Le calvaire des ouvriers des Ciments du Sahel ou cimenterie de Kirène, est soupçonnable. C’est l’avis de certains agents rencontrés qui nous racontent leur vie dans les unités de production.
D’ailleurs, la majeure partie d’entre eux regrette d’avoir quitté la Sococim-industries où ils officiaient. « Depuis notre arrivée dans la cimenterie, les conditions de travail et le traitement vont de mal en pis. C’est fortement optimistes quant à notre avenir ici, que nous avions quitté la Sococim-industries dont les conditions sont de loin meilleures », se désole ce travailleur.
Pis, fait noter notre source, « nous y avions cru après la crise d’il y a deux ans, suite à notre bras de fer avec la direction, mais presque rien n’a changé à part la durée de travail. Initialement, la direction nous imposait 12 heures de travail, nous ne faisons actuellement que 8 heures ».
Les heures de travail n’influent pas sur le bulletin de salaire. En effet, nos interlocuteurs font savoir que « la direction de la cimenterie, ne respecte pas la convention collective des mines. Nous sommes alignés sur la convention des Btp. Ce qui est illégal dans la mesure où nous devrions être pris en charge par la convention des mines. Cela veut dire tout simplement que nous sommes pris comme des maçons ». Une situation délicate de l’avis de ces ouvriers qui signalent : « ce traitement se répercute sur nos salaires ».
Un traitement qui frise le « despotisme », selon nos sources pour qui, « même avec les repos médicaux, nous sommes pénalisés, parce qu’ils pompaient sur nos salaires. Ce qui veut dire que plusieurs repos médicaux dans un même mois, provoquent directement un arrêt de travail et une perte du salaire ».
Cependant, ce mauvais traitement à la cimenterie de Kirène, n’est dû selon les ouvriers, qu'à l’absence d’un syndicat. Notre interlocuteur de signaler « nous souffrons de l’absence d’un syndicat qui peut défendre réellement nos intérêts. Le syndicat qui nous défendait avant la grande grève d’il y a deux ans, ces gens-là se sont aujourd’hui tus pour ne pas perdre leur travail. Ce qu’il y a maintenant, c’est un syndicat maison à la solde de la direction ».
Nos multiples tentatives de joindre la direction sont restées vaines...
D’ailleurs, la majeure partie d’entre eux regrette d’avoir quitté la Sococim-industries où ils officiaient. « Depuis notre arrivée dans la cimenterie, les conditions de travail et le traitement vont de mal en pis. C’est fortement optimistes quant à notre avenir ici, que nous avions quitté la Sococim-industries dont les conditions sont de loin meilleures », se désole ce travailleur.
Pis, fait noter notre source, « nous y avions cru après la crise d’il y a deux ans, suite à notre bras de fer avec la direction, mais presque rien n’a changé à part la durée de travail. Initialement, la direction nous imposait 12 heures de travail, nous ne faisons actuellement que 8 heures ».
Les heures de travail n’influent pas sur le bulletin de salaire. En effet, nos interlocuteurs font savoir que « la direction de la cimenterie, ne respecte pas la convention collective des mines. Nous sommes alignés sur la convention des Btp. Ce qui est illégal dans la mesure où nous devrions être pris en charge par la convention des mines. Cela veut dire tout simplement que nous sommes pris comme des maçons ». Une situation délicate de l’avis de ces ouvriers qui signalent : « ce traitement se répercute sur nos salaires ».
Un traitement qui frise le « despotisme », selon nos sources pour qui, « même avec les repos médicaux, nous sommes pénalisés, parce qu’ils pompaient sur nos salaires. Ce qui veut dire que plusieurs repos médicaux dans un même mois, provoquent directement un arrêt de travail et une perte du salaire ».
Cependant, ce mauvais traitement à la cimenterie de Kirène, n’est dû selon les ouvriers, qu'à l’absence d’un syndicat. Notre interlocuteur de signaler « nous souffrons de l’absence d’un syndicat qui peut défendre réellement nos intérêts. Le syndicat qui nous défendait avant la grande grève d’il y a deux ans, ces gens-là se sont aujourd’hui tus pour ne pas perdre leur travail. Ce qu’il y a maintenant, c’est un syndicat maison à la solde de la direction ».
Nos multiples tentatives de joindre la direction sont restées vaines...
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