
En utilisant sa maison de presse comme une arme et un puissant moyen de pression contre tous les régimes qui se sont succédés de Diouf à Macky, en passant par Wade, ce monsieur Sidy "Laminé " Niass, nous a habitué à des pratiques malsaines, malveillantes et certainement bannies par la religion à laquelle il appartient et se réfère pour étayer ses positions très bizarres, incongrues et parfois mêmes incompréhensibles.
Comment un bon entrepreneur qui se dit patriote, peut il refuser de payer ses taxes et brandir un aussi léger argumentaire du genre : " c'est le président Wade qui nous en avait exempté", pauvre Wade, l'éternelle victime ! Il a bon dos le père de Karim....
Ce n'est pas par le chantage et la corruption qu'on gère une entreprise de presse. Ce n'est pas par ce qu'on possède une maison de télévision qu'on se croit tout permis!
Je me demande en dehors des taxes impayées qu'on lui réclame, pourquoi l'Etat ne se pencherai t'il pas sur les quatre cents millions de francs cfa ( 400. ooo.ooo.) qu'il a encaissé en guise de dédommagement ( pour une histoire de saccage) à l'insu de son personnel et du peuple Sénégalais ?
Pourquoi l'Etat du Sénégal a payé autant d'argent à ce Maître chanteur en lieu et place d'une compagnie d'assurance? S'il avait ouvert une police d'assurance bien sûr ... Car je ne crois pas que quelqu'un qui se croit plus important que ses compatriotes et qui refuse délibérément d' honorer ses obligations citoyennes puisse être capable de souscrire à une couverture assurance ?
Certains patrons de presse n'honorent pas le métier qu'ils exercent. Ils sont pour la plupart du temps des preneurs d'otages, des comploteurs et mêmes des acteurs politiques encagoulés et qui utilisent leur Ligne rédactionnelle pour supporter or contrer un régime ou un acteur politique. Suivant leur intérêt du moment. Des vrais opportunistes !
Ils sont souvent aussi des porteurs de valises présidentielles. Ils sont présents à côté du President de la République partout où il se rend, laissant au bureau un journaliste professionnel, souvent très mal payé , exploité et qui devrait normalement assurer la couverture médiatique des randonnées de son excellence et profiter des avantages ....qu'elles procurent.
Par ailleurs, j'exhorte le régime à revoir le mode de sélection et de distribution de l'aide octroyée à la presse nationale. Il est à mon avis injuste de subventionner une maison de presse dont le patron ne s'acquitte pas de ses devoirs envers son personnel et le fisc .. Ce n'est pas Sydi Lamine uniquement qui est concerné, Ce sont tous les propriétaires de maison de presse en général. Il faut aller jusqu'au bout dans cette affaire de recouvrement des taxes et ne pas en faire un moyen de pression politique, comme la fameuse campagne de la traque des biens supposés .......acquis.
En définitive, j'interpelle solennellement le president de la République, le gouvernement et l'Assemblée Nationale, à revoir le critère de la distribution de l'aide à la presse et dont le montant ne cesse de s'accroître d'année en année. Cette aide devrait toucher les détenteurs de sites web, de radios communautaires établies dans la diaspora et qui participent efficacement à la vulgarisation des informations politiques, sociales du Sénégal, mais aussi qui s'acquittent méthodiquement, mais pédagogiquement de la formation et de l'éducation religieuse de leurs compatriotes Sénégalais . Ces braves Imams et managers sont souvent confrontés à d'énormes difficultés liées à la cherté de la location des temps d'antenne contractés avec le propriétaire de la station Radio., mais aussi le règlement des salaires des journalistes prestataires de service. Ces braves Sénégalais entrepreneurs méritent bien leur part du pactole.
Madère Fall
CPASA --USA.
Comment un bon entrepreneur qui se dit patriote, peut il refuser de payer ses taxes et brandir un aussi léger argumentaire du genre : " c'est le président Wade qui nous en avait exempté", pauvre Wade, l'éternelle victime ! Il a bon dos le père de Karim....
Ce n'est pas par le chantage et la corruption qu'on gère une entreprise de presse. Ce n'est pas par ce qu'on possède une maison de télévision qu'on se croit tout permis!
Je me demande en dehors des taxes impayées qu'on lui réclame, pourquoi l'Etat ne se pencherai t'il pas sur les quatre cents millions de francs cfa ( 400. ooo.ooo.) qu'il a encaissé en guise de dédommagement ( pour une histoire de saccage) à l'insu de son personnel et du peuple Sénégalais ?
Pourquoi l'Etat du Sénégal a payé autant d'argent à ce Maître chanteur en lieu et place d'une compagnie d'assurance? S'il avait ouvert une police d'assurance bien sûr ... Car je ne crois pas que quelqu'un qui se croit plus important que ses compatriotes et qui refuse délibérément d' honorer ses obligations citoyennes puisse être capable de souscrire à une couverture assurance ?
Certains patrons de presse n'honorent pas le métier qu'ils exercent. Ils sont pour la plupart du temps des preneurs d'otages, des comploteurs et mêmes des acteurs politiques encagoulés et qui utilisent leur Ligne rédactionnelle pour supporter or contrer un régime ou un acteur politique. Suivant leur intérêt du moment. Des vrais opportunistes !
Ils sont souvent aussi des porteurs de valises présidentielles. Ils sont présents à côté du President de la République partout où il se rend, laissant au bureau un journaliste professionnel, souvent très mal payé , exploité et qui devrait normalement assurer la couverture médiatique des randonnées de son excellence et profiter des avantages ....qu'elles procurent.
Par ailleurs, j'exhorte le régime à revoir le mode de sélection et de distribution de l'aide octroyée à la presse nationale. Il est à mon avis injuste de subventionner une maison de presse dont le patron ne s'acquitte pas de ses devoirs envers son personnel et le fisc .. Ce n'est pas Sydi Lamine uniquement qui est concerné, Ce sont tous les propriétaires de maison de presse en général. Il faut aller jusqu'au bout dans cette affaire de recouvrement des taxes et ne pas en faire un moyen de pression politique, comme la fameuse campagne de la traque des biens supposés .......acquis.
En définitive, j'interpelle solennellement le president de la République, le gouvernement et l'Assemblée Nationale, à revoir le critère de la distribution de l'aide à la presse et dont le montant ne cesse de s'accroître d'année en année. Cette aide devrait toucher les détenteurs de sites web, de radios communautaires établies dans la diaspora et qui participent efficacement à la vulgarisation des informations politiques, sociales du Sénégal, mais aussi qui s'acquittent méthodiquement, mais pédagogiquement de la formation et de l'éducation religieuse de leurs compatriotes Sénégalais . Ces braves Imams et managers sont souvent confrontés à d'énormes difficultés liées à la cherté de la location des temps d'antenne contractés avec le propriétaire de la station Radio., mais aussi le règlement des salaires des journalistes prestataires de service. Ces braves Sénégalais entrepreneurs méritent bien leur part du pactole.
Madère Fall
CPASA --USA.
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