Le député Abdoulaye Vilane a demandé un consensus autour de la question du parrainage qui suscite une vive polémique. Il a pointé du doigt « la délicatesse de l’environnement sous régional » comme étant une nécéssité pour une réflexion et invité à un dialogue « dans la bonne direction »
« Au delà des prises de position qui aiguisent les divergences internes, je formule ma position en pensant aux réalités géopolitiques dans la sous région. Notre pays et ses dirigeants et leaders de tous bords ne doivent pas perdre de vue la délicatesse de l'environnement sous-régional. Le djihadisme menaçant, les appétits suscités par la perspective du pétrole et du gaz sans oublier que dans un pays comme la Gambie un verrou a sauté. Notre pays n'a pas que des amis. Nous ne devons ignorer ce que les jalousies internes et d'ailleurs peuvent fomenter. Alors dialoguer c'est réfléchir pour aller ensemble dans la bonne direction » a-t-il dit.
Vilane d’ajouter « oui je suis bien d'accord que le parrainage est en quelque sorte un filtre démocratique. Mais quand on touche aux règles du jeu, il faut par élégance que cela soit le fruit d'un consensus. Il doit s'agir de règles acceptées par tous ou arrêtées d'accord partie. C'est pourquoi j'en appelle à la concertation pour rassurer les forces politiques qui avaient boycotté et qui vraisemblablement aujourd'hui regrettent. Tendons-leur une perche et mettons-y des garanties. Le pays y gagnera en quiétude. L'assemblée n'a pas encore étudié ».
« Au delà des prises de position qui aiguisent les divergences internes, je formule ma position en pensant aux réalités géopolitiques dans la sous région. Notre pays et ses dirigeants et leaders de tous bords ne doivent pas perdre de vue la délicatesse de l'environnement sous-régional. Le djihadisme menaçant, les appétits suscités par la perspective du pétrole et du gaz sans oublier que dans un pays comme la Gambie un verrou a sauté. Notre pays n'a pas que des amis. Nous ne devons ignorer ce que les jalousies internes et d'ailleurs peuvent fomenter. Alors dialoguer c'est réfléchir pour aller ensemble dans la bonne direction » a-t-il dit.
Vilane d’ajouter « oui je suis bien d'accord que le parrainage est en quelque sorte un filtre démocratique. Mais quand on touche aux règles du jeu, il faut par élégance que cela soit le fruit d'un consensus. Il doit s'agir de règles acceptées par tous ou arrêtées d'accord partie. C'est pourquoi j'en appelle à la concertation pour rassurer les forces politiques qui avaient boycotté et qui vraisemblablement aujourd'hui regrettent. Tendons-leur une perche et mettons-y des garanties. Le pays y gagnera en quiétude. L'assemblée n'a pas encore étudié ».
Autres articles
-
Mérina Dakhar: Aymérou Gningue démissionne de son poste de maire pour " convenance personnelle"
-
Burkina: des assises nationales fin mai pour décider de la suite de la transition
-
Arrêt des travaux sur le littoral: Alioune Tine encense le régime "Diomaye et Sonko, foncez!!
-
Université Gaston Berger : l’ancien directeur du CROUS, Biram Ndeck Ndiaye est devenu docteur en droit.
-
Prise en charge : les retraités, veufs et orphelins souhaitent la refonte de l’IPRES.