La bataille suscitée par le poste de Président de l’assemblée nationale nous enseigne au mois une chose, que l’APR n’aide pas son Leader, le Président Macky Sall.
L’ère de la gestion solitaire du pouvoir est réellement révolue.
Venons en aux faits. La coalition Macky 2012 s’était retrouvée avec 26% des suffrages au 1er tour de l’élection présidentielle avec plus d’une trentaine de partis et organisations.
Ce qui montre que l’APR est loin de peser a elle seule 26%.
La victoire au second tour de la coalition BBY, avec 66% des suffrages exprimées, est le fruit d’un travail collectif de toutes les composantes de cette coalition.
Le Sénégal d’aujourd’hui se gère en équipe capable de réunir autour d’elle une majorité socio-politique. Les coalitions de partis ont un bel avenir devant nous.
Le leader émergent sera celui qui aura la capacité de réunir autour de soi le maximum de partis et organisations.
Le Président Macky Sall y est parvenu avec BBY, la plus diverse et la plus forte coalition de notre histoire politique. Ce qui est déjà une prouesse et la preuve d’un leadership intelligent..
Mais le plus difficile reste à venir et consiste à la préserver et la gérer.
Les chantiers en cours nécessitent une forte majorité stable et capable de conduire les changements qui ont pour noms : approfondissement de notre système démocratique avec une nouvelle constitution, restaurant de notre Etat de droit, gouvernance transparente et vertueuse, croissance et émergence économique, systèmes éducatifs et sanitaires performants, etc…
Ce qui est regrettable, c’est que le Président Sall n’a pas le parti qu’il mérite,
Comme disait l’autre, il vaut mieux avoir des adversaires intelligents que des amis bêtes.
Après les invites, par les membres les plus en vue du Parti APR, a faire du Wax Waxeete, (sur son engagement a proposer la réduction de son mandat de 7 a 5 ans), voici que de larges franges de ce Parti veulent maintenant casser la dynamique unitaire de BBY, en s’octroyant le poste de Président de l’Assemblée Nationale au détriment de la tête de liste de la coalition, candidat naturelle au poste.
La coalition BBY mérite respect et considération de la part de l’APR, de ses responsables et militants.
Gagnons ensemble et gérons ensemble était le leitmotiv. Gageons de le respecter.
Ces 5 années de magistère doivent être considérées comme une transition.
Les chantiers sont vastes et appellent la mobilisation de tous, au bénéfice exclusif de notre Pays.
Nous sommes à la croisée des chemins et n’avons pas le droit de rater cette belle opportunité de placer définitivement notre Pays dans le concert des Nations démocratiques majeures.
Je suis confiant car je crois que le Président Sall l’a bien compris.
Les actes qu’il a posés, jusqu’ici, rassurent.
Amadou A. Sall
Rewmi USA
abadilif@aol.com
L’ère de la gestion solitaire du pouvoir est réellement révolue.
Venons en aux faits. La coalition Macky 2012 s’était retrouvée avec 26% des suffrages au 1er tour de l’élection présidentielle avec plus d’une trentaine de partis et organisations.
Ce qui montre que l’APR est loin de peser a elle seule 26%.
La victoire au second tour de la coalition BBY, avec 66% des suffrages exprimées, est le fruit d’un travail collectif de toutes les composantes de cette coalition.
Le Sénégal d’aujourd’hui se gère en équipe capable de réunir autour d’elle une majorité socio-politique. Les coalitions de partis ont un bel avenir devant nous.
Le leader émergent sera celui qui aura la capacité de réunir autour de soi le maximum de partis et organisations.
Le Président Macky Sall y est parvenu avec BBY, la plus diverse et la plus forte coalition de notre histoire politique. Ce qui est déjà une prouesse et la preuve d’un leadership intelligent..
Mais le plus difficile reste à venir et consiste à la préserver et la gérer.
Les chantiers en cours nécessitent une forte majorité stable et capable de conduire les changements qui ont pour noms : approfondissement de notre système démocratique avec une nouvelle constitution, restaurant de notre Etat de droit, gouvernance transparente et vertueuse, croissance et émergence économique, systèmes éducatifs et sanitaires performants, etc…
Ce qui est regrettable, c’est que le Président Sall n’a pas le parti qu’il mérite,
Comme disait l’autre, il vaut mieux avoir des adversaires intelligents que des amis bêtes.
Après les invites, par les membres les plus en vue du Parti APR, a faire du Wax Waxeete, (sur son engagement a proposer la réduction de son mandat de 7 a 5 ans), voici que de larges franges de ce Parti veulent maintenant casser la dynamique unitaire de BBY, en s’octroyant le poste de Président de l’Assemblée Nationale au détriment de la tête de liste de la coalition, candidat naturelle au poste.
La coalition BBY mérite respect et considération de la part de l’APR, de ses responsables et militants.
Gagnons ensemble et gérons ensemble était le leitmotiv. Gageons de le respecter.
Ces 5 années de magistère doivent être considérées comme une transition.
Les chantiers sont vastes et appellent la mobilisation de tous, au bénéfice exclusif de notre Pays.
Nous sommes à la croisée des chemins et n’avons pas le droit de rater cette belle opportunité de placer définitivement notre Pays dans le concert des Nations démocratiques majeures.
Je suis confiant car je crois que le Président Sall l’a bien compris.
Les actes qu’il a posés, jusqu’ici, rassurent.
Amadou A. Sall
Rewmi USA
abadilif@aol.com
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