Cheikh Yérim Seck, une victime emprisonnée

La curiosité malsaine que suscite l’affaire Cheikh Yérim SECK et le dénouement de son procès en appel nous font penser qu’il est à plusieurs égards une victime emprisonnée.


Cheikh Yérim Seck, une victime emprisonnée
Cheikh Yérim SECK victime de la machine judiciaire ?
La Cour d’appel de Dakar vient de réduire la peine de prison à laquelle est condamné Cheikh Yérim SECK dans l’affaire de viol qui l’oppose à son accusatrice (De 3 ans à 2 ans). Parallèlement le juge d’appel a aggravé la sanction financière qui lui a été infligée par les premiers juges (De 3 millions à 10 millions de francs CFA).
En droit sénégalais le viol est définit comme  : «Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu'il soit, commis sur la personne d'autrui par violence, contrainte, menace ou surprise est un viol». 
Donc pour maintenir Cheikh Yérim SECK en prison il fallait démontrer que la pénétration sexuelle litigieuse a eu lieu soit par la violence, soit par la contrainte, soir par la menace, soit par la surprise.
Or, l’accusatrice elle-même a  affirmé n’avoir été ni violentée, ni menacée. Elle se dit prise par la contrainte de son présumé agresseur qui lui aurait appliqué tout le poids de son corps pour lui imposer un acte sexuel. Qui plus est, sa prétention de viol par contrainte a été rejetée par les juges d’appel. Donc à ce stade Cheikh Yérim SECK devrait être libéré, sa condamnation n’ayant plus de base légale. Pour le maintenir en prison il fallait faire preuve d’équilibriste et concevoir un nouveau pilier pour fonder sa condamnation. Le seul pilier qui était juridiquement disponible était le viol par surprise. Les juges se sont alors virtuellement invités dans la chambre où ils ne se trouvaient pas, pour se substituer à l’accusatrice. Celle-ci ayant plaidé l’agression sexuelle par la contrainte, les juges lui ont dit non, tu n’as pas été contrainte, tu as été surprise. C’est quand même hallucinant. Les lois pénales sont d’interprétation stricte. On  ne peut pas se permettre de surfer sur leurs vagues pour étendre leur champ d’application. Le principe de la légalité des délits et des peines veut que les incriminations et les sanctions précèdent les faits criminels qu’elles appréhendent.
Toute la condamnation de Cheikh Yérim SECK repose dorénavant sur la surprise, c’est surprenant.
Surprise ? Pour une fille qui s’est rendue délibérément dans une chambre d’hôtel pour y rejoindre un homme marié qui l’a séduite. Surprise ? Pour une fille qui attendu que l’homme avec qui elle s’est trouvée en intimité avancée dans cette chambre d’hôtel mette un préservatif. NON !
La seule surprise qui reste serait que l’accusé ait profité d’un moment d’inattention de la fille pour introduire furtivement son sexe dans celui de son accusatrice. Mais cette hypothèse ne peut non plus tenir, à partir du moment où un acte sexuel s’en est suivi sans qu’il y ait menace ou violence (d’après la fille elle-même) ; sans qu’il y ait contrainte (d’après les juges d’appel). Et il serait ridicule de plaider que la fille a été surprise pendant tout le temps de l’acte sexuel. Sauf à démontrer qu’elle ne jouit pas de toutes ses facultés mentales. Ce qui ne semble pas être le cas.
Les avocats de Cheikh Yérim SECK ne devaient pas avoir de mal à faire constater par la juridiction suprême que le droit n’a pas été dit par la Cour d’Appel de Dakar.


 
 
Cheikh Yérim SECK victime de la vindicte populaire
Le verdict rendu dans cette affaire nous laisse perplexe. Les circonstances de l’affaire et le tollé populaire qui l’a accompagnée  suscitent des interrogations qui méritent qu’on s’y attarde. A-t-on condamné un violeur ou plutôt quelqu’un qui a transgressé les mœurs sénégalaises en se  livrant à l’adultère ?  Le fait que Cheikh Yérim SECK ait eu une relation extraconjugale ne vaut pas une telle condamnation. Est-ce qu’un homme ayant un appétit dévorant pour les femmes doit pour autant être traité comme une canaille ?
Quoiqu’il en soit, comme dans la majeure partie des cas d’accusation de viol, seuls les concernés savent réellement ce qui s’est passé. Mais il serait burlesque de penser que Yérim SECK ait pu se comporter comme un violeur sulfureux, emporté par une sexualité compulsive et obsessionnelle.
Nous ne savons pas ce qui s’est passé dans cette chambre, mais nous pouvons crier haut et fort que Cheikh Yérim SECK n’est pas un violeur. Nous pouvons dire à qui veut l’entendre que Cheikh Yérim SECK a été en partie victime d’une clameur populaire inquisitoire, qui gardait une dent contre lui. L’accusant d’arrogant et de tous noms d’oiseaux, ceux qui sont jaloux ou gênés par son succès fulgurant, son intelligence et son élégance ont dit et écrit ça et là des petitesses pour l’accabler.
Cette affaire révèle une certitude : une partie de notre société nourrit  une curiosité malsaine et une haine accommodée à l’égard de compatriotes qui réussissent, et qui ne s’intéressent pas à caresser leur égo pour obtenir leur estime. Cheikh Yérim SECK fait partie des victimes de ce ressentiment populaire qui ne peut être expliqué que par le dépit.
Le sénégalais peut facilement succomber à la tentation haineuse s’il se trouve en face d’un compatriote qui excelle par son intelligence, son charisme et son pouvoir. Cheikh Yérim SECK jouit de ses trois attributs. De ce seul fait, il devient coupable aux yeux d’esprit faiblards qui profitent de toute occasion pour le calomnier.
Cheikh Yérim SECK victime de la démagogie sociétale
Quand on parle de viol l’entendement populaire fait référence à l’agresseur sexuel déviant social, au prédateur souffrant de troubles psychologiques ou physiologiques ; de perturbations neurologiques ou hormonales. Cheikh Yérim SECK n’est pas dans ce chapitre.
Le fait qu’un homme se trouvant en intimité avec une femme,  use de son charme et de stratagèmes pour lui faire l’amour ne doit pas être assimilé au viol. Mais si on laisse le champ libre aux féministes extrémistes, il est probable d’en arriver prochainement à cette conception fleuve. En matière d’amour la femme laisse l’initiative à l’homme. C’est lui qui doit prendre le risque de déclarer sa flamme, de faire le premier baiser, de suggérer de passer à l’acte. Ce n’est pas nouveau ! Le puritanisme qui pourrait expliquer le semblant de choc éprouvé par la société sénégalaise avec cette affaire de viol est un leurre. Le libertinage est un fait dans notre société malgré les pesanteurs culturelles et religieuses.
Combien d’hommes mariés sénégalais ont eu des relations sexuelles extraconjugales ? Et parfois avec des mineurs ou de jeunes filles pouvant être leurs petites filles. Les jeunes étudiantes de la cité Claudel  à l’Université Cheikh Anta DIOP vous diront que la grande majorité des véhicules 4X4 qui font le défilé devant leur résidence en quête de « chair fraiche » sont conduites par des hommes mariés. Ecrasons la démagogie !
Le penchant  humain, légitime, de se mettre du côté de la victime pousse la clameur populaire à diaboliser et affabuler la personne accusée de viol. La société et la presse devraient réfléchir et se poser certaines questions sur les circonstances de l’affaire : le récit est-il cohérent ? La femme n’a-t-elle pas exagéré les faits ? L’homme a t-il le profil d’un prédateur, etc. Mais non. Le subconscient populaire, entraîné par une certaine presse laxiste ou envieuse, avait déjà tranché pour la culpabilité de l’accusé, dès le début de l’affaire.
 
Cheikh Yérim SECK victime du flou qui entoure la notion de viol
Cette affaire suscite l’inquiétude sur le contenu de la notion de viol et le combat que mènent les féministes fondamentalistes pour élargir sa définition.
Pour éviter que des accusations calomnieuses et des plaintes abusives provoquent des erreurs judiciaires, il est opportun de redéfinir les contours du viol.
En matière d’agression sexuelle il faut faire attention à l’élite bienpensante et aux féministes rancunières qui encouragent l’empathie à sens unique  et l’incrimination tout azimut. Le droit à l’intégrité physique est fondamental et ne doit tolérer aucune forme de violation. Pour autant, il faut faire attention à la tentation féministe qui veut élargir sans cesse le champ du viol.
Dans les pays occidentaux il suffit qu’une femme se dise violée pour que des féministes de tout genre montent au créneau  pour crier au scandale. Et il suffit qu’un certificat médical atteste l’existence d’abrasions vaginales pour que les esprits présument  l’usage de la force, et par conséquent l’absence de consentement.
Cette situation ouvre la porte au flou, voile la vérité et favorise le mensonge. La présomption d’innocence risque d’en pâtir et l’erreur judiciaire plane autour du procès. Les juges devront affronter les influences de la société et de la presse, et ne pas se laisser influencer.  
Est-ce qu’il appartient à la loi de réinventer les codes de la séduction et les rouages de l’amour charnel ? Si la      réponse est oui la loi doit inviter chaque partie à assumer sa responsabilité. L’homme ne doit  contraindre en aucune manière la femme. La femme ne doit pas se retrancher derrière l’accusation de viol si elle a consenti à tout le processus menant à l’acte sexuel, et  regrette par la suite. Sans abonder dans le même sens que Freud qui affirme que les femmes fantasment plus souvent qu’elles ne disent la vérité, force est de reconnaître que cela arrive souvent, malheureusement, en matière de viol.
Il est arrivé plusieurs fois qu’une femme qui vient d’être « déviergée » se retranche derrière le viol pour camoufler sa honte ou prendre une position de victime afin d’éviter la foudre familiale,  dans une société où le fait de faire l’amour avant le mariage est perçue comme une transgression sociétale et un péché religieux.
Se pose dès lors une question cruciale : quelle est la frontière, le niveau d’initiative ou de suggestion à ne pas franchir pour ne pas  tomber dans le champ criminel ? Combien d’hommes ont eu à insister vigoureusement, à être malotru face à une femme hyper excitante ?
Doit-on imposer à l’homme une obligation de maitrise de libido à toutes les étapes du rapport sexuel. L’amour-robot doit-il remplacer l’amour naturel ? Il serait alors plus sûr de recourir au service d’une prostituée, de préférence en signant un contrat écrit avant l’acte, afin de se prémunir de toute poursuite judiciaire.  Est-il possible de contrôler,  comme un ordinateur programmé, l’expression d’une pulsion lorsqu’on est en intimité profonde ?
Il faut faire le distinguo entre défense de l’intégrité physique des femmes et relents sexistes.
En France  Depuis 1992 (reconnaissance du viol dans le couple)  les rapports entre homme et femme en matière de sexualité font l’objet de réglementation incriminante. S’il ne fait aucun doute qu’il faut prévenir et sanctionner toute forme d’agression sexuelle, il faut toutefois se méfier de l’influence des lobbies féministes qui encouragent la prolifération de délits sexuels : Harcèlement dans le couple, agression sexuelle, viol par surprise, viol conjugal, etc. Hommes, faites attention ! Bientôt vous allez vous retrouver en prison pour avoir fait l’amour à votre femme alors qu’elle n’était pas bien réveillée.
Il faut éviter de faire du Sénégal un Suède africain en matière de viol.
Si la condamnation de Cheikh Yérim SECK pour viol par surprise n’est pas annulée par la Cour de Cassation, cela serait un premier pas vers l’évolution fantaisiste du viol en Suède. La définition du viol dans ce pays est beaucoup plus étendue que dans le reste de l'Europe. Cette conception extensive du viol est le résultat de combats féministes de plusieurs décennies. Des actes d’agressions sexuelles sont maintenant sanctionnés dans ce pays comme des viols. Si un homme fait l’amour à sa copine ou à sa femme alors que celle-ci dormait ou est sous l’emprise de l’alcool, il sera coupable de « sexe par surprise », assimilé au viol. Pire, l’homme sera coupable de viol s’il tarde de s’arrêter pendant l’acte sexuel auquel a consenti dès le départ sa partenaire. L’homme doit s’assurer pendant toute la durée du rapport sexuel que la femme maintient son consentement, seconde après seconde. C’est révoltant ! Julian Assange, fondateur de Wikileaks, ne dira pas le contraire. Cette législation ultra-féministe lui a valu deux plaintes de la part de ses admiratrices. Après avoir couché avec lui pendant la nuit, l’une d’elle lui reproche de lui avoir fait l’amour au réveil alors qu’elle dormait encore. L’autre l’accuse d’agression sexuelle pour lui  avoir fait l’amour sans porter de préservatif. Mais ce n’est pas tout.   L’une des femmes l’accuse de « coercition illégale» : le fait par l’homme d’appliquer le poids de son corps sur la femme lors du rapport est une agression sexuelle constitutive de viol. Que reste-t-il de l’amour ?
Si on se laisse intimider par le fanatisme sexiste d’ONG et d’associations « droit-de-l’hommiste » à la merci de leurs bailleurs occidentaux, tous les hommes sénégalais deviendront bientôt des violeurs en sursis.
Cheikh Yérim SECK, dernière victime de la trilogie  Sexe-Pouvoir-Justice ?
Les hommes de pouvoir sont les premières victimes de cette tendance répressive. Beaucoup de femmes se laissent séduire et résistent peu à l’idée d’entretenir une aventure avec eux. Malheureusement il arrive souvent que ces amours d’un temps débouchent sur un contentieux judiciaire reposant sur le harcèlement ou une accusation de viol.
Il faut toutefois se méfier des salmigondis de clichés. On peut être riche, célèbre et innocent. Dominique Strauss Khan, a subit les pires affabulations dans les affaires l’ayant opposé à Nafissatou Diallo Aux Usa et à Tristane Banon en France. Parce qu’il avait le pouvoir et l’argent, des féministes de tout bord se sont coalisés contre lui pour l’envoyer en prison.
Les gens de pouvoir n’ont généralement pas besoin d’user de la force pour assouvir leurs pulsions sexuelles. Les courtisanes s’offrent à eux à cause du pouvoir qui les fascine, ou de l’argent espéré.
En effet il est avéré que les femmes se laissent facilement séduire par les hommes qui ont de l’intelligence, du pouvoir ou de l’argent. Un seul de ses attributs suffit. Si un homme cumule les trois, il est pénard. Mais il faut avouer qu’il y a un risque de voir cet élu des cœurs vouloir pousser les limites jusqu’à perdre la raison. Il peut alors sombrer dans un narcissisme exagéré, parfois grossier, lui faisant croire qu’aucune fille ne doit lui résister. Une telle attitude peut l’amener à commettre des actes d’harcèlement, voire de contrainte face à des femmes désirées, mais qui se refusent à lui. Fort heureusement, la patate pourrie n’a pas encore gâché le lot du sac.
L’histoire nous a enseigné que les grands souverains avaient une vie sexuelle très active, qui n’handicape pas forcément leur progression. Le pouvoir semble agir comme un aphrodisiaque.  Il semblerait que le pouvoir et la célébrité boostent l’appétit sexuel. D’un autre côté il y a les filles qui se bousculent à leurs portes, même s’ils sont mariés. On attribue à Napoléon une soixantaine de maitresses et 300 à  Louis XIV. Le roi de France Henri IV, exprimait en ces termes sa fierté de consoler son « priapisme » avec une cinquantaine de maîtresse : « jusqu’à cinquante ans, j’ai cru que c’étais un os ». La fin tragique – ou heureuse -  de Félix Faure, ancien Président français, montre que sexe et pouvoir font ménage depuis longtemps au plus haut sommeil de l’Etat : c’est la fellation qui lui a été servie par sa maitresse à l’enceinte même du Palais de l’Elysée qui a provoqué  la congestion cérébrale ayant entrainé sa  mort quelques heures plus tard.
Plus récemment Bill Clinton a été  rattrapé par l’affaire Monica Lewinsky qui lui valu l’étiquette d’ardent tombeur. Silvio Berlusconi, alors président du conseil italien, a défrayé la chronique avec l’affaire des bunga-bunga, ces orgies organisées  pour lui donner de bons moments en présence de filles hyper belles et hyper sexy. La boulimie sexuelle des hommes de pouvoir ne parait pourtant pas compromettre leurs carrières politiques, ni leurs business. Arnold Schwarzenegger a été élu gouverneur de Californie en 2003 malgré les affaires de mœurs portées contre lui par des femmes. Jacob Zuma, est devenu Président d’Afrique du Sud malgré son inculpation pour viol en 2005 et le fait qu’il soit père d’une vingtaine d’enfants hors mariage. 
Ce n’est pas Cheikh Yérim SECK qui fera l’exception à cette règle. Ses détracteurs doivent prendre leur mal en patience. Il sortira de cette mésaventure encore plus fort.
 
 
Aliou TALL
Président du RADUCC (Réseau Africain de Défense des Usagers, des Consommateurs et du Citoyen)
Paris. 
 
 
Mardi 9 Avril 2013




1.Posté par Maria le 09/04/2013 11:58
Bien dit M. TALL
je pense que le législateur sénégalais, l'accusatrice de Cheikh Yérim, sa famille, le Président Macky Sall ..... et tous les sénégalais ... et le monde entier LIRONT ton texte pour qu'enfin tout le monde sache que Cheikh Yérim Seck est bien innocent, il est bien UNE VICTIME EMPRISONNEE
J'espère que cette publication fera dire le droit.
Cheikh Yerim Seck, homme de cœur, ne pouvait imaginer la jalousie que nourrissaient ses confrères qui ne rêvaient que de le voir tombé face à son pouvoir, son intelligence, son succès et son audience internationale qu'ils ne pouvaient digérer
Merci pour cet éclairage et cette remise des pendules à l'heure tant à l'égard de l'accusatrice de Cheikh Yérim que de Cheikh Yérim lui même en tant que figure publique, en tant que homme marié, en tant que père de famille, en tant que musulman, en tant que ....

2.Posté par Le Rebelle le 09/04/2013 18:31
c'est ce que j'ai toujours pensé.

3.Posté par lamine dieng le 09/04/2013 23:20
bonjour,

il n'y a pas eu viol. c'est clair.
du courage, pour Yérim Seck.

lamine dieng

4.Posté par XALASSATIE le 10/04/2013 04:11
tres bon text waxx ngua leep , la premiere arme d'une personne en situation de viol c'est : de crier , miss tall s'est tue au moment ou les secours etaient a sa rescousse ...etc....

5.Posté par lib69 le 10/04/2013 08:19
Je suis triste pour lui, mais c'est difficile de defendre un homme qui s'est lui meme mis dans cette situation. En fait il est tombé dans le piège des jeunes filles Senegalaises. Attention, personne n'est a l'abri de ces allumeuses!

6.Posté par BATH le 10/04/2013 08:43
pour le cas de YERIM ,qu'il sache que c'est tout simplement du THIAT par la volonté du tout puissant ALLLAH . YERIM soit patient et arme-toi de la patience du THIAT qui vous suive partout , Pour la sourate ANISAAH au verset ( si vous évitez les grandes péchés qui sont interdit, nous effacerons vos méfaits de votre compte,et nous vous ferons entrer dans un endroit honorable.)

7.Posté par Damel@yahoo.fr le 10/04/2013 09:54
Je partage toute l'analyse de ce monsieur. Nous qui sommes des jeunes cadres, la jurisprudence YErim Seck est une épée de Damoclès qui imposent de nous plus de méfiance malgré la séduction agressive de cette jeune génération de femmes et de fille.
Je suis convaincu que YErim Ba en sortir renforcer. La pénitence est une occasion privilégiée pour convoiter le pardon de DIeu pour nos pêches. Le soleil de la liberté briellera bientôt sur YErim

8.Posté par femme épouse et mère le 10/04/2013 10:26
Avec ces trois caquettes, j'ai toujours pensé à l'innocence de CYS car la fille ne peut plus parler de viol d'autant plus qu'elle a accepté de se rendre à l'hôtel, de créer cette intimité , et ...toute la suite ? En tant que femme je crois que, soit la fille a eu regretté à suivre ses sentiments ou pulsions, soit elle a eu joué un rôle bien pensé pour avoir dans l'ordre CYS. M. tall je partage bien votre analyse;

9.Posté par gnita le 10/04/2013 11:02
j ai toujours cru en l'innocence de CYS. je comprends vraiment pas pourquoi tout cet acharnement sans répis. du courage Cheikh Yérim. Il n y a pas de honte à tout cela. Tu t 'en sortiras plus fort et plus puissant. J'adhére parfaitement à la position de M. TALL

10.Posté par NGER le 10/04/2013 12:10
Merci pour tout ceux qui partagent mon analyse sur le cas YERIM que je ne connais même pas et je jure sur le saint coran. Et concernant à continuer sur les analyses ,si c'était le sois disant de viol à mon endroit avec ma propre fille,avant de la pousser à déposer une plainte,dans un premier temps à chaud,je lui poserais une seule question et avec ma femme. . Ma fille avec l'éducation que je vous dois depuis des années ,à savoir d'être pieuse,fidéle et surtout la même lignée de ta mêre,je vous demande ma fille le pourquoi à mon insu de ne pas demander la permission à si tôt le matin d'aller à l'hotel , donc puis-je savoir si c'était pour de l'argent, ou découvrir YERIM qui vous a impréssionné . Donc si ma fille sache qu'à mon insu et celle de sa mére est hors dans son cadre du bon chemin ,mais en tant que pére de famille et ensuite musulman que je poserais jamain de plainte et surtout avoir du retour ( dampaille) de l'argent. Et si qu'on reçoit du (dampaille) et surtout 3 millions ,mais il faudra s'attendre qu'une autre fille suivra le même chemin

11.Posté par MERE DE FAMILLE le 06/05/2013 23:07
vraiment tout ce que vous avez dit est vrai.je suis une mere de famille mais si ma fille etait a la place de cette fille j jaurai eu honte d ebruiter cette affaire. AUTANT JE SUIS CONTRE LES VIOLEURS DE TOUT ACABITA QUI JE NE SOUHAITE QU UNE CHOSE LA CASTRATION, autant cette affaire est vraiment tiree par les cheveux. YERIM QUE JE NE CONNAIS QUE PAR LES MEDIA BON COURAGE ; li natou la nangou ko te boula thi yallah guene na nga toube te sage.



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