Nous avons appris avec beaucoup de peine le licenciement de la Directrice de la Maison de la Culture Douta Seck, Mme Awa Cheikh Diouf parce que, simplement, le restaurant du lieu dont elle est responsable, a abrité une conférence de presse de la section APR du quartier de la Médina.
Le restaurant étant un espace autonome à l’intérieur de la Maison de la Culture, tout citoyen qui en a le souhait et les moyens de payer, peut y prétendre et y mener ses activités.
Ce licenciement, pour des raisons purement partisanes de la part de la Ministre de la Culture Awa NDiaye, responsable politique du PDS, doit être dénoncé avec la plus grande fermeté.
Appréciée pour son intégrité, sa compétence et son esprit d’ouverture, Mme Awa Cheikh Diouf force le respect de tous les professionnels et ne mérite pas un tel mépris, une telle légèreté administrative.
En dénonçant cette décision, nous dénonçons par la même occasion la politisation des institutions de notre pays.
Nous en appelons à la responsabilité des cadres du Ministère de la Culture, en leur qualité de cadres, de refuser toute manipulation par un ministre, de quelque bord qu’il puisse être.
>Madame Awa Cheikh Diouf mérite simplement de retrouver son poste.
Le restaurant étant un espace autonome à l’intérieur de la Maison de la Culture, tout citoyen qui en a le souhait et les moyens de payer, peut y prétendre et y mener ses activités.
Ce licenciement, pour des raisons purement partisanes de la part de la Ministre de la Culture Awa NDiaye, responsable politique du PDS, doit être dénoncé avec la plus grande fermeté.
Appréciée pour son intégrité, sa compétence et son esprit d’ouverture, Mme Awa Cheikh Diouf force le respect de tous les professionnels et ne mérite pas un tel mépris, une telle légèreté administrative.
En dénonçant cette décision, nous dénonçons par la même occasion la politisation des institutions de notre pays.
Nous en appelons à la responsabilité des cadres du Ministère de la Culture, en leur qualité de cadres, de refuser toute manipulation par un ministre, de quelque bord qu’il puisse être.
>Madame Awa Cheikh Diouf mérite simplement de retrouver son poste.
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