Depuis quelque temps le terrain social est devenu le théâtre d’agitations, et le climat social d’être pollué par : les échos sonores de la controverse politico-judiciaire.
Une scène-politico-sociale qui met aux prises: une écrasante majorité de sentinelles de la vertu aux aguets pour la transparence. La quelle majorité, longtemps vouée aux gémonies et victime des pires ostracismes était tenue à l’écart de la gestion quasi-patrimoniale des biens de la Nation.
Au profit d’une fraction minoritaire, narcissique et nostalgique, qui s’active pour assurer les arrières de l’ordre oligarchique, politico-religieux. En installant dans l’esprit des Sénégalais : la hantise d’émeutes et de remous sociaux, et en faisant croire à des fantômes de troubles et d’instabilités sociales pour souffler le pion aux enquêteurs.
Mais sous ce rapport, la pression des religieux semble faire recettes. Parce que Macky Sall semble avoir la peur au ventre, face aux menaces et mises en garde de ces marchands d’illusion, soit dit en passant, porteurs de sagesse et de paroles infaillibles, garants de la stabilité et de cohésion sociale. L’habitude étant une seconde nature, ils réitèrent la méthode qu’ils pratiquaient avec les régimes précédents, en soufflant le chaud et le froid pour maintenir leurs privilèges intacts. Voilà pourquoi Macky Sall et son gouvernement doivent être très vigilants et faire preuve de fermeté face à la surenchère religieuse. N’en déplaise à certains énergumènes, ces marabouts sont bien des citoyens comme vous et moi et rien de plus. Ils doivent dans le même temps, tendre la perche aux lobbyistes religieux, à travers ces joueurs de génuflexion comme : MOR NGOM et MBAYE NDIAYE.
C’est bien autour de la dynamique de surenchère et de sursaut contre la prééminence de la philosophie des Assises nationales, que s’organise une véritable levée de boucliers et contre-attaque de marabouts inféodés généralement à tous les pouvoirs qui sont en place.
Même, le lièvre du Conseil supérieur islamique, n’est en réalité que synonyme d’une incitation tendancieuse pour relooker les mêmes vases communicants. C’est-à-dire, ceux-là qui se sont déjugés de leurs attitudes d’hier pour le moins vouées, à n’être que des larbins, face aux décideurs politiques dont ils sont les serviteurs patentés pour convergence d’intérêts. Ceux qui faisaient le tour des foyers religieux pour implorer des prières pour la bonne réussite, du sommet de l’OCI, sont les mêmes, qui organisaient des récitals du SAINT CORAN bref et prétendaient être porteurs d’antidote contre la violence verbale et même physique dans notre pays.
Donc, tout le monde doit s’interroger à juste raison, si ce Conseil islamique aux affaires islamiques n’est pas en réalité, un instrument de fardage religieux d’un discours essentiellement politicien, à partir duquel, des marabouts politiques se complaisent d’un exercice de style de la régulation sociale. Rappelez-vous de celui-là, qui « prophétisait » que Wade remporterait haut la main l’élection présidentielle, au premier tour, et plus que le score de 2007, donc au-delà de 54% ! A l’arrivée, sa fameuse prophétie s’est muée en un vulgaire mensonge.
A cet effet j’en appelle à une Assemblée religieuse faîtière regroupée autour de représentants issus des Imams, des Familles confrériques, des Oustazs, et des organisations islamiques.
Une Assemblée dont le rôle consisterait à orienter et à fournir : une assistance technique, sous forme de d’avis moral.
Cette assistance technique tournerait autour des axes comme par exemple : Assister le législateur par des avis moraux pendant l’examen des lois.
Aider à bien déterminer les spécificités sociales relatives au sujet et au droit public.
A traduire correctement les actes, en tenant compte scrupuleusement de tous les paramètres sociaux, culturels et religieux en général, dans la République.
Serigne Fallou Dieng : maitre soufi et président du cercle des soufis
Une scène-politico-sociale qui met aux prises: une écrasante majorité de sentinelles de la vertu aux aguets pour la transparence. La quelle majorité, longtemps vouée aux gémonies et victime des pires ostracismes était tenue à l’écart de la gestion quasi-patrimoniale des biens de la Nation.
Au profit d’une fraction minoritaire, narcissique et nostalgique, qui s’active pour assurer les arrières de l’ordre oligarchique, politico-religieux. En installant dans l’esprit des Sénégalais : la hantise d’émeutes et de remous sociaux, et en faisant croire à des fantômes de troubles et d’instabilités sociales pour souffler le pion aux enquêteurs.
Mais sous ce rapport, la pression des religieux semble faire recettes. Parce que Macky Sall semble avoir la peur au ventre, face aux menaces et mises en garde de ces marchands d’illusion, soit dit en passant, porteurs de sagesse et de paroles infaillibles, garants de la stabilité et de cohésion sociale. L’habitude étant une seconde nature, ils réitèrent la méthode qu’ils pratiquaient avec les régimes précédents, en soufflant le chaud et le froid pour maintenir leurs privilèges intacts. Voilà pourquoi Macky Sall et son gouvernement doivent être très vigilants et faire preuve de fermeté face à la surenchère religieuse. N’en déplaise à certains énergumènes, ces marabouts sont bien des citoyens comme vous et moi et rien de plus. Ils doivent dans le même temps, tendre la perche aux lobbyistes religieux, à travers ces joueurs de génuflexion comme : MOR NGOM et MBAYE NDIAYE.
C’est bien autour de la dynamique de surenchère et de sursaut contre la prééminence de la philosophie des Assises nationales, que s’organise une véritable levée de boucliers et contre-attaque de marabouts inféodés généralement à tous les pouvoirs qui sont en place.
Même, le lièvre du Conseil supérieur islamique, n’est en réalité que synonyme d’une incitation tendancieuse pour relooker les mêmes vases communicants. C’est-à-dire, ceux-là qui se sont déjugés de leurs attitudes d’hier pour le moins vouées, à n’être que des larbins, face aux décideurs politiques dont ils sont les serviteurs patentés pour convergence d’intérêts. Ceux qui faisaient le tour des foyers religieux pour implorer des prières pour la bonne réussite, du sommet de l’OCI, sont les mêmes, qui organisaient des récitals du SAINT CORAN bref et prétendaient être porteurs d’antidote contre la violence verbale et même physique dans notre pays.
Donc, tout le monde doit s’interroger à juste raison, si ce Conseil islamique aux affaires islamiques n’est pas en réalité, un instrument de fardage religieux d’un discours essentiellement politicien, à partir duquel, des marabouts politiques se complaisent d’un exercice de style de la régulation sociale. Rappelez-vous de celui-là, qui « prophétisait » que Wade remporterait haut la main l’élection présidentielle, au premier tour, et plus que le score de 2007, donc au-delà de 54% ! A l’arrivée, sa fameuse prophétie s’est muée en un vulgaire mensonge.
A cet effet j’en appelle à une Assemblée religieuse faîtière regroupée autour de représentants issus des Imams, des Familles confrériques, des Oustazs, et des organisations islamiques.
Une Assemblée dont le rôle consisterait à orienter et à fournir : une assistance technique, sous forme de d’avis moral.
Cette assistance technique tournerait autour des axes comme par exemple : Assister le législateur par des avis moraux pendant l’examen des lois.
Aider à bien déterminer les spécificités sociales relatives au sujet et au droit public.
A traduire correctement les actes, en tenant compte scrupuleusement de tous les paramètres sociaux, culturels et religieux en général, dans la République.
Serigne Fallou Dieng : maitre soufi et président du cercle des soufis
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