Exclusif! La campagne originale que Youssou Ndour entend mener au bénéfice de Macky Sall


Exclusif! La campagne originale que Youssou Ndour entend mener au bénéfice de Macky Sall
DAKARACTU.COM  Youssou Ndour a décidé de battre campagne pour la victoire de Macky Sall au second tour de l'élection présidentielle prévu le 25 mars. Le leader de Fekké Ma Ci Boolé a d'ores et déjà donné la consigne ferme à tous les responsables locaux dudit mouvement de faire du porte-à-porte pour sensibiliser les Sénégalais sur la nécessité de porter leur choix sur le candidat de la coalition Macky 2012. Le chanteur reconverti en homme politique ne s'arrêtera pas là. Il entend dérouler au profit de Macky le programme original de campagne qu'il avait conçu pour lui-même et qu'il n'a pu exécuter pour cause de rejet de sa candidature par le Conseil constitutionnel. Dans ce programme figure en bonne place le concept "Le Grand Penc". Youssou Ndour va se rendre en divers endroits du Sénégal avec un orchestre, mais aussi un lead vocal qui va interpréter ses chansons à fort message politique. Après quoi il intervient, explique pourquoi il a écrit chaque chanson, explicite son message et le rapporte à la situation actuelle. Il va faire jouer, par exemple, le titre "alalou mbolo" ("l'argent public") pour aborder le thème de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption, dans le but de fustiger les détournements de deniers publics et scandales financiers sous Abdoulaye Wade.
Le leader de Fekké Ma Ci Boolé va également organiser des "foires" avec différents stands ("Institutions", "Economie", "Sport", "Culture", "Société", "Coût de la vie"...) animés par des spécialistes de ces secteurs dans le but de présenter des propositions et convaincre les visiteurs de la nécessité de voter pour le changement. Celui pour qui le départ de Wade du pouvoir est une question de survie n'entend ménager ni son temps ni ses idées ni ses moyens pour aider Macky Sall à l'emporter. 
Jeudi 8 Mars 2012



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10.Posté par La mama le 08/03/2012 10:19
Tout ça c'est bien, tous ces soutiens, mais c’était plus judicieux que tous ces opposants fassent front commun pour bouter cet arrière-grand-père qui s'accroche au palais avec sa famille gauloise dès le 1er, aujourd'hui on en serait déjà libéré!

9.Posté par migui le 08/03/2012 10:03
merci YOU et du courage , un grand patriote qui ne se cache pas .

8.Posté par Avis d''''expert le 08/03/2012 09:25
L'IMPOSTEUR YOUSSOUR NDOUR EST UN CLEPTOMANE DE RENOMME INTERNATIONAL

YOUSSOU NDOUR:MYSTERE AUTOUR DE 1,3 MILLION DE $

Pour Youssou Ndour, proclamé ambassadeur de la microfinance, il semble que « charity business bien ordonné commence par soi-même. »

Le fonds de microfinance de Youssou Ndour avait tout pour réussir : un million de dollars généreusement offert par le groupe Benetton, 200 000 euros empruntés à des « micro-investisseurs » sur des réseaux solidaires et une icône internationale en tête de gondole.

''JE NE VEUX PAS DE DONS''

Où est passé le million de Benetton ? C’est l’une des questions qui planent sur le fonds Birima, cette société de crédit coopératif née d’un projet du groupe italien, initiée en juin 2007 et visant à développer un fonds africain de microfinance, géré et promu par Youssou Ndour.

Séduit par le discours généreux de l’icône sénégalaise, le groupe Benetton n’avait pris aucune garantie particulière et n’avait revendiqué aucun rôle dans la gestion de ce fonds.

C’est ainsi que, dans une déclaration à l’AFP datée du 13 février 2008, la star internationale affirmait que le fonds ne disposait, au départ, que d’un capital de 200 millions FCFA (305 000 euros) et laissait entendre qu’il en était lui-même le donateur : « Je ne veux pas de dons, je n’(en) demande pas. (...) C’est une question de dignité pour les Africains », ajoutait-il. Des déclarations reçues avec étonnement chez Benetton qui, depuis sa donation, n’a plus jamais reçu de nouvelles du « griot planétaire ».

Interrogé le 30 mars 2008 par le journaliste El Hadji Gorgui Wade Ndoye, Youssou Ndour allait encore plus loin et déclarait : « J’avais un peu d’argent et je l’ai mis dans ce projet. »

Séduit par le discours généreux de l’icône sénégalaise, le groupe Benetton n’avait pris aucune garantie particulière et n’avait revendiqué aucun rôle dans la gestion de ce fonds.

Quant au rôle de la multinationale italienne, il se serait, selon lui, limité à une campagne de publicité : « Je remercie Benetton, qui m’a fait bénéficier de sa campagne mondiale. (…) Avec cette multinationale, nous bénéficions de son savoir-faire et elle aussi retire un profit. Tout le monde y gagne. »

ESPOIRS DECUS

Dès son lancement, l’objectif de Birima était ambitieux : « A partir du Sénégal, pays choisi comme projet pilote car il compte parmi les pays les plus stables du continent, l’expérience de microcrédit élaborée par Birima s’étendra ensuite progressivement à d’autres nations africaines », lisait-on dans le dossier de presse de lancement.

Selon Moustapha Ndiaye, coordinateur initial de la structure coopérative, dès le départ « Birima a suscité un grand intérêt, enregistrant plus de 200 adhésions dès la première semaine. L’adhésion s’obtenait alors en fournissant une pièce d’identité, trois photos et 10 000 FCFA de frais (15,2 euros). L’objectif était d’atteindre 5000 membres en une année. » En ce qui concerne les crédits, Birima s’était fixé initialement un objectif de 500 accords de crédit sur cinq ans, pour une moyenne de 500 000 FCFA par opération.

Sur le blog de ces « micro-investisseurs » commencent à poindre de sérieuses manifestations d’inquiétude de la part d’épargnants qui se plaignent d’un défaut de remboursement de Birima de 91,68% !

Aujourd’hui, pour la plupart des professionnels sénégalais de la microfinance, Birima n’a pas rempli sa mission et n’a pas obtenu les résultats attendus. Pour K.C., gérant reconnu d’une structure islamique de microfinance soutenue par la Banque islamique de développement, « Birima ne connaît pas la même popularité que son auteur. Malgré les promesses, il n’y a qu’une seule agence ouverte où les éventuels clients doivent venir effectuer des versements. Le projet n’est pas populaire. J’ai moi-même essayé d’avoir des informations et on m’a rétorqué que Birima travaillera bientôt avec un réseau solidaire européen. » Pour la plupart des professionnels interrogés, Birima n’est pas encore opérationnel.

APPEL AUX BAILLEURS DE FONDS

Un avis que ne partage pas Youssou Ndour, vedette d’un récent forum organisé à Lille intitulé « L’argent responsable : un monde plus éthique est-il possible ? » : « Ce n’est pas une banque en soi, c’est plus une mutuelle avec une démarche totalement différente. Nous avons aujourd’hui près d’un millier de clients », annonçait-il. Toutefois, l’artiste international reconnaît à mi-mot qu’il est nécessaire de « rebooster ce label Birima qui existe déjà et marche bien ». Pour cela, il en appelle aux « bailleurs de fonds qui ont l’habitude de prêter aux banques traditionnelles et qui peuvent aussi, en même temps, prendre en compte le microcrédit ». « Si nous ne trouvons pas des institutions financières, ça va être difficile, au Sénégal comme ailleurs en Afrique », reconnaît celui que Martine Aubry vient de faire citoyen d’honneur de la ville de Lille.

UN DIRECTEUR DESENCHANTE

Pour Ibrahima Thioune, ancien directeur général de Birima, qui a quitté la société il y a une année, il est clair « que l’objectif n’a pas été atteint » et que le résultat est mitigé. Pourtant, selon lui, l’absence de garantie demandée aux emprunteurs rend Birima très attractif, à juste titre puisque, statistiquement, 98% des microcrédits contractés au Sénégal sont remboursés.

M. Thioune précise qu’il ne souhaite pas communiquer les raisons de son départ de Birima, mais il semble évident qu’il déplore, a minima, le déficit d’activité de l’agence, ainsi que le retard dans l’exécution du business plan.

Il souligne également que Birima lève depuis un certain temps « de l’argent dans de nombreux pays, grâce à des réseaux solidaires comme MYC4.com », une plateforme en ligne qui invite les internautes du monde entier à « investir » par tranches de quelques euros dans des projets d’entreprises africaines de leur choix.

DEFAUT DE REMBOURSEMENT

Nous nous sommes intéressés de plus près à cette plateforme, qui révèle, en effet, que Birama aurait déjà emprunté à ce jour 211 041 euros(1) à des particuliers, séduits par la notoriété et le discours de la vedette. Mais sur le blog de ces « micro-investisseurs »(2) commencent à poindre de sérieuses manifestations d’inquiétude. Les épargnants se plaignent d’un défaut de remboursement de Birima, qui atteint à ce jour 91,68% ! A ces plaintes, le directeur du fonds Birima répond que le Sénégal connaît une grave crise économique, que les petits emprunteurs ne peuvent plus rembourser et que des procédures judiciaires sont en cours pour forcer ces petites gens à honorer leurs créances(3). Nous sommes bien loin des déclarations de l’artiste : « C’est une manière pour moi de lutter contre la pauvreté (…). J’ai pensé qu’il fallait partir sur des bases qui respectent nos traditions, la parole donnée. »

UN BILAN OFFICIEL HESITANT

Malgré tout, pour Abdoulaye Dieng, administrateur de Birima, l’affaire se porte très bien avec un flux de 1500 à 2000 comptes ouverts, dont plus de la moitié auraient déjà bénéficié de crédits. « La clientèle est essentiellement constituée de très petits commerçants, comme les vendeuses de poisson, les marchands ambulants, les salons de coiffure et de couture, qui présentent un très bon taux de recouvrement. » Selon M. Dieng, « pour obtenir un crédit chez Birima, il faut ouvrir un compte avec un dépôt minimum de 15 000 FCFA (23 euros) et être client régulier, depuis au moins trois mois ». Les crédits inférieurs à 500 000 FCFA sont attribués par un agent de crédit. Au-delà, ils sont accordés par le comité de crédit. La période de remboursement varie entre 24 et 36 mois et le montant maximum octroyé est de 10 millions FCFA (15 000 euros). Pour l’administrateur de la société, le volume des encours de crédits octroyés, depuis le démarrage des activités, se situerait « entre 300 et 500 millions FCFA », mais il reconnaît ne pas être tout à fait certain de ces chiffres…

7.Posté par yougour le 08/03/2012 08:49
Youssou NDOUR n'est pas candidat donc il n'a pas le droit de battre campagne pour qui que ce soit.Il bat campagne pour lui même de même que l'opposition

6.Posté par Le Peuple le 08/03/2012 08:32
PAL et L'Observateur ne nous emmerdez pas, suis certains que vos papas font partie de ces voleurs.

5.Posté par Agent XXX le 08/03/2012 08:29
À Cheick Sidy et Serigne Mansour je n ai aucun conseil a donne car je suis trop petit pour cela mais j avertis á la communaute mouride et islamique du Senegal sur une personne qui est Bethio Thioune.
Je vous affirme par CONNAISSANCE que Bethio Thioune est un grand WALIYOU. Bethiou Thioune est un WALIYOU de IBLIS et aux gens du livre il y a un rappel dans le livre. Iblis a signe un pacte et ne manquera pas á realiser son pacte. Bethio Thioune mettra le mouridisme et un peu de musulmans en dehors de la voix de Dieu pour les amener á l enfer. Quant á Wade il est fini pour toujours.

Senegal faites attention avec ce Bethio Thioune d ailleurs observer bien et vous verrez. Les gens doues d intelligences sont ceux qui se rappellent.

Vive le Senegal et vive le peuple du Senegal.

4.Posté par Atika le 08/03/2012 07:58
Les partisans de wade peuvent multiplier leurs pseudos sur les forums mais ça ne va rien servir car ceux qui se connectent sur internet sont avisés et ont déjà choisis pour qui voter.

Aucune personne lucide ne peut voter pour un vieux qui a rendu la vie chére au sénégal et qui distribue des milliards à des chasseurs de primes

3.Posté par rom le 08/03/2012 07:56
Dis à WADE d'aller récupérer les 7 milliiars. C'est le plu gran voleur du pays. MERCI YOU? Tu é un vai patriote, contrairement aux autre mbalax man.du courage, le but é presk atteint

2.Posté par l''observateur le 08/03/2012 07:52
J'espère bien que Youssou Ndour qui veut aborder le thème de l'argent public, aura la courtoisie de dire à Macky Sall de rendre les 7 milliards de Taïwan dont les sénégalais ont le plus grand besoin actuellement!

1.Posté par PAL le 08/03/2012 07:49
pour la politique vous pouvez arrêter la musique alors que pour dieu vous ne pouviez pas le faire ni pour aller a la Mecque

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