Les députés ont vigoureusement dénoncé les salaires exorbitants versés à certains directeurs généraux et haut fonctionnaires de l’administration, lors du passage d’Amadou Bâ, devant la Commission de l’Economie générale, des Finances, du Plan et de la Coopération économique. Ainsi, ils ont souhaité que l’Etat apporte des correctifs afin de les rendre conformes à notre niveau de développement.
Egalement, les députés avaient émis des réserves sur les conditions d’attribution des marchés publics d’autant, qu’à leurs yeux, ce sont souvent les mêmes personnes, à quelques exceptions près, qui gagnent les marchés mis en compétition.
Répondant aux interpellations des députés sur les salaires et les indemnités, le ministre des Finances de dire : «Une étude sérieuse sur les salaires doit être menée. Il faut admettre que, suite à une destruction de la fonction publique, leur niveau atteint, aujourd’hui, la masse critique de 750 milliards F Cfa environ. Cela est difficilement soutenable par le budget».
Avant de révéler : « L’État a déjà engagé une étude sur la rémunération dans la Fonction publique et a dégagé, à cet effet une enveloppe de 150 000 000 F Cfa. C’est pourquoi, le Gouvernement, dans l’attente des conclusions de l’étude, n’envisage pas en 2015 une augmentation de salaire dans la Fonction publique ».
S’agissant des marchés publics, le ministre a précisé que leur attribution se fait à travers des appels d’offres transparents. «Pour les soumissionnaires qui se sentent lésés, il y a toujours des voies de recours qui restent possibles et ouvertes», dit-il.
Egalement, les députés avaient émis des réserves sur les conditions d’attribution des marchés publics d’autant, qu’à leurs yeux, ce sont souvent les mêmes personnes, à quelques exceptions près, qui gagnent les marchés mis en compétition.
Répondant aux interpellations des députés sur les salaires et les indemnités, le ministre des Finances de dire : «Une étude sérieuse sur les salaires doit être menée. Il faut admettre que, suite à une destruction de la fonction publique, leur niveau atteint, aujourd’hui, la masse critique de 750 milliards F Cfa environ. Cela est difficilement soutenable par le budget».
Avant de révéler : « L’État a déjà engagé une étude sur la rémunération dans la Fonction publique et a dégagé, à cet effet une enveloppe de 150 000 000 F Cfa. C’est pourquoi, le Gouvernement, dans l’attente des conclusions de l’étude, n’envisage pas en 2015 une augmentation de salaire dans la Fonction publique ».
S’agissant des marchés publics, le ministre a précisé que leur attribution se fait à travers des appels d’offres transparents. «Pour les soumissionnaires qui se sentent lésés, il y a toujours des voies de recours qui restent possibles et ouvertes», dit-il.
Autres articles
-
« Tong-Tong » à lac : Détournement des recettes, appropriation des véhicules et tracteurs offerts par l’État et accaparement de terrains appartenant à autrui…
-
Accident mortel à Koungheul : « On ne peut pas continuer à tuer (…) parce que tout simplement on est à la quête effrénée du gain facile. » (ministre Malick Ndiaye)
-
Parti Socialiste : Khalifa Sall retourne à la maison mère
-
BDF présente ses condoléances aux victimes de l’accident à Koungheul
-
Mouvement d’humeur à AIBD : Les agents de TSA ne mettent pas la pédale douce