Deux conventions de financement relatives au Projet de « Formation professionnelle pour l’emploi et la compétitivité » (FPEC), d’un montant de 12 millions d’Euros seront signés par Amadou BA, Ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, Monsieur Olivier PEZET, Directeur de l’Agence Française de Développement au Sénégal, Son Excellence Monsieur Jean FELIX-PAGANON, Ambassadeur de France au Sénégal, en présence de Monsieur Mamadou TALLA, Ministre de la Formation Professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat, ce mardi 7 juillet 2015.
Ce projet, d’un coût global de 43 milliards de francs CFA, est co financé par l’Etat du Sénégal (14,5 milliards) et la Banque Mondiale (20,5 milliards). Il vise la mise à niveau des lycées techniques (amélioration des équipements et de la gestion, révision des curricula et des formations, avec l’appui de l’OIF) pour 3 000 bacheliers ; la mise à niveau d’une douzaine de centres de formation (équipements, locaux, formations et gestion) et leur mise en réseau (cluster) autour d’un centre référence, pilote pour la filière de formation, avec un cadre de gouvernance et de pilotage en partenariat public-privé. Cinq filières économiques seront ciblées : le BTP et la mécanique mobile, en s’appuyant sur les centres sectoriels existants soutenus par l’AFD, et trois nouvelles filières : aviculture, horticulture et tourisme.
Au total, 2 000 diplômés devraient sortir de ces clusters ; la mise en place de nouvelles formations, dites professionnalisantes courtes (2 à 6 mois), conduisant à des certificats de spécialités (20 spécialisations) pour environ 10 000 jeunes, la consolidation de la réforme structurelle de la formation professionnelle : représentation des acteurs économiques, autonomie des établissements, réforme du financement de la formation et renforcement des capacités pilotage du Ministère de la Formation Professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat.
Ce projet, d’un coût global de 43 milliards de francs CFA, est co financé par l’Etat du Sénégal (14,5 milliards) et la Banque Mondiale (20,5 milliards). Il vise la mise à niveau des lycées techniques (amélioration des équipements et de la gestion, révision des curricula et des formations, avec l’appui de l’OIF) pour 3 000 bacheliers ; la mise à niveau d’une douzaine de centres de formation (équipements, locaux, formations et gestion) et leur mise en réseau (cluster) autour d’un centre référence, pilote pour la filière de formation, avec un cadre de gouvernance et de pilotage en partenariat public-privé. Cinq filières économiques seront ciblées : le BTP et la mécanique mobile, en s’appuyant sur les centres sectoriels existants soutenus par l’AFD, et trois nouvelles filières : aviculture, horticulture et tourisme.
Au total, 2 000 diplômés devraient sortir de ces clusters ; la mise en place de nouvelles formations, dites professionnalisantes courtes (2 à 6 mois), conduisant à des certificats de spécialités (20 spécialisations) pour environ 10 000 jeunes, la consolidation de la réforme structurelle de la formation professionnelle : représentation des acteurs économiques, autonomie des établissements, réforme du financement de la formation et renforcement des capacités pilotage du Ministère de la Formation Professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat.
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