Abdoulaye Wade se confie à dakaractu au sujet de sa candidature… Interview exclusive


Abdoulaye Wade se confie à dakaractu au sujet de sa candidature… Interview exclusive
DAKARACTU.COM  C’est après le match opposant le Sénégal à la Guinée Equatoriale que le chef de l’Etat sénégalais, Abdoulaye Wade, visiblement atteint par la défaite des lions, a reçu le directeur de la rédaction de dakaractu. L’entretien, qui a duré de 23h à 2h du matin, s’est déroulé à bâtons rompus. Toute la vie de l’actuel locataire du palais de l'Avenue-Léopold-Sédar-Senghor a été passée au crible, de sa naissance à Kébémer à la veille de ce qui sera sans doute son dernier combat politique, en février prochain. Wade s’est livré et, à travers sa vie, a reconstitué des pans entiers de l’histoire politique du Sénégal. Il a parlé de son bilan au cours de ces douze années passées à la tête du pays et décliné les actions qu’il entend mener s’il est réélu. Encore faudrait-il que sa candidature soit validée dans les tout prochains jours par le Conseil constitutionnel. Compte tenu de l’imminence de la décision de la haute juridiction, nous avons extrait la partie de l’entretien relative à cette candidature controversée que nous vous proposons aujourd’hui en exclusivité. En attendant les gros morceaux de cette interview que nous avons voulu exhaustive et que vous pourrez lire prochainement dans votre site préféré.
 
Pourquoi, au bout de deux mandats, persistez-vous à vouloir en briguer un troisième fort controversé ?
 
J’ai une mission historique à remplir au service de mon pays. Je ne suis pas devenu président du Sénégal par hasard. Mon arrivée au pouvoir est l’aboutissement logique d’un long cursus de combat pour la démocratie et le progrès.

Ne pensez-vous pas, à 86 ans, au bout de vingt-six ans d’opposition, et de douze ans d’exercice du pouvoir, que le temps est venu pour vous de goûter à une retraite bien méritée ?      
 
Je me sens toujours dans les dispositions physiques et intellectuelles de servir mon peuple. Et ne saurais m’arrêter au milieu du gué. J’ai trouvé le Sénégal en 2000 dans les profondeurs du classement des Pays les moins avancés. En 12 ans, j’en ai fait un pays à revenu intermédiaire. Il y a même quelques prémisses d’émergence. J’ai besoin de trois autres années pour terminer quelques grands chantiers qui vont achever d’en faire un pays émergent.

N’êtes-vous pas trop vieux pour une fonction aussi exigeante que celle de chef d'Etat, comme le rappellent trop souvent vos détracteurs ?
 
Ce sont eux qui le disent. On a l’âge de sa volonté. Je continue à brûler de cette passion du Sénégal et à être animé de ce plaisir intact de servir. Et puis, comme je l’ai dit il y a quelques jours aux Français, le plus vieux de la classe politique, ce n’est pas moi. C’est Amadou Mahtar Mbow, le chef de l’opposition.
 
Au-delà de la contrainte liée à l’âge, votre candidature est qualifiée d’anticonstitutionnelle par la plupart des juristes sénégalais…
 
Quels juristes ? Je suis juriste moi aussi. Et la Constitution, c’est moi qui l’ai rédigée. Tout seul. Nul ne la connaît mieux que moi. Tous ceux qui prétendent l’avoir rédigée racontent du faux. C’est moi qui l’ai écrite. J’ai tout au plus sollicité des avis de juristes quand j’ai terminé la rédaction. Je l’ai fait lire à Serigne Diop, Amsatou Sow Sidibé et quelques autres pour recueillir des points de vue, des amendements, des suggestions... Ceux qui prétendent le contraire racontent des contre-vérités, à l’image de ceux qui disent avoir appartenu à une commission de rédaction. Il n’y a pas eu de commission de rédaction. La Constitution est mon œuvre. Nul ne peut l’interpréter mieux que moi-même.
 
Aux termes des articles 27 et 104 de cette Constitution, vous ne pouvez plus, après deux mandats, en briguer un autre…
 
Cet article 27, c’est moi qui l’ai rédigé. Sa nouvelle version date de 2008 et dit que le président est élu pour un mandat de 7 ans renouvelable une fois. J’ai été élu en 2000 sur la base de la Loi fondamentale de 1963. Après mon élection, j’ai fait adopter une nouvelle Constitution. Tout le monde sait que la loi régit le présent et l’avenir mais ne rétroagit pas. C’est un principe général de droit. Depuis que l’article 27 instituant le septennat a été adopté en 2008, il n’y a pas eu d’élection. Mon premier mandat sous l’empire de ce nouveau texte est celui qui démarre en 2012. Je peux même légalement me présenter pour une autre fois en 2019. Les juristes sérieux le savent et l’ont écrit.
 
Pourquoi dans ce cas avez-vous déclaré, après votre victoire de 2007, que vous ne pouviez plus vous présenter ?    
 
L’argument facile consiste à invoquer cette déclaration au lieu d’interroger le texte constitutionnel lui-même. Ma déclaration n’a pas de valeur juridique. La Constitution, si. Mes adversaires le savent mais ils sont de mauvaise foi. Leur problème, ce n’est d’ailleurs pas tout ce qu’ils racontent sur l’article 27 et les autres. Ils ont la hantise de me voir candidat. Et pour une raison simple : ils savent que je vais les battre. Ils ne peuvent pas gagner s’ils m’ont en face. C’est cela le fond de toute cette agitation autour du thème de l’illégalité de ma candidature.   
 
Mesurez-vous les risques que fait peser votre candidature sur la stabilité du pays ? Vos adversaires sont résolus à user de tous les moyens pour l’empêcher…
 
Ils ne feront rien. Ce disque est rayé. Ils n’ont d’ailleurs pas commencé dans ce registre. Ils ont d’abord cherché à m’amadouer, en m’affublant de tous les superlatifs (père de la nation, bâtisseur du pays, artisan de la démocratie…) pour m’anesthésier afin que je renonce à être candidat. Devant l’échec de cette manœuvre, ils ont brandi l’arme de la menace. C’est du vent. Ils m’ont donné un ultimatum pour que je dise que je ne me présente pas, je ne me suis pas exécuté. Il n’y a rien eu. Ils ont prétendu qu’ils attendaient que je présente ma candidature pour brûler le pays, j’ai présenté ma candidature. Il n’y a rien eu. Ils clament maintenant qu’ils vont agir le jour où le Conseil constitutionnel va arrêter la liste des candidats. Ils ne feront rien du tout. Certains d’entre eux poussent le ridicule jusqu’à déclarer qu’ils attendent mon élection pour mettre le feu le jour de mon investiture !
 
Ceux que vous semblez tant sous-estimer vous ont fait retirer votre projet de réforme constitutionnelle le 23 juin dernier. Ne peuvent-ils pas imposer à nouveau un rapport de forces en votre défaveur ?
 
Ils nous ont surpris ce jour-là. J’ai commis une erreur d’appréciation. Jamais je n’avais imaginé qu’il y aurait des bagarres. J’ai péché par angélisme, estimant que les choses allaient se limiter à des passes d’armes verbales, alors que mes adversaires avaient ourdi un complot. Jamais un scénario de ce type ne se reproduira. Nous ne nous laisserons plus surprendre.
 
Vos détracteurs ne sont pas seuls dans leur combat. Ils sont soutenus par les Etats-Unis dont les officiels multiplient les sorties au vitriol contre vous. Pourrez-vous contenir toute cette pression ?
 
Quelle pression ? Personne ne peut exercer des pressions sur moi. Personne. Cela n’a pas de sens. Qu’est-ce que j’ai fait de mal ? Je travaille bien, j’ai des résultats… Evidemment, je prends quelquefois des positions qui gênent mais c’est ainsi. Je suis le dirigeant d’un petit pays mais je n’ai peur d’aucune puissance. Si je suis attaqué, je me défendrai. D’ailleurs, l’opinion est divisée aux Etats-Unis. Il y a des congressmen qui ont écrit au gouvernement américain pour lui dire qu’Abdoulaye Wade est l’ami de l’Amérique et qu’il a été l’unique dirigeant africain à avoir organisé une conférence internationale contre le terrorisme quand les Twin towers ont été démolis par des radicaux.
 
Si les pressions des Etats-Unis s’avèrent vaines, vous pouvez être disqualifié par le Conseil constitutionnel, s’il déclare votre candidature irrecevable. Envisagez-vous cette hypothèse ?
 
Pas du tout. Pas un seul instant. Et pour une raison simple : les juges du Conseil constitutionnel sont des connaisseurs du droit. Il y a même un agrégé parmi eux. Le raisonnement juridique qui valide ma candidature s’impose de lui-même. Il n’existe pas d’argument juridique solide pour la déclarer irrecevable. Ce n’est pas sérieux en droit de soutenir la thèse de l’irrecevabilité.
 
Et si, en dépit de tous vos arguments, le Conseil constitutionnel invalide votre candidature, que ferez-vous ?
 
Je ne pense pas que votre hypothèse puisse se produire. Cela me surprendrait. Mais bon, si par extraordinaire cela arrivait, je m’y plierais. Que voulez-vous que je fasse ? M’opposer à une décision du Conseil constitutionnel ? Je ne peux pas l’imaginer. Mais si les juges en décident ainsi, je vous laisserai tout ça entre les mains et je partirai.
 
Où partirez-vous ?
Chez moi, au Point E.
 
Envisagez-vous une vie après le pouvoir ?
 
Absolument. Je rêve de rester chez moi, au Point E, ou sur mon terrain à Yoff, pour recevoir les gens qui viennent solliciter mes conseils. J’ai envie d’écrire. Tout le monde me demande de rédiger mes Mémoires. J’ai quelques morceaux mais il faut que je les termine. Et puis j’ai des livres d’économie à écrire. Dans le cadre d’un combat scientifique, je veux rédiger des ouvrages qui remettent l’économie politique sur ses pieds.
 
(A suivre...)

Propos recueillis par Cheikh Yérim Seck
 
  
  
Jeudi 26 Janvier 2012
Dakaractu



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51.Posté par Attention le 26/01/2012 14:20
Le coup d'état électoral qui se prépare, lisez et faites passer, pour que la bataille de la non candidature de wade soit accentuée: Merci et courage.

SOYEZ VIGILANT !

Comment Me Wade compte-t-il gagner en 2012?


La stratégie de la fraude, les moyens techniques (logiciel informatique) du système ainsi que les hommes qui doivent l'animer sont en place...depuis quelques jours.

Sont au courant des détails de la fraude informatique: Me Wade, Me Ousmane Ngom (Ministre d'Etat, Ministre de l'intérieur), Cheikh Tidiane Sy (Ministre d'Etat, Ministre de la Justice), Me Madicke Niang (Ministre d'Etat, Ministre des affaires étrangères), Karim Wade (Ministre d'Etat, Ministre de la Coopération internationale, des Transports aériens, des Infrastructures et de l’Énergie)… Pape Ousmane Sy fils du Ministre de la Justice, conseiller en informatique du Président de la République, trois fonctionnaires ingénieurs informaticiens du ministère de l'intérieur .Le logiciel en question a été conçue par une firme indienne, via une autre société russe très connue ...( Poutine a-t-il utilise ce système de fraude pour gagner les législatives très contestées en Russie ?)


Le montant de la transaction avoisine les 5 milliards de francs Cfa, payé par l'argent provenant tenez-vous bien des 20 milliards de Sudatel. Eh oui...Latif Coulibaly journaliste d'investigation de l'hebdomadaire aujourd’hui candidat de la coalition > avait bien raison...Karim Wade et Pape Ousmane Sy ont mené toutes les négociations financières, et ceci dans le plus grand secret.


Le Président Wade était bien entendu au courant de toutes les démarches pour l'acquisition de ce "logiciel magique"... Le problème, aujourd'hui , ne se situe pas au niveau du fichier électoral, qui selon tous les experts et représentants de partis politiques, est bon...L'UE et les Américains l’ont confirmé…Wade a été très satisfait de cette confirmation sur la qualité de notre fichier électoral car personne ne pourra contester les résultats au soir du 26 Février 2012 en incriminant ce ficher ... Au moment des fêtes de Noel et de nouvel an ( semaines de 24 décembre 2011 au 1 Janvier 2012), pendant que tous les Sénégalais et Sénégalaises se focaliseront sur ces fêtes, au moment ou seront envoyés en congé tous les agents susceptibles de relever des soupçons au niveau du processus de fraude, le fameux logiciel conçu spécialement pour truquer des élections présidentielles sera mis en place... Le Ministre charge des élections n’y pourra rien car ne dispose aucun levier de la fraude. Le Ministre d’Etat, ministre de l’intérieur Me Ousmane Ngom a même parait-il fait venir son frère qui s’appellerait, selon mes sources, Oumar Ngom des Usa car il a besoin des hommes de confiance pour ce « boulot » … Ce logiciel va s'appuyer sur 3 points essentiels qui sont :


1-Le détournement du vote massif des hommes de tenue (militaires et gendarmes en particulier) .Ce vote reste flou et non transparent. Ces hommes de tenue auront reçu auparavant des consignes fermes pour aller tous voter pour le candidat de leur choix...Peu importe pour qui ils voteront, le "logiciel magique" se chargera ''d'arranger" toutes ces voix en faveur du candidat Abdoulaye Wade...et personne dans l'opposition ne saura ce qui est devenu le "vote militaire" comme se fut le cas en 2007.Amath Dansokho tente d’attiré l'attention sur la destination et la clarté du vote des militaires...sans succès.


2-La crise en Casamance : l’Etat s’arrangera à faire attiser la violence sur l’étendue de la région de Casamance en laissant pourrir une situation d’insécurité avec les attaques des rebelles ….comme cela plus de 70 % des inscrits ne pourront pas voter par la faute des violences qui vont déstabiliser le scrutin et tenez-vous bien le > se chargera du reste. Ainsi personne ne pourra être sur le terrain pour vérifier les résultats sortis des urnes dans beaucoup de localités du sud du pays Aujourd’hui la Casamance est à feu et à sang en attendant l’élection présidentielle du 26 Février 2012…


3- Enfin sur le récent redécoupage de 17 collectivités locales dans 6 régions du Sénégal. Le ministre de la Décentralisation et des Collectivités locales, le Dr Aliou Sow, a eu par les arrêtés n°6151 à 6155 du 24 mai 2011, à procéder à la nomination des membres des délégations spéciales chargés de faire fonctionner les collectivités locales issues du dernier découpage administratif…Tous les hommes du dispositif de la fraude ( « gouverneurs Wadistes » y compris ) sont en place … (Dans le département de Rufisque, ce sont les communes de Sendou, de Jaxaay-Parcelles-Niacoul Rab, Sangalkam et les Communautés rurales de Bambilor et de Tivaouane Peulh Niaga qui sont concernées. Dans le département de Guinguinéo, il s’agit des communes de Fass et de Mboss et les Communautés rurales de Ourour, Panal Wolof et de Dara Mboss. Pour le département de Malem Hoddar, il y a les Communautés rurales de Ndiobène Samba Lamo et de Ndioum Ngainth. Dans le département de Linguère, il s’agit des Communautés rurales d’Affé Djoloff, de Sagatta Djoloff et Yang Yang. Dans le département de Matam, il s’agit de la commune de Nguidjilone et la Communauté rurale de Bokidiawé.... ou beaucoup d'électeurs du fait des difficultés liées à l'obtention de nouvelles cartes d'identité et cartes d'électeurs ne pourront pas voter...).On n’entend plus le Dr Aliou Sow…Il a fini le travail pour lequel un grand ministère lui sera confié après la victoire de son mentor en 2012.


Le "logiciel de la fraude" va ratisser toutes les voix des militaires, gendarmes, des électeurs inscrits sur le fichier et provenant de ces localités découpées mais n'ayant pas pu voter, des fraudes opérées dans des zones d’insécurité en Casamance pour faire la différence en faveur du candidat Abdoulaye Wade...
Ce sont ces 3 points qui constituent ce qu’un journaliste-analyste appelle comme pouvant être >.


La surprise sera grande encore une fois parmi des Sénégalais et Sénégalaises... Personne ne comprendra et n'osera contester les résultats...Et il sera trop tard...pour agir...


Voila le plan diabolique qui a déjà permis à Ali Bongo du Gabon et à Faure Ngassimbe du Togo de gagner largement les élections présidentielles au nez et à la barbe de leurs opposants qui n'y avaient vu que du feu...La clé de la fraude passe par le vote des militaires, gendarmes et policiers...ainsi que par le découpage de collectivités locales pour perturber l’électorat et frauder !!! Le résultat du candidat Wade étant fixé par ses génies informaticiens ( 53,46% c’est le chiffre retenu qui a même été confirmé sur TFM-le-grand-jury par le ministre directeur de cabinet du président Wade, Me Sall… à la question combien estimez-vous le score de Wade au second tour si jamais il se présente ?), le logiciel se chargera d'allouer aux autres candidats un résultat plus ou moins cohérant basé sur des chiffres recueillis au niveau des bureaux de vote dans toutes les régions du Sénégal et de la diaspora...Encore une fois, seuls le vote des hommes de tenue, les fraudes opérées en Casamance et sur les 17 collectivités locales citées plus haut feront la différence...Je rappelle quece système de fraude n'avait pas été utilisé lors des élections municipales de 2009 mais avait bel et bien permis partiellement à Wade de gagner les présidentielles de 2007.


La seule chose qui empêche aujourd’hui le Président Wade de dormir c’est que le conseil constitutionnel sous la pression virtuelle de l’opinion publique, en particulier du M23 et de certaines personnalités ( Koffi Anan, Jimmy Carter…et autres ) décide de jouer la carte « respect de la constitution et de la légalité républicaine» et rejette la candidature de Me Wade !!! Scenario catastrophe que le clan Wade ne peut admettre. C’est la raison pour laquelle sous les conseils de Djibo Ka, Wade décide de relever les salaires des magistrats à 5 millions de francs Cfa…Il ne veut courir aucun risque à ce niveau. Corruption douce ? La seule bataille qui vaille est celle qui consiste faire respecter la constitution…Wade le sait il ne peut et ne doit pas se présenter à un 3 eme mandat. Les Sénégalais doivent donc se mobiliser autour du M23 et de son leadeur Alioune Tine pour gagner ce combat. Si la candidature de Wade passe, c’est Karim Wade qui se frottera les mains…
Un patriote de l’ombre dans le secret des Dieux… à la présidence de République.(ma position ne permet pas de décliner mon identité…). SOYEZ VIGILANT.

50.Posté par wait and see le 26/01/2012 14:03
s il te plai si tu es un musulman un fervan mouride un talibe serigne sliou guire yala ablaye wade demale abaleniou sougnou pays nous ne voulon pa de guere s il te plai s il te plaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii waye c la honte de l afrik si tu te presente la honte du senegal bilaye

49.Posté par Talibe chiekh le 26/01/2012 13:50
Par A ou B Pr Wade va gagner les elections... Oppositions bi dou def dara .!

48.Posté par ndouc le 26/01/2012 13:49
Le PÈRE de l'indépendance c'est bien Senghor oui mais il faut noter LE PÈRE de la démocratie Sénégalaise c'est bien ME ABDOULAYE WADE. Cette interview nous rassure que Wade dal sera réélu.

47.Posté par ndouc le 26/01/2012 13:44
Aucun candidat ne lui arrive à la cheville. Il a raison de dire qu'il a une mission historique à remplir au service de mon pays. Il n'est pas devenu président du Sénégal par hasard. Son arrivée au pouvoir est l’aboutissement logique d’un long cursus de combat pour la démocratie et le progrèsc'est un combat sans rival. Je vote Wade

46.Posté par GOOR le 26/01/2012 13:40
LA validation de la candidature de wade ne surprendra personne parce que c'est le droit qui sera dit de manière claire ainsi que sa victoire au premier tour avec 54%.

45.Posté par babs le 26/01/2012 13:39
Certains juristes de ce pays ne sont pas sérieux. Dans tous leurs débats ils n'ont jamais évoqué la révision constitutionnelle de 2008. Donc a vrai dire le premier mandat de Wade va commencer en 2012. Puisque depuis cette révision il n'y a pas eu d'élection.
VIVE WADE

44.Posté par ndouc le 26/01/2012 13:39
Nous avons encore besoin de notre cher président parce qu'il a beaucoup fait pour le Sénégal et les sénégalais. A mon avis il est important qu'on lui accorde un nouveau mandat pour qu'il puisse achever tout le bien qu'il a commencé à nous procurer.Le Conseil const ne peut que valider la candidature de tout un peuple qui est légitimement valable , moralement acceptable et juridiquement légale.

43.Posté par gora le 26/01/2012 13:38
Certains constitutionnalistes sénégalais ne veulent pas que Wade soit réélu. La raison est simple, ils savent que tant que Wade est la douniou nekhlé. Ils ne seront jamais ministre. Tous des opportunistes.

42.Posté par free le 26/01/2012 13:37
Tous ces politiciens constitutionnalistes qui se disaient rédacteur de la constitution sont démasqués. D'ailleurs tous ont rejoint des candidats de l'opposition que ce soit Babacar Gaye, Mounirou Sy pour citer les plus virulent donc cela veut dire qu'ils n'ont jamais été neutre.

41.Posté par bili le 26/01/2012 13:36
Cette fois ci la messe est dite beugue beuré bagne beuré. Le président de la république est sortie au temps opportun pour dire ce qu'il fallait dire au moment où il fallait le dire.
Vivement février 2012 pour une victoire de Wade

40.Posté par BEURRE le 26/01/2012 13:35
cet esprit de wade nous convainc parfaitement donc il est le seul à pouvoir nous garantir la paix alors on ne doit plus hésiter son choix est un évidence,une nécessité et une obligation pour l'interet du sénégal.

39.Posté par FAYCAL le 26/01/2012 13:27
ENTENDRE parler wade pour l'ambition qu'il a pour le sénégal mérite un combat quitte à y laisser sa vie pour sa réelection.seul le sénégal l’intéresse et il est certain qu'il a encore beaucoup de choses à faire .

38.Posté par aladji le 26/01/2012 13:26
Moi je suis deçu com bcp de lecteurs de ce site k je prenai pour "très sérieux".
Le vieux pense qu'il est investi d'une mission divine c pkoi il pense qu'il est encire indispensable a la tête de notre pays.
Il dit kil a encore besoin de 3 ans pour terminer kelk chantiers et les 4 ans ki vont resté de son mandat il les filera a ki?
Et même s'il été là jusk'en 2019 (que Dieu nous en préserve) il nous dira kil a encore des chantiers (wolof waxna kou dé yoba lé mbeubat) même en mourant on a encore des choses a vouloir accomplir et lui pense kil doit mourir au pouvoir.
Le pcpe de la continuit de l'Etat veut k quand on commence on laisse aux autres le soin de terminer.
Je pense kil est temps kil parte et kil laisse notre pays en paix il y'a suffisamment de sénégalais capables de fer plus et mieux alors kil dégage

37.Posté par LE LION le 26/01/2012 13:23
il bon d'éclaircir et d'insister pour effacer complétement le doute que cette opposition mal saine à installer,qui est d'ailleurs un faux débat .les sénégalais sont plus convaincus que la candidature de wade est recevable parce que le droit la constitution en troisieme republique lui permettent un second mandat.

36.Posté par cosx le 26/01/2012 13:19
J'ai lu mon candidat Wade en pleine confiance qui est sûr de sa victoire. Moi dans tous les cas je voterai pour lui. Comme il l'a si bien dit dans cet interview:" J’ai une mission historique à remplir au service de mon pays" et tout sénégalais de bonne fois pourra vous confirmer cela

35.Posté par honneur le 26/01/2012 13:18
vous dites que votre declaration n a aucune valeur juridique.cela veut dire que vous comfirmer que vous aviez
dit que tu ne peut plus etre candidat.quelle honte pour president de la republuique.ablaye wade degage

34.Posté par NAGNE DIAGNE RFM le 26/01/2012 13:14
Qui peut arrêter la mer avec ses bras? Personne. Qui peut empêcher wade d'être candidat aux élections présidentielles? Personne. Beug beuré bagn beuré, Wade dou sén morom . youssou ne fait que du show

33.Posté par fili le 26/01/2012 12:57
Wade dit clairement qu'il a rédigé tout seul cette constitution, il a juste fait appel à certains constitutionnalistes pour une lecture. Donc qui peut être mieux outillé que le rédacteur pour se prononcer sur l'esprit et la lette de son oeuvre.

32.Posté par babs le 26/01/2012 12:54
Qui disait que Wade n'a plus toute sa tête. Avec cet interview de haute facture on constate que Gorgui fi mou nekone ba taye diougou fa. Il se sent capable physiquement et intellectuellement de continuer sa noble mission à coté du peuple sénégalais de grâce laissons le continuer

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