
Après l’éclatante victoire du président Macky Sall et après les nombreuses supputations sur l’identité de celui qui deviendrait son premier ministre, le président Macky sall, comme nous l’avait habitué son mentor, avait signalé à gauche pour bifurquer à droite. La nomination de Monsieur Abdoul Mbaye, un banquier et technocrate à la tête du gouvernement avait surpris plus d’un. Les politiques comme les journalistes ont tous été pris de court. Mais, l’annonce du fils de Kéba Mbaye à la primature avait aussi suscité de l’espoir, un espoir de voir enfin la rupture tant annoncée, un espoir de voir naitre un nouveau régime fort, bien organisé et travailleur. Cependant, la publication de la liste des membres du gouvernement tant attendu avait provoqué une très grande déception. Dans la formation de ce premier gouvernement, Macky a fait comme wade à ses débuts, en servant ses alliés et en gratifiant ses compagnons des périodes de déche. Ce fut les partis avant la patrie. Les sénégalaise ont été quelques peu déçus de ne pas voir les hommes qu’il faut aux places qu’il faut. Beaucoup de nominations ont été contestées et aujourd’hui, sept mois plus tard, le temps a jugé. Le masque est tombé pour dévoiler au public les lacunes du nouveau régime.
Ce réaménagement constitue un aveu. Ce réaménagement prouve que les choix du départ n’étaient pas bien considérés. On pourrait noter trois éventualités qui prouveront tous que le président et son PM se cherchent encore.
1. Ceux qui sont exclus n’ont pas été à la hauteur de leurs charges, donc leurs compétences étaient surévaluées
2. Ceux qui ont été amputés ont prouvé leurs insuffisances dans certains domaines, donc ou ils étaient aussi sur évalués ou bien la fusion des départements impliquées n’a pas été bien pensée
3. Quant à ceux qui ont été déplacés ailleurs, c’est soit par ce qu’ils n’étaient pas à leur place et que leurs compétences étaient attendues ailleurs, soit parce que le président s’est enfin rendu compte que les ministères qu’occupaient certains partis alliés représentaient un réel danger pour lui du fait de la proximité avec le peuple qu’offraient ces ministères.
Dans tous les cas, un tâtonnement est aperçu et une déficience est notée. Si c’est le cas, fort sera de constater que nous nous sommes mis dans de beaux draps et que le Sénégal ne sait toujours pas ou il va atterir dans 5 ou 7 ans.
Dans l’état actuel du pays avec la crise qui sévit dans tous les secteurs, la résolution de nos problèmes viendra plus d’un changement de politique gouvernemental qu’un remaniement. Ce n’est pas une question de personne mais plutôt de système. Ce n’est pas non plus une question de parti ou de patrie, mais plutôt une question de COMPETENCE
Ce réaménagement constitue un aveu. Ce réaménagement prouve que les choix du départ n’étaient pas bien considérés. On pourrait noter trois éventualités qui prouveront tous que le président et son PM se cherchent encore.
1. Ceux qui sont exclus n’ont pas été à la hauteur de leurs charges, donc leurs compétences étaient surévaluées
2. Ceux qui ont été amputés ont prouvé leurs insuffisances dans certains domaines, donc ou ils étaient aussi sur évalués ou bien la fusion des départements impliquées n’a pas été bien pensée
3. Quant à ceux qui ont été déplacés ailleurs, c’est soit par ce qu’ils n’étaient pas à leur place et que leurs compétences étaient attendues ailleurs, soit parce que le président s’est enfin rendu compte que les ministères qu’occupaient certains partis alliés représentaient un réel danger pour lui du fait de la proximité avec le peuple qu’offraient ces ministères.
Dans tous les cas, un tâtonnement est aperçu et une déficience est notée. Si c’est le cas, fort sera de constater que nous nous sommes mis dans de beaux draps et que le Sénégal ne sait toujours pas ou il va atterir dans 5 ou 7 ans.
Dans l’état actuel du pays avec la crise qui sévit dans tous les secteurs, la résolution de nos problèmes viendra plus d’un changement de politique gouvernemental qu’un remaniement. Ce n’est pas une question de personne mais plutôt de système. Ce n’est pas non plus une question de parti ou de patrie, mais plutôt une question de COMPETENCE
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