
A l’heure où l’état du Sénégal, dans le cadre de la lutte contre les inondations, met en branle toutes les stratégies et les compétences, pour une mobilisation d’une assiette foncière en vue du relogement des sinistrés, il est inconcevable, qu’un démembrement de l’état se sépare d’une propriété foncière de cinq hectares (5 h) située derrière le terrain golf, en banlieue proche de Dakar.
En effet, s’il y’a une société d’état en bonne santé sur le plan de sa trésorerie quotidienne et de ses perspectives à court, moyen et long terme, c’est bien la Caisse de Sécurité Sociale du Sénégal. Dès lors, comment ses administrateurs doivent-ils justifier de l’opportunité de la vente d’un terrain d’assiette, acquis en son temps pour constituer une réserve foncière. Seul le Conseil d’Administration de la dite structure, est en mesure de répondre à cette question.
Et malheureusement, à la tête de ce conseil, trône un certain Racine SY, qui en sa qualité de Président, a décrété une mainmise sur la CSS, au vu et su de l’état du Sénégal, qui l’a laissé vider la structure de ses compétences, des plus anciens et des mieux formés, pour diriger la destinée de la maison. Mais hélas, rien n’est fait. Mieux, le président connaissant les faiblesses des administrateurs, les a corrompus à raison d’une parcelle de 200 m2, entièrement viabilisée, pour voter la forfaiture.
Seul Maître Fayçal SHARARA, en sa qualité d’administrateur, a dénoncé l’opération, tant dans son inopportunité, que par son illégalité. Quand des administrateurs se partagent un bien appartenant à une société, dont ils doivent veiller sur la bonne marche, il y’a bel et bien « abus de biens sociaux ». Nous saluons au passage, la hauteur de vue d’un tel administrateur, comparé à celle des autres, qui sont tombés dans le piège de la légalisation d’un « vol organisé», qualifiable de crime économique : commis en réunion.
Pourtant, la Caisse de Sécurité Sociale et l’Institution de Prévoyance de la Retraite du Sénégal, devaient être les instruments combinés, dont la mise en commun des patrimoines aurait permis à l’état du Sénégal un réemploi judicieux de leurs réserves foncières propres, en vue d’offrir des plateaux de service et d’habitation, dans le cadre d’une politique de rénovation urbaine. Oui personne ne dira que le patrimoine bâti de l’état n’est pas vétuste, faute d’un entretien adéquat.
Mieux un terrain de cinq hectares, vers le terrain de Golf, était une bouffée d’oxygène pour un teste en grandeur nature de ce que l’on a appelé dans un projet : les mécanismes de renversement de la tendance à la hausse du loyer dans la capitale Dakar. Dans cette optique, la Caisse de Sécurité sociale, pouvait faire œuvre utile, sans être dépossédée de son patrimoine. Cette option était bien meilleure, que celle choisie par Racine SY et ses coadministrateurs.
C’est vous dire, que les pratiques, qui ont mené Abdoulaye WADE et son équipe à la disqualification irréversible ont encore cours dans ce pays et sont le fait de gens qui bénéficient d’une indulgence de l’état, qui ne se justifie ni par leur compétence exclusive inconnue, ni par leurs antécédents non encore vidés. Macky SALL, Abdoul MBAYE et Amadou KANE sont tous interpellés, chacun en ce qui le concerne et relativement à l’attente des sénégalais en matière de logement.
Effectivement, les solutions sont possibles, mais à la condition que les démembrements de l’état, qui peuvent aider en cela, ne soient laissées entre les mains non expertes de certains sénégalais mus uniquement par l’appât du gain et les fastes non vertueux. Je pense que Racine SY et ses complices, ne sont pas au dessus des lois sénégalaises, pour oser après l’hôtel le Méridien Président et la CSS, brader impunément le patrimoine immobilier de l’état du Sénégal. A bon entendeur, Il est temps de l’arrêter, avant qu’il ne soit trop tard.
Yérim DIEYE
En effet, s’il y’a une société d’état en bonne santé sur le plan de sa trésorerie quotidienne et de ses perspectives à court, moyen et long terme, c’est bien la Caisse de Sécurité Sociale du Sénégal. Dès lors, comment ses administrateurs doivent-ils justifier de l’opportunité de la vente d’un terrain d’assiette, acquis en son temps pour constituer une réserve foncière. Seul le Conseil d’Administration de la dite structure, est en mesure de répondre à cette question.
Et malheureusement, à la tête de ce conseil, trône un certain Racine SY, qui en sa qualité de Président, a décrété une mainmise sur la CSS, au vu et su de l’état du Sénégal, qui l’a laissé vider la structure de ses compétences, des plus anciens et des mieux formés, pour diriger la destinée de la maison. Mais hélas, rien n’est fait. Mieux, le président connaissant les faiblesses des administrateurs, les a corrompus à raison d’une parcelle de 200 m2, entièrement viabilisée, pour voter la forfaiture.
Seul Maître Fayçal SHARARA, en sa qualité d’administrateur, a dénoncé l’opération, tant dans son inopportunité, que par son illégalité. Quand des administrateurs se partagent un bien appartenant à une société, dont ils doivent veiller sur la bonne marche, il y’a bel et bien « abus de biens sociaux ». Nous saluons au passage, la hauteur de vue d’un tel administrateur, comparé à celle des autres, qui sont tombés dans le piège de la légalisation d’un « vol organisé», qualifiable de crime économique : commis en réunion.
Pourtant, la Caisse de Sécurité Sociale et l’Institution de Prévoyance de la Retraite du Sénégal, devaient être les instruments combinés, dont la mise en commun des patrimoines aurait permis à l’état du Sénégal un réemploi judicieux de leurs réserves foncières propres, en vue d’offrir des plateaux de service et d’habitation, dans le cadre d’une politique de rénovation urbaine. Oui personne ne dira que le patrimoine bâti de l’état n’est pas vétuste, faute d’un entretien adéquat.
Mieux un terrain de cinq hectares, vers le terrain de Golf, était une bouffée d’oxygène pour un teste en grandeur nature de ce que l’on a appelé dans un projet : les mécanismes de renversement de la tendance à la hausse du loyer dans la capitale Dakar. Dans cette optique, la Caisse de Sécurité sociale, pouvait faire œuvre utile, sans être dépossédée de son patrimoine. Cette option était bien meilleure, que celle choisie par Racine SY et ses coadministrateurs.
C’est vous dire, que les pratiques, qui ont mené Abdoulaye WADE et son équipe à la disqualification irréversible ont encore cours dans ce pays et sont le fait de gens qui bénéficient d’une indulgence de l’état, qui ne se justifie ni par leur compétence exclusive inconnue, ni par leurs antécédents non encore vidés. Macky SALL, Abdoul MBAYE et Amadou KANE sont tous interpellés, chacun en ce qui le concerne et relativement à l’attente des sénégalais en matière de logement.
Effectivement, les solutions sont possibles, mais à la condition que les démembrements de l’état, qui peuvent aider en cela, ne soient laissées entre les mains non expertes de certains sénégalais mus uniquement par l’appât du gain et les fastes non vertueux. Je pense que Racine SY et ses complices, ne sont pas au dessus des lois sénégalaises, pour oser après l’hôtel le Méridien Président et la CSS, brader impunément le patrimoine immobilier de l’état du Sénégal. A bon entendeur, Il est temps de l’arrêter, avant qu’il ne soit trop tard.
Yérim DIEYE
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