« Des fois, il dérape en se glorifiant de ce qu’il fait dans la voie de Serigne Touba ! Le mouridisme n’a pas besoin de cela».
Cette certitude largement partagée par beaucoup de Mbacké- Mbacké est relative à la sortie récente de Cheikh Béthio, le guide des ‘’Thiantacoune’’ suite à la disparition de Sokhna Daba Bousso, la mère du porte-parole du khalife général des mourides.
Cheikh Béthio, ‘’comme d’hab’’ diront certains, ne s’est pas gêné d’énumérer sa contribution (Bœufs, moutons, argent…) à la famille de la défunte. Ce qui dérange certains marabouts dans ces déclarations, c’est non seulement le moment (comme ses ‘’Thiants’’ mais la circonstance (des moments de douleur où l’on doit parler peu et se recueillir). Surtout que, nous dit-on, ces marabouts éduqués sur certaines valeurs morales et religieuses, assurent que les actions de grâce n’ont pas besoin de publicité.
« Quand on fait le bien pour la grâce de DIEU, non seulement, on n’a pas besoin d’énumérer ce qu’on fait, mais encore moins quand ce sont des moments de douleur. Surtout que d’autres avant, pendant et après lui, sont ou seront mieux-faisant et presque inconnus des sénégalais» se désole l’un de ces marabouts.
D’autres, dans son rapprochement avec le porte-parole du Khalife général des mourides, n’y voient qu’une publicité visant à se prémunir d’une certaine influence dans son combat juridique relatif au double meurtre de Médinatoul Salam.
Cette certitude largement partagée par beaucoup de Mbacké- Mbacké est relative à la sortie récente de Cheikh Béthio, le guide des ‘’Thiantacoune’’ suite à la disparition de Sokhna Daba Bousso, la mère du porte-parole du khalife général des mourides.
Cheikh Béthio, ‘’comme d’hab’’ diront certains, ne s’est pas gêné d’énumérer sa contribution (Bœufs, moutons, argent…) à la famille de la défunte. Ce qui dérange certains marabouts dans ces déclarations, c’est non seulement le moment (comme ses ‘’Thiants’’ mais la circonstance (des moments de douleur où l’on doit parler peu et se recueillir). Surtout que, nous dit-on, ces marabouts éduqués sur certaines valeurs morales et religieuses, assurent que les actions de grâce n’ont pas besoin de publicité.
« Quand on fait le bien pour la grâce de DIEU, non seulement, on n’a pas besoin d’énumérer ce qu’on fait, mais encore moins quand ce sont des moments de douleur. Surtout que d’autres avant, pendant et après lui, sont ou seront mieux-faisant et presque inconnus des sénégalais» se désole l’un de ces marabouts.
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