Dans l’affaire Cheikh Niass qui défraie la chronique, la Ligue sénégalaise des droits humains invite le parquet de Pikine à ouvrir une information judiciaire. D’abord, en tenant compte du fait que les conclusions d’une autopsie présentent forcément, selon la ligue, des limites et qu'elles s’attachent aux symptômes d’un fait et jamais aux racines sous-jacentes.
Et d’autre part, la Ligue sénégalaise des droits humains fait appel à la justice pour qu'elle garantisse l’accès à la justice à la famille de Cheikh Niass et ses proches. D’ailleurs la famille a souligné que Cheikh Niass n’a jamais présenté un d'antécédent médical. Ceci éviterait des frustrations aux conséquences incalculables.
Parallèlement, la Ligue rappelle qu’il faut avoir des pratiques stéréotypées à certains faits de société et que la judiciarisation et la mise sous mandat de dépôt ne doivent pas être systématiques par rapport à des faits qui peuvent arriver dans des moments de tension, d’énervement et qui auraient pu être réglés de façon pédagogique.
La LSDH manifeste tout son regret par rapport à cette « vulnérabilité, une banalisation de la vie humaine » de plus en plus acceptées au Sénégal dans le subconscient des citoyens.
Une situation inquiétante que la Ligue sénégalaise des droits humains déplore au plus haut niveau.
Et d’autre part, la Ligue sénégalaise des droits humains fait appel à la justice pour qu'elle garantisse l’accès à la justice à la famille de Cheikh Niass et ses proches. D’ailleurs la famille a souligné que Cheikh Niass n’a jamais présenté un d'antécédent médical. Ceci éviterait des frustrations aux conséquences incalculables.
Parallèlement, la Ligue rappelle qu’il faut avoir des pratiques stéréotypées à certains faits de société et que la judiciarisation et la mise sous mandat de dépôt ne doivent pas être systématiques par rapport à des faits qui peuvent arriver dans des moments de tension, d’énervement et qui auraient pu être réglés de façon pédagogique.
La LSDH manifeste tout son regret par rapport à cette « vulnérabilité, une banalisation de la vie humaine » de plus en plus acceptées au Sénégal dans le subconscient des citoyens.
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