvaille du Président. Il lui appartiendra d’en donner les nouvelles orientations. Ceux qui parlent par presse interposée n’ont aucune prise ou connaissance de la marche de cette entité politique très stratégique. Comme évoqué plus haut, les partis fidèles au Président se comptent au sein de cette coalition considérée comme le petit poucet du landerneau politique. Petit sera grand un jour !
Nous refusons d’être enterré par des souteneurs de dernière heure, mue que par leur ambition personnelle. Sans conteste la coalition Macky 2012 a fini de convaincre qu’elle a du mérite, on lui doit aussi respect et considération. Ses leaders ne développent aucun complexe d’infériorité, loin de là, ils veulent montrer aux sénégalais que seul le travail et ils battront avec tous les moyens légaux disponibles pour donner un second mandat au Président MackySall.
Pour toutes raisons, nous refusons Monsieur Le Président d’enterrer MACKY 2012 avant 2017, date à laquelle sortira, s’il plait à Dieu une nouvelle trouvaille révolutionnaire.
Mamadou Thiam
Membre du MODEL, Secrétaire National chargé des TIC
et du Marketing Politique
Je plains les tenants de tels propos qui veulent limiter cette coalition à sa seule dimension sémantique. Ils prennent le signifiant (si) pour le signifié (sé) sans aucune objectivité phonétique. Je comprends aussi ceux qui veulent sa dissolution hic et nunc, parce que ne connaissant pas les péripéties stratégiques de sa création, des entrailles même de Benno SiggilSenegal.
Les partis membres de Macky 2012 ont toujours eu le courage de défendre la candidature plurielle au sein de BSS, au moment où les ténors de cette organisation primaire snobaient la présence d’un « jeune candidat aux ambitions surdimensionnées ».
Les leaders de ces partis aujourd’hui voués aux gémonies, ont subi les quolibets et autres remontrances des membres de partis croyant jadis, « grands et trés représentatifs ».
Je me rappelle de cette attaque acerbe de AdjiMberganeKanouté( UDSI de Zahra IyaneThiam à l’époque proche du bloc socialiste) contre le Professeur Assane Dia de l’ADS/PC, parce ce dernier voulait que l’on prenne en compte les positions des partis favorables à la candidature plurielle, et que cette disposition soit mentionnée dans le rapport final ; c’était lors d’un séminaire de Benno à l’hotelNgorDiarama.
Au sortir de ce séminaire, ou la question de la candidature unique n’avait pas fait l’unanimité, les 32 partis signataires de la résolution ont voulu exclure les récalcitrants et c’estMasseneSéne en personne qui fit le proposition. Pire, le coordonnateur des cadres de l’AFP de l’époque, convoqua une réunion ou publiquement j’entendis de sa bouche prononcer le vocable« Benno 32 », faisant allusion aux partis membres signataires de la résolution intégrant la candidature unique. Ce jour là, nous sortîmes de la salle parce que considérant qu’il y avait là une volonté manifeste de tenir à l’écart les partis proches de MackySall. Aujourd’hui ce cadre est membre du Gouvernement de Abdoul Mbaye.En plusieurs endroits et à de nombreuses circonstances les partis fondateurs de Macky 2012 ont bravé mépris et humiliation de la part d’adversaires d’hier devenus aujourd’hui des alliés de circonstance. Autre exemple et pas des moindres, au moment de la mise en place du comité de veille chargé de faire le suivi de la mission d’audit du fichier électoral, Benoît Sambou et moi avons étés sciemment écartés de la liste des candidats, au profit des représentants de l’AFP, du PS, de la LDet d’autres partis du « Benno 32 ».Ils n’ont jamais cru au Président et ne lui voueront jamais loyauté. Seuls les alliés de l’APR osaient s’afficher derrière le Président MackySall et le soutenir dans ses positions tranchées au sujet des assises nationales.
A ce moment où se trouvaient les adeptes de la dissolution de Macky 2012, à l’instar de AronaNdof Diouf, jadis candidat utopique que je qualifiais de « sénéwebique », tellement le gars « cranait » à longueur d’année sur la toile. Où se trouvait un certain Geum Sa Bopp ? Ma foi ! Je préfère Geum Sa Rew.
Bref revenons en aux faits historiques pour coller à la chronologie. La création de Macky 2012 était mue par un souci de veille et d’alerte, pour parer à toute éventualité au cas ou on décidait de faire éclater la coalition BSS ; les partis réunis autour de l’APR ne voulaient pas endosser la responsabilité d’une cassure, tout en voulant garder intactes leurs chances, à la conquête des suffrages des sénégalais. Plusieurs rencontres ont été menées, des stratégies élaborées dans la plus grande discrétion, etavec une efficacité notoire.Après l’échec de la désignation d’un candidat consensuel unique au sein de BSS, la nouvelle entité eut les coudées pour dérouler son plan d’action.
Sous la coordination de Seydou Gueye, le groupe de plénipotentiaires des partis membres a abattu un travail titanesque d’organisation et d’élargissement de la coalition mais aussi mené une action de propagande assidue pour son ancrage dans la mentalité des sénégalais.
Macky 2012 a imposé à l’opinion sénégalaise que le meilleur candidat était MackySall. C’est là ou se trouve tout le mérite des partis considérés aujourd’hui comme insignifiants. On nous dit que ces partis ne représentent rien, que leur dirigeants ne sortent que pour réclamer des postes. Je m’inscris en faux contre ceux qui tiennent de tels propos. Ces partis représentent le courage, la témérité parce qu’ils ont osé s’afficher avec MackySall au moment où ce dernier était considéré comme un paria. Ils représentent la loyauté, l’espoir.
Ces partis ne demandent pas que des postes, quand bien même ils ont le droit de le faire comme tout sénégalais qui veut servir son pays ; Ils réclament plus que des postes. Ils réclament leurs postes. Ces partis veulent de la considération à leur égard. Il est normal d’être frustré quand on constate que les gens veuillent asseoir l’opportunisme sur le fauteuil du mérite.Nous avons combattu pour l’éradication d’un système et d’une certaine façon de faire de la politique. Nous avons combattu l’injustice, la suffisance, l’ostentation. Malheureusement, ces anti valeurs commencent à ressurgir. C’est avec désolation que nous constatons aujourd’hui l’attitude de certains de nos alliés qui se croient déjà « arrivés ». Ils sont en train de refaire sans s’en rendre compte, les mêmes erreurs que ceux qui ont été déboulonnés un soir de 25 mars 2012.
Les premiers à mépriser la coalition Macky 2012 osons le dire, se comptent au sein de l’APR.Ce parti avec qui la coalition à cheminer pendant les moments difficiles, donne plus de considération à Benno qu’à ses alliés d’hier. Réalisme politique me dira-t-on ; mais pensons aussi à l’avenir politique. Ou se trouve aujourd’hui l’intérêt politique des nouveaux tenants du pouvoir ? C’est dans sa jeunesse, à qui rien ne lui sera donné. Tout ce qu’il obtiendra sera gagné de haute lutte. Ce serait utopique que de penser que Benno BokkYaakar faciliterait la tâche au Président MackySall pour l’obtention d’un second mandat. On est tous d’accord qu’il faut du respect et de la considération à nos ainés de la classe politique, mais cela n’empêche que tout un chacun a le droit de donner son point de vue sur la gestion des affaires du pays.
La pensée évoquée par la coalition sur le désistement des alliés pour la réussite du Président MackySall a été dévoyée, parce que sortie de son contexte. Cette idée va en droite ligne de la proposition d’une grande alliance politique proposée par Mme Aminata Touré, lors du 7° congrès ordinaire de la LD tenu au CICES les 6 et 7 juillet 2013. A cette proposition aucune contestation n’a été entendue ; au contraire elle a été très bien accueillie par le Président Moustapha Niasse présent dans la salle, mais aussi par le nouveau remplaçant du Professeur Abdoulaye Bathily en la personne de Mamadou Ndoye, Secrétaire Général élu de la LD.
Mais que signifie une grande alliance politique dans son essence et son esprit même ? Une direction politique unifiée, un programme commun, un candidat unique, et pour une durée déterminée. Il est clair que le Président MackySall ne peut pas accomplir sa mission en un seul mandat ; l’accepter c’est être réaliste politiquement. Peut être que la coalition Macky 2012 a touché là ou ça fait mal. Nous acceptons d’être le bouclier et le baisse dos du Président Sall. En responsable soucieux de la stabilité du pays, il se devait de prendre position et faire savoir qu’il tient au respect qu’il a toujours voué à ses alliés politiques. Se taire devant cette situation équivaudrait à entretenir l’idée d’un tireur de ficelle. Loin de là ! Le seul souci actuel du Chef de l’Etat c’est la satisfaction des attentes des sénégalais.
Aux oiseaux de mauvais augures qui crient à tout bout de champs qu’il faut dissoudre la coalition, je vous dis que vous perdez votre temps, parce que le Président y tient. En dehors du fait qu’elle représente sa famille politique la plus proche, c’est aussi dans cette coalition que vous trouverez les plus loyaux compagnons de MackySall, ses plus farouches défenseurs. La coalition Macky 2012 est aujourd’hui plus que jamais déterminée à rendre visible les réalisations du gouvernement ; à faire face aux détracteurs de mauvaise foi et à travailler pour l’obtention d’un second mandat. Pour ce, elle a besoin d’être au centre, au moins, à la périphérie du pouvoir, pour mener à bien sa mission. L’exercice du pouvoir, mais l’apprentissage du pouvoir est nécessaire pour tous ces jeunes combattants de la démocratie qui ont placé leur confiance en la personne du Président MackySall.
La coalition Macky 2012 a été une belle trouvaille du Président. Il lui appartiendra d’en donner les nouvelles orientations. Ceux qui parlent par presse interposée n’ont aucune prise ou connaissance de la marche de cette entité politique très stratégique. Comme évoqué plus haut, les partis fidèles au Président se comptent au sein de cette coalition considérée comme le petit poucet du landerneau politique. Petit sera grand un jour !
Nous refusons d’être enterré par des souteneurs de dernière heure, mue que par leur ambition personnelle. Sans conteste la coalition Macky 2012 a fini de convaincre qu’elle a du mérite, on lui doit aussi respect et considération. Ses leaders ne développent aucun complexe d’infériorité, loin de là, ils veulent montrer aux sénégalais que seul le travail et ils battront avec tous les moyens légaux disponibles pour donner un second mandat au Président MackySall.
Pour toutes raisons, nous refusons Monsieur Le Président d’enterrer MACKY 2012 avant 2017, date à laquelle sortira, s’il plait à Dieu une nouvelle trouvaille révolutionnaire.
Mamadou Thiam
Membre du MODEL, Secrétaire National chargé des TIC
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