Poursuivi pour le délit de viol sur des mineurs de -13 ans , acte contre-nature et pédophilie, Mamadou Camara, vigile de son état, a sodomisé deux garçons qui venaient jouer au domicile de son patron, ce qui lui a valu une peine ferme de 10 ans.
Mamadou Camara qui s'est singularisé par son comportement très timide à la barre, a intrigué plus d'un lorsqu'il a expliqué les raisons qui l'ont poussé à sodomiser ces jeunes garçons :
"C'est une erreur " avait il dit avec une voix à peine audible.
Quoi qu'il en soit, il faut noter qu'il a eu à commettre son acte contre-nature sur deux élèves de la classe de CM 1 (O.N'diaye et A Bah 10 ans). En effet, ces derniers qui sont amis du fils de son patron fréquentaient très souvent le domicile dont le sieur Camara avait en charge la sécurité.
Toutes choses qui font, qu’à chaque fois que ces derniers se rendaient sur les lieux pour jouer avec leur camarade, le vigile les appelait dans sa chambre pour des soi-disant « commissions »…
Et lorsqu’éclata cette affaire, les victimes ont confié à leurs parents qu'à chaque fois qu'ils revenaient de la « commission », le vigile usait de subterfuges pour les retenir dans sa chambre.
Et là, il se déshabillait pour ensuite les sodomiser à tour de rôle. Un calvaire que ces derniers ont vécu pendant longtemps avant de craquer puis se confier à leurs parents.
Si les victimes ont brillé par leur absence à la barre, le mis en cause dont le procès a été renvoyé à plusieurs reprises n'a pas cherché à nier l'évidence.
Contrairement aux accusés de pédophilie qui, habituellement, réfutent catégoriquement les faits. Mamadou Camara a, lui, tout avoué.
Aussi, le procureur de la République n'a pas manqué à un certain moment de lui demander s'il jouissait de toutes ses facultés mentales. Répondant par le mépris, le mis en cause, qui a été déféré au parquet par le commissariat central, s'est encore emmuré dans le silence lorsque le ministère public lui a balancé: « si votre épouse est à Tambacounda et que vous ne pouvez pas vous maîtriser, il faut aller la chercher… ».
Et si Mamadou Camara a quasiment occulté toute les questions du tribunal, cela n'a pas empêché le maître des poursuites de requérir une peine exemplaire à son encontre : "il est jeune et il est entrain de dévier dangereusement, il faut l'arrêter " a martelé le parquet avant de le déclarer coupable concernant les trois chefs d’inculpation qui pèsent sur lui.
Mamadou Camara qui s'est singularisé par son comportement très timide à la barre, a intrigué plus d'un lorsqu'il a expliqué les raisons qui l'ont poussé à sodomiser ces jeunes garçons :
"C'est une erreur " avait il dit avec une voix à peine audible.
Quoi qu'il en soit, il faut noter qu'il a eu à commettre son acte contre-nature sur deux élèves de la classe de CM 1 (O.N'diaye et A Bah 10 ans). En effet, ces derniers qui sont amis du fils de son patron fréquentaient très souvent le domicile dont le sieur Camara avait en charge la sécurité.
Toutes choses qui font, qu’à chaque fois que ces derniers se rendaient sur les lieux pour jouer avec leur camarade, le vigile les appelait dans sa chambre pour des soi-disant « commissions »…
Et lorsqu’éclata cette affaire, les victimes ont confié à leurs parents qu'à chaque fois qu'ils revenaient de la « commission », le vigile usait de subterfuges pour les retenir dans sa chambre.
Et là, il se déshabillait pour ensuite les sodomiser à tour de rôle. Un calvaire que ces derniers ont vécu pendant longtemps avant de craquer puis se confier à leurs parents.
Si les victimes ont brillé par leur absence à la barre, le mis en cause dont le procès a été renvoyé à plusieurs reprises n'a pas cherché à nier l'évidence.
Contrairement aux accusés de pédophilie qui, habituellement, réfutent catégoriquement les faits. Mamadou Camara a, lui, tout avoué.
Aussi, le procureur de la République n'a pas manqué à un certain moment de lui demander s'il jouissait de toutes ses facultés mentales. Répondant par le mépris, le mis en cause, qui a été déféré au parquet par le commissariat central, s'est encore emmuré dans le silence lorsque le ministère public lui a balancé: « si votre épouse est à Tambacounda et que vous ne pouvez pas vous maîtriser, il faut aller la chercher… ».
Et si Mamadou Camara a quasiment occulté toute les questions du tribunal, cela n'a pas empêché le maître des poursuites de requérir une peine exemplaire à son encontre : "il est jeune et il est entrain de dévier dangereusement, il faut l'arrêter " a martelé le parquet avant de le déclarer coupable concernant les trois chefs d’inculpation qui pèsent sur lui.
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