« Ce sont de grands matchs que les deux équipes préparent par la meilleure des manières, et il faut souhaiter que le football soit le gagnant à la fin de ces deux rencontres », a déclaré à l’APS le patron de la FBF, en marge du symposium organisé par la Confédération africaine de football (CAF), mardi et mercredi à Rabat (Maroc).
Au cours de cette rencontre de deux jours, des groupes de travail mis en place par la CA ont fait plusieurs recommandations à l’assemblée générale et au conseil exécutif de l’instance africaine, pour un meilleur devenir du football africain.
Ils ont notamment recommandé la tenue de la CAN en juin tous les deux ans, tout en suggérant que la compétition soit étende de 16 à 24 équipes.
Au cours de la séance de restitution portant sur l’arbitrage, le président de la FBF s’était fait remarquer en tirant à boulets rouges sur les officiels du jeu sur le continent.
« Je n’ai pas été très dur mais j’ai dit ce que je vis en tant que président de Fédération qui voit des arbitres débarquer chez vous et demander de remboursements de frais qui ne se justifient pas », a dit Sita Sangharé.
« On ne sait jamais ce que l’autre partie, l’adversaire, a donné » aux arbitres, a-t-il indiqué, ajoutant que « pour l’équité du jeu, il faut trouver une solution à ces dérives ».
Le Burkina Faso compte est leader du groupe D des éliminatoires du Mondial 2018, avec 4 points (+2), soit le même nombre de points que l’Afrique du Sud, 2-ème avec un goal différence moins favorable (+1). Le Sénégal occupe la 3-ème place avec 3 points, le Cap-Vert fermant la marche avec 0 point au compteur.
Aps
Au cours de cette rencontre de deux jours, des groupes de travail mis en place par la CA ont fait plusieurs recommandations à l’assemblée générale et au conseil exécutif de l’instance africaine, pour un meilleur devenir du football africain.
Ils ont notamment recommandé la tenue de la CAN en juin tous les deux ans, tout en suggérant que la compétition soit étende de 16 à 24 équipes.
Au cours de la séance de restitution portant sur l’arbitrage, le président de la FBF s’était fait remarquer en tirant à boulets rouges sur les officiels du jeu sur le continent.
« Je n’ai pas été très dur mais j’ai dit ce que je vis en tant que président de Fédération qui voit des arbitres débarquer chez vous et demander de remboursements de frais qui ne se justifient pas », a dit Sita Sangharé.
« On ne sait jamais ce que l’autre partie, l’adversaire, a donné » aux arbitres, a-t-il indiqué, ajoutant que « pour l’équité du jeu, il faut trouver une solution à ces dérives ».
Le Burkina Faso compte est leader du groupe D des éliminatoires du Mondial 2018, avec 4 points (+2), soit le même nombre de points que l’Afrique du Sud, 2-ème avec un goal différence moins favorable (+1). Le Sénégal occupe la 3-ème place avec 3 points, le Cap-Vert fermant la marche avec 0 point au compteur.
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