Le projet de loi portant le nombre de députés de 10 à 15 pour la constitution d’un groupe parlementaire a laissé passer les non-inscrits entre les mailles du filet. En effet, si la loi est votée, les députés qui quittent leur groupe parlementaire ne pourront pas en rejoindre, ou en constituer, un autre. Cette disposition viserait particulièrement les alliés de l’APR au sein du groupe parlementaire « Bennoo Bokk Yaakaar ». Notamment le Parti socialiste dont on dit qu’il pourrait quitter la majorité parlementaire pour former son propre groupe avec sa vingtaine de députés.
Seulement, cette contrainte ne concerne pas les non-inscrits. N’étant dans aucun groupe parlementaire, ils peuvent rejoindre le groupe de leur choix, suivant leurs affinités. Le groupe Libéral, sous la férule du PDS, pourrait s’appuyer sur cette faille pour subsister. Les libéraux peuvent tendre la main à leurs frères de « Rewmi » qui ne sont inscrits dans aucun groupe pour obtenir le quorum des 15 députés.
Les autres députés non-inscrits pourraient aussi se constituer en groupe parlementaire au moins pour sauver l’image de l’auguste institution. Car, avec cette loi, l’Assemblée nationale va se retrouver avec un seul groupe parlementaire. Une première dans l’histoire de cette institution parlementaire.
(Source : sunuwiki.com)
Seulement, cette contrainte ne concerne pas les non-inscrits. N’étant dans aucun groupe parlementaire, ils peuvent rejoindre le groupe de leur choix, suivant leurs affinités. Le groupe Libéral, sous la férule du PDS, pourrait s’appuyer sur cette faille pour subsister. Les libéraux peuvent tendre la main à leurs frères de « Rewmi » qui ne sont inscrits dans aucun groupe pour obtenir le quorum des 15 députés.
Les autres députés non-inscrits pourraient aussi se constituer en groupe parlementaire au moins pour sauver l’image de l’auguste institution. Car, avec cette loi, l’Assemblée nationale va se retrouver avec un seul groupe parlementaire. Une première dans l’histoire de cette institution parlementaire.
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