Quand la vérité est remplacée par le silence, ce silence devient un mensonge
Pythagore, lorsqu'il démontra pour la première fois son théorème, offrit par reconnaissance cent bœufs à Apollon, le dieu de la vérité. Quel était le motif de cette hécatombe ? La relation qui unit les trois côtés d'un triangle rectangle était vraie de toute éternité, vraie avant que Pythagore ne la découvrît, en sorte que si cette découverte avait été la sienne, et non celle d'un autre, c'était là le signe d'une faveur faite par Apollon lui-même. La vérité, en ce qu'elle est ce qu'il y a de plus manifeste, est justement commune et offerte à tous : c'est l'erreur qui est particulière, de même que l'idiotie au sens étymologique (est idiotès en grec ce qui ressortit de la simple particularité, par opposition à ce qui est koinon, commun à tous). Ce qui distingue alors la vérité de l'erreur, c'est précisément qu'elle peut être partagée, c'est-à-dire qu'elle résiste à l'examen d'autrui. La raison en est que tous les hommes ont également reçu la raison en partage, c'est-à-dire la capacité de distinguer le vrai du faux par preuves et démonstrations : l'erreur est toujours mienne, alors que la vérité caractérise au contraire une proposition dont la validité s'impose à la communauté des êtres raisonnables. Cette prélude nous pousse inélucatblement a se demander si notre justice agit par vérité ou juste par attitude naturelle car jusque l’a aucune démonstration universellement recevable n’a été donnée pour montrer l’implication du guide des Thiantacones dans cette triste affaire de medinatoul Salam
Convenez avec moi avant toute reaction refrectaire que cet article n’est rien d’autre qu’ une breche qui nous permettra de resoudre de facon definitive cette inéquation a multiples inconnues qui a fait coulé beaucoup d’encre et de salive sans pour autant étre resolue…. Si on se refere au Droit qui a une fois de plus montrer ses limites comme toute création Humaine la règle générale est que la nécessité de la preuve incombe à celui qui se plaint d’où la notion necessitas probandi incumbit ei qui agit !! ici donc c’est a nous Sénegalais en complicité avec la machine juridique de montrer des preuves palpables et tangibles pour maintenir le Cheikh en prison…. Paradoxalement depuis prés de six mois aucun progres allant dans le sens de regler cette affaire est noté ; on ne demande nullement la liberation sans fondement de serigne Cheikh Béthio qui a fini de montrer qu’il est un citoyen senegalais justiciable mais que raison soit gardée qu’on puisse faire le tri entre notre mechanceté démésuréee envers sa personne, entre les jugements qu’on croit vrais sans les avoir démontrés et ceux qui sont objectivement indubitables. Peut-on alors établir la vérité avec toutes ses prétentions ? Mais comme le remarquera Leibniz, au moment même où je me trompe, c'est l'erreur qui me semble sûre et certaine or que le vrai, c'est précisément (et à la différence du faux) ce qui peut, du moins en droit, être admis par tous. Parvenir à « dire le même du meme !!
Que chacun dit ceux qu’il croit etre la verité mais la vraie verite appartient a dieu
C’est sur les lignes que s’arretent ma plaidoirie avant que mon cœur de mouride qui somnolle en moi se reveille et met place a une certaine compassion car eu egard toutes considérations le Mouridisme est avant tout une chaine dont chaque membre se doit solidarité et respect … A tous ses jeunes qui plasmodient les Khassaides de Serigne Touba
A tous ses jeunes qui ne vivent que par la lumiére de Saliou Mbacké
A Serigne Cheikh Bethio THiOUNE
Par devoir de verité Mouhamadou Manel fall _ base de reference : "Que l'un de vous ne rabaisse pas sa propre personne !". Ils dirent :"Ô Messager de Dieu comment est ce que l'un de nous pourrait rabaisser sa propre personne ?" Il répondit : "Il réalise qu'il se doit de dire une parole de vérité, mais il ne le fait pas." Dieu lui dira alors :"Qu'est ce qui t'a empêché de dire telle ou telle chose ?"Il lui dira :"J'ai craint les gens." Dieu lui dira alors :"C'est Moi qui suis le plus digne d'être craint
Pythagore, lorsqu'il démontra pour la première fois son théorème, offrit par reconnaissance cent bœufs à Apollon, le dieu de la vérité. Quel était le motif de cette hécatombe ? La relation qui unit les trois côtés d'un triangle rectangle était vraie de toute éternité, vraie avant que Pythagore ne la découvrît, en sorte que si cette découverte avait été la sienne, et non celle d'un autre, c'était là le signe d'une faveur faite par Apollon lui-même. La vérité, en ce qu'elle est ce qu'il y a de plus manifeste, est justement commune et offerte à tous : c'est l'erreur qui est particulière, de même que l'idiotie au sens étymologique (est idiotès en grec ce qui ressortit de la simple particularité, par opposition à ce qui est koinon, commun à tous). Ce qui distingue alors la vérité de l'erreur, c'est précisément qu'elle peut être partagée, c'est-à-dire qu'elle résiste à l'examen d'autrui. La raison en est que tous les hommes ont également reçu la raison en partage, c'est-à-dire la capacité de distinguer le vrai du faux par preuves et démonstrations : l'erreur est toujours mienne, alors que la vérité caractérise au contraire une proposition dont la validité s'impose à la communauté des êtres raisonnables. Cette prélude nous pousse inélucatblement a se demander si notre justice agit par vérité ou juste par attitude naturelle car jusque l’a aucune démonstration universellement recevable n’a été donnée pour montrer l’implication du guide des Thiantacones dans cette triste affaire de medinatoul Salam
Convenez avec moi avant toute reaction refrectaire que cet article n’est rien d’autre qu’ une breche qui nous permettra de resoudre de facon definitive cette inéquation a multiples inconnues qui a fait coulé beaucoup d’encre et de salive sans pour autant étre resolue…. Si on se refere au Droit qui a une fois de plus montrer ses limites comme toute création Humaine la règle générale est que la nécessité de la preuve incombe à celui qui se plaint d’où la notion necessitas probandi incumbit ei qui agit !! ici donc c’est a nous Sénegalais en complicité avec la machine juridique de montrer des preuves palpables et tangibles pour maintenir le Cheikh en prison…. Paradoxalement depuis prés de six mois aucun progres allant dans le sens de regler cette affaire est noté ; on ne demande nullement la liberation sans fondement de serigne Cheikh Béthio qui a fini de montrer qu’il est un citoyen senegalais justiciable mais que raison soit gardée qu’on puisse faire le tri entre notre mechanceté démésuréee envers sa personne, entre les jugements qu’on croit vrais sans les avoir démontrés et ceux qui sont objectivement indubitables. Peut-on alors établir la vérité avec toutes ses prétentions ? Mais comme le remarquera Leibniz, au moment même où je me trompe, c'est l'erreur qui me semble sûre et certaine or que le vrai, c'est précisément (et à la différence du faux) ce qui peut, du moins en droit, être admis par tous. Parvenir à « dire le même du meme !!
Que chacun dit ceux qu’il croit etre la verité mais la vraie verite appartient a dieu
C’est sur les lignes que s’arretent ma plaidoirie avant que mon cœur de mouride qui somnolle en moi se reveille et met place a une certaine compassion car eu egard toutes considérations le Mouridisme est avant tout une chaine dont chaque membre se doit solidarité et respect … A tous ses jeunes qui plasmodient les Khassaides de Serigne Touba
A tous ses jeunes qui ne vivent que par la lumiére de Saliou Mbacké
A Serigne Cheikh Bethio THiOUNE
Par devoir de verité Mouhamadou Manel fall _ base de reference : "Que l'un de vous ne rabaisse pas sa propre personne !". Ils dirent :"Ô Messager de Dieu comment est ce que l'un de nous pourrait rabaisser sa propre personne ?" Il répondit : "Il réalise qu'il se doit de dire une parole de vérité, mais il ne le fait pas." Dieu lui dira alors :"Qu'est ce qui t'a empêché de dire telle ou telle chose ?"Il lui dira :"J'ai craint les gens." Dieu lui dira alors :"C'est Moi qui suis le plus digne d'être craint
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