
Décidément les anciens dignitaires PDS ne savent plus à quel saint se vouer pour sortir du piège politique et juridique qui est en train de se refermer sur eux.
Tous les actes qu’ils posent, en proie à une peur panique, leur reviennent à la figure comme un boomerang. Le rejet de la motion de censure déposée à l’Assemblée Nationale contre le gouvernement du premier ministre Abdoul Mbaye en a été une nouvelle illustration.
Sur les 16 députés qui l’ont parrainée, seuls 14 l’ont votée. Deux se sont donc rétractés, imposant, par-là même, un camouflet retentissant au PDS.
Les députés de l’opposition se retrouvent ainsi dans la position humiliante de l’arroseur arrosé.
Pire, la séance abritée par l’Hémicycle a permis au premier ministre Mbaye de briller pour reprendre l’expression anglaise : « a moment to shine ».En effet, Abdoul Mbaye a fait une prestation remarquable pour mettre en pièces les arguments avancés par l’opposition.
A la lumière des explications apportées par le chef du gouvernement, il apparaît que la motion de censure a été initiée à la va-vite, avec une légèreté qui en dit long sur l’état d’esprit lamentable de ses auteurs.
La manipulation n’a pas marché. Elle a fait pssschitt, comme dirait l’autre. L’opposition s’est tirée une balle dans le pied et a donné une nouvelle occasion au gouvernement de mettre à nu les malversations gigantesques commises pendant 12 ans et dont elle devra s’expliquer devant la justice.
L’équipe gouvernementale a réitéré sa détermination à aller jusqu’au bout avec le soutien réaffirmé de la majorité parlementaire.
Contrairement aux attentes de l’opposition, le débat sur la motion de censure s’est transformé en un nouveau procès de l’ancien régime kleptocrate qui doit rendre compte de sa gestion calamiteuse des deniers publics.
La diversion ne peut pas prospérer car l’immense majorité des sénégalais qui ont élu le Président Macky Sall restent vigilants et déterminés pour le soutenir à faire son travail avec rigueur et sérénité.
Mouhamadou M. Dia
Professeur de Philosophie-Journaliste
Tous les actes qu’ils posent, en proie à une peur panique, leur reviennent à la figure comme un boomerang. Le rejet de la motion de censure déposée à l’Assemblée Nationale contre le gouvernement du premier ministre Abdoul Mbaye en a été une nouvelle illustration.
Sur les 16 députés qui l’ont parrainée, seuls 14 l’ont votée. Deux se sont donc rétractés, imposant, par-là même, un camouflet retentissant au PDS.
Les députés de l’opposition se retrouvent ainsi dans la position humiliante de l’arroseur arrosé.
Pire, la séance abritée par l’Hémicycle a permis au premier ministre Mbaye de briller pour reprendre l’expression anglaise : « a moment to shine ».En effet, Abdoul Mbaye a fait une prestation remarquable pour mettre en pièces les arguments avancés par l’opposition.
A la lumière des explications apportées par le chef du gouvernement, il apparaît que la motion de censure a été initiée à la va-vite, avec une légèreté qui en dit long sur l’état d’esprit lamentable de ses auteurs.
La manipulation n’a pas marché. Elle a fait pssschitt, comme dirait l’autre. L’opposition s’est tirée une balle dans le pied et a donné une nouvelle occasion au gouvernement de mettre à nu les malversations gigantesques commises pendant 12 ans et dont elle devra s’expliquer devant la justice.
L’équipe gouvernementale a réitéré sa détermination à aller jusqu’au bout avec le soutien réaffirmé de la majorité parlementaire.
Contrairement aux attentes de l’opposition, le débat sur la motion de censure s’est transformé en un nouveau procès de l’ancien régime kleptocrate qui doit rendre compte de sa gestion calamiteuse des deniers publics.
La diversion ne peut pas prospérer car l’immense majorité des sénégalais qui ont élu le Président Macky Sall restent vigilants et déterminés pour le soutenir à faire son travail avec rigueur et sérénité.
Mouhamadou M. Dia
Professeur de Philosophie-Journaliste
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