Exclusif! Le contenu du dossier concocté contre Idrissa Seck et ses proches dans l’affaire des émeutes (Par Cheikh Yérim Seck)


Exclusif! Le contenu du dossier concocté contre Idrissa Seck et ses proches dans l’affaire des émeutes (Par Cheikh Yérim Seck)
DAKARACTU.COM  Sans prévenir personne ni crier gare, le pouvoir d’Abdoulaye Wade a fait ouvrir une enquête pour étayer les accusations selon lesquelles Idrissa Seck serait le maître d’œuvres de toutes les émeutes qui secouent la capitale. Ce dossier est géré de très près par la police, sous la surveillance étroite du ministre de l’Intérieur Ousmane Ngom. Il contient des allégations à tout le moins surprenantes. Selon une source proche du dossier et de l’enquête, c’est Idrissa Seck lui-même qui a concocté et planifié cette stratégie de sabotage. Sur quoi se base pareille accusation ? Par exemple, un élément du dossier laisse penser que le candidat de la coalition Idy4Président a reçu, ce samedi à 23 heures, un certain Mamadou Dial, lequel quelques heures auparavant avait tenu sur une radio de la place des propos incendiaires, disant que ses camarades et lui étaient fortement armés et qu’ils allaient utiliser leur artillerie si la situation le nécessitait. Les éléments de l’enquête montrent que ce Dial aurait à la suite de ce rendez-vous nocturne reçu de l’argent avant de se fondre dans la nature, et de partir vers la Casamance. Ce n’est pas l’unique révélation de ce dossier. On y apprend également que c’est à Thiès, dans le quartier de Gouye Tékhé, que les hommes de main recrutés auraient été regroupés, mais aussi que le gros de ce bataillon viendrait de Kaolack.
Dakaractu est en mesure d’écrire qu’une décision a été prise en haut-lieu, pour épargner Idrissa Seck, en sa qualité de candidat à la présidentielle, mais surtout de mettre hors d’état de nuire tous les éléments de la chaîne qui ont contribué à l’orchestration de ces émeutes. Le dossier d’enquête indique que c’est Vieux Sandjéry Diop, bodyguard attitré d’Idrissa Seck, qui recrute les éléments, que c’est Ababacar Sadikh Niang qui est chargé de les coacher, et que c’est Léna Sène qui met les fonds à la disposition d’Oumar Sarr et d’Oumar Guèye qui dispache vers les recrues.
Pour les proches d’Idrissa Seck, cette construction de faits est totalement ridicule et grotesque, et constitue un subterfuge pour le pouvoir, dans ce contexte où il se sait acculé et désorienté par ces manifestations tous azimuts.
Mercredi 22 Février 2012



Du plus récent au plus ancien | Du plus ancien au plus récent

65.Posté par wakh deug le 23/02/2012 08:48
Un IDY voleur et dangereux pour le pays;un MACKY infidèle et opportuniste!!;un Ibrahima FALL ancien socialiste, un GADIO rancunier, un NIASS revanchard, un TANOR non crédible ancien patron des Tontons macoutes, un YOUSSOU entretenu par des lobbies maçonniques,un TINE valorisant le mariage homosexuel, un « YEN A MARRE » formé de jeunes drogués ratés en mal de popularité c’est ça l’opposition sénégalaise ? Brûler le pays par le biais de TFM et WALF qui incitent aux actes de vandalisme c’est ça le patriotisme ? Envoyer les enfants d’autrui au front alors qu’on bichonne sa progéniture au chaud c’est ça le courage ? En dix ans WADE a changé la face du Sénégal positivement comme il ne l’a jamais été.
SENEGALAIS REVEILLEZ VOUS !!!!!!!

64.Posté par wakh deug le 23/02/2012 08:47
Un IDY voleur et dangereux pour le pays;un MACKY infidèle et opportuniste!!;un Ibrahima FALL ancien socialiste, un GADIO rancunier, un NIASS revanchard, un TANOR non crédible ancien patron des Tontons macoutes, un YOUSSOU entretenu par des lobbies maçonniques,un TINE valorisant le mariage homosexuel, un « YEN A MARRE » formé de jeunes drogués ratés en mal de popularité c’est ça l’opposition sénégalaise ? Brûler le pays par le biais de TFM et WALF qui incitent aux actes de vandalisme c’est ça le patriotisme ? Envoyer les enfants d’autrui au front alors qu’on bichonne sa progéniture au chaud c’est ça le courage ? En dix ans WADE a changé la face du Sénégal positivement comme il ne l’a jamais été.
SENEGALAIS REVEILLEZ VOUS !!!!!!!

63.Posté par PATRIOTISM le 23/02/2012 01:12
QUI PREND DONC AU SÉRIEUX LES ENFANTILLAGE DE CE FUTURE PENSIONNAIRE DE REUBEUSS, JE VEUX NOMMER CE taré de porte parole du future ex président.

62.Posté par PATRIOTISM le 23/02/2012 01:09
QUI PREND DONC AU SÉRIEUX LES ENFANTILLAGE DE CE FUTURE PENSIONNAIRE DE REUBEUSS, JE VEUX NOMMER CE taré de porte parole du président.

61.Posté par brao le 23/02/2012 01:01
DE TOUTE FACONS ON EN MARE LE PEUPLE SOUFFRE ON NE TRAVAILLE PLUS NOS ENTREPRISE VONT FAIRE FAILLITE LES ELEVENT NE VONT PLUS A L ECLOLE LES MEDECINS N ONT PLUS LA QUIETUDE TOUT EST BLOQUE LA VIE EST TROP CHER ON VA VERS UNE GRAVE CRISE ECONOMIQUE BIENTOT LA MISERE AU SENEGAL ET LE VIELLARD EST LE RESPONSABLE POURQOI PRENDRE LE PEUPLE EN OTAGE

60.Posté par banlieusard le 22/02/2012 23:26
je ne croi pa que idy a de si mauvaise intentions pour devenir president du senegal

59.Posté par TANOR le 22/02/2012 22:28
MAM… NOUS DIS:: LOUKO FI DIAAR?? POURQUOI CA ?? … DARA DIAROU KO FI,RIEN, JE PRIE POUR LA PAIX DANS LE MONDE.
Ne brulez pas notre pays, le conseil constitutionnel a tranché alors ........ au travail.
Depuis la décision du conseil constitutionnel de valider la candidature de Wade chacun s'érige en constitutionnaliste et y va avec ses commentaires, certains en arrivent même à appeler à la violence – à l'insurrection et à la confrontation sur le terrain.

Il faut dire que c'est quand même bien facile de caler ''ses fesses'' dans son fauteuil en occident, loin du Sénégal, et jouer au pyromane.

Le perdant dans toute cette tragédie – cette comédie – cette mascarade n'est autre que le Sénégal et le peuple Sénégalais dans l'écrasante majorité, jusqu'à quand serons nous obligés de subir les caprices d'une part et la surenchère d'autre part des hommes politiques ?

Posez vous la question à savoir, pourquoi aucun des partis politiques (pouvoir comme opposition) et autres mouvements de tout bord n'arrivent à mobiliser plus de 50 000 personnes dans une ville comme Dakar peuplée quand même de 3 000 000 d'habitants.

Ça en dit long sur le ras le bol de la majorité des concitoyens d'être pris en otage.


Aucun candidat à l'élection présidentielle ne peut être gagnant dans cette situation de tension et de chaos généralisé.

Nous vivons dans une république et le conseil constitutionnel, seul organe habilité à trancher sur la question de la recevabilité des candidatures, a donné son verdict, alors que chacun se conforme à cette décision et commence dés à présent sa campagne.

Apprenons à faire la différence entre notre souhait et la réalité, si nous avons été nombreux à souhaiter que le conseil constitutionnel invalide la candidature de Wade ou que ce dernier ait la sagesse de se retirer de son propre gré, il en a été décidé autrement.

La faute à qui ?

on ne peut pas reprocher au conseil constitutionnel d'avoir rejeté la candidature de Youssou Ndour , celui ci ne doit s'en prendre qu'à lui même car il existe plus de 150 partis politiques légalement constitués au Sénégal et c'était à porter de main que de demander à l'un d'entre eux de parrainer sa candidature.

On ne peut pas non plus reprocher au conseil constitutionnel d'avoir donné sa propre interprétation de l'esprit de la constitution de 2001 sur le prince de ''non rétroactivité'', nous aurions dû être beaucoup plus regardant avant d'adopter par référendum la constitution de 2001 dans l'euphorie collective.

Alors :

que les pseudos intellectuels pyromanes arrêtent leurs analyses incendiaires
que le pouvoir en place organise des élections transparentes
que l'opposition se mette dés à présent au travail, qu'elle unisse ses forces pour avoir des représentants dans tous les bureaux de vote de Sénégal afin qu'aucune fraude ne puisse être réalisée : c'est bien possible et à portée de main !!

En 2000 le parti socialiste, fort de 40ans de règne absolu sur le pays, était beaucoup plus puissant – plus organisé et plus implanté que le pouvoir en place et pourtant...et pourtant...et pourtant il a été déboulonné lorsque le peuple Sénégalais en a eu marre.
Le seul combat qui vaille aujourd'hui :

c'est de commencer dés à présent à parcourir toutes les régions – villes – villages et hameaux que compte le Sénégal afin de convaincre les électeurs de la nécessité d'un changement.

C'est d'être vigilant et de mobiliser massivement des observateurs dans tous les bureaux de vote comme ce fut le cas en 2000.

Wade ne pesait que 55% des voix en 2007, entre temps sa côte de popularité a drastiquement baissé et un second tour sera de fait obligatoire alors mettez vous au travail …....et maintenant !! ne remettons plus le boycott de 2007 qui a permis au pouvoir en place de rafler ''toutes'' les sièges à l'assemblée nationale ce qui par ailleurs a été à l'origine du passage sans obstacle de la loi de 2008 portant modification de la durée du mandat du président de la république...


1- ne brulez pas notre pays et ne sacrifiez pas les enfants d'autrui pendant que les vôtres sont vautrés dans vos salons.

2- n'ayez pas une mentalité défaitiste avant même l'arrivée du scrutin, la victoire par les urnes est à portée de main donc il suffit d'y aller avec tact .

58.Posté par TANOR le 22/02/2012 22:25
MAM… NOUS DIS:: LOUKO FI DIAAR?? POURQUOI CA ?? … DARA DIAROU KO FI,RIEN, JE PRIE POUR LA PAIX DANS LE MONDE.
Ne brulez pas notre pays, le conseil constitutionnel a tranché alors ........ au travail.
Depuis la décision du conseil constitutionnel de valider la candidature de Wade chacun s'érige en constitutionnaliste et y va avec ses commentaires, certains en arrivent même à appeler à la violence – à l'insurrection et à la confrontation sur le terrain.

Il faut dire que c'est quand même bien facile de caler ''ses fesses'' dans son fauteuil en occident, loin du Sénégal, et jouer au pyromane.

Le perdant dans toute cette tragédie – cette comédie – cette mascarade n'est autre que le Sénégal et le peuple Sénégalais dans l'écrasante majorité, jusqu'à quand serons nous obligés de subir les caprices d'une part et la surenchère d'autre part des hommes politiques ?

Posez vous la question à savoir, pourquoi aucun des partis politiques (pouvoir comme opposition) et autres mouvements de tout bord n'arrivent à mobiliser plus de 50 000 personnes dans une ville comme Dakar peuplée quand même de 3 000 000 d'habitants.

Ça en dit long sur le ras le bol de la majorité des concitoyens d'être pris en otage.


Aucun candidat à l'élection présidentielle ne peut être gagnant dans cette situation de tension et de chaos généralisé.

Nous vivons dans une république et le conseil constitutionnel, seul organe habilité à trancher sur la question de la recevabilité des candidatures, a donné son verdict, alors que chacun se conforme à cette décision et commence dés à présent sa campagne.

Apprenons à faire la différence entre notre souhait et la réalité, si nous avons été nombreux à souhaiter que le conseil constitutionnel invalide la candidature de Wade ou que ce dernier ait la sagesse de se retirer de son propre gré, il en a été décidé autrement.

La faute à qui ?

on ne peut pas reprocher au conseil constitutionnel d'avoir rejeté la candidature de Youssou Ndour , celui ci ne doit s'en prendre qu'à lui même car il existe plus de 150 partis politiques légalement constitués au Sénégal et c'était à porter de main que de demander à l'un d'entre eux de parrainer sa candidature.

On ne peut pas non plus reprocher au conseil constitutionnel d'avoir donné sa propre interprétation de l'esprit de la constitution de 2001 sur le prince de ''non rétroactivité'', nous aurions dû être beaucoup plus regardant avant d'adopter par référendum la constitution de 2001 dans l'euphorie collective.

Alors :

que les pseudos intellectuels pyromanes arrêtent leurs analyses incendiaires
que le pouvoir en place organise des élections transparentes
que l'opposition se mette dés à présent au travail, qu'elle unisse ses forces pour avoir des représentants dans tous les bureaux de vote de Sénégal afin qu'aucune fraude ne puisse être réalisée : c'est bien possible et à portée de main !!

En 2000 le parti socialiste, fort de 40ans de règne absolu sur le pays, était beaucoup plus puissant – plus organisé et plus implanté que le pouvoir en place et pourtant...et pourtant...et pourtant il a été déboulonné lorsque le peuple Sénégalais en a eu marre.
Le seul combat qui vaille aujourd'hui :

c'est de commencer dés à présent à parcourir toutes les régions – villes – villages et hameaux que compte le Sénégal afin de convaincre les électeurs de la nécessité d'un changement.

C'est d'être vigilant et de mobiliser massivement des observateurs dans tous les bureaux de vote comme ce fut le cas en 2000.

Wade ne pesait que 55% des voix en 2007, entre temps sa côte de popularité a drastiquement baissé et un second tour sera de fait obligatoire alors mettez vous au travail …....et maintenant !! ne remettons plus le boycott de 2007 qui a permis au pouvoir en place de rafler ''toutes'' les sièges à l'assemblée nationale ce qui par ailleurs a été à l'origine du passage sans obstacle de la loi de 2008 portant modification de la durée du mandat du président de la république...


1- ne brulez pas notre pays et ne sacrifiez pas les enfants d'autrui pendant que les vôtres sont vautrés dans vos salons.

2- n'ayez pas une mentalité défaitiste avant même l'arrivée du scrutin, la victoire par les urnes est à portée de main donc il suffit d'y aller avec tact .

57.Posté par pape le 22/02/2012 21:59
je travaille á l'avenue ponty, et je suis contre toute forme de report, depuis une semaine on ne travaille plus, nous avons tous hate que ces maudites éléctions se terminent au plus vite,je souhaite de tout coeur que gagme niass, macky, ou un autre issu de l'opposition pour que cessent toutes ces manifestations, nous sommes des goorgorlous,mais les politiciens sont tous des millionaires, de grace pensez un peu á nous,

56.Posté par Tullius Detritus le 22/02/2012 21:49
« Les éléments de l’enquête montrent que ce Dial aurait à la suite de ce rendez-vous nocturne reçu de l’argent avant de se fondre dans la nature »

C'est curieux… On dirait un passage du bouquin de Latif Coulibaly "Sénégal Affaire Me Sèye : un meurtre sur commande". C'était il y a bientôt vingt ans !

55.Posté par dembis ouakam le 22/02/2012 20:22
C'est de la foutaise, wade à la CPI c'est le principal responsable

54.Posté par dembis ouakam le 22/02/2012 20:20
C'est de la foutaise, wade au CPI c'est le principal responsable

53.Posté par TAFA le 22/02/2012 19:05
CETTE OPPOSITION POLTRONNE QUI SAVENT QU'ILS SERONT BATTU DES LE PREMIER TOUR RAISON POUR LA QUELLE ILS VEULENT BRÛLER LE PAYS EN RECRUTANT DES ANCIENS MILITAIRES ET DES NERVIS COMME LA SI BIEN DIT SERIGNE MBACKE NDIAYE DONC IL FAUT TOUT FAIRE POUR NEUTRALISER CES BANDITS QUI SONT PRÊT A TOUT POUR ACCÉDER AU POUVOIR

52.Posté par ayo le 22/02/2012 18:19
merci dakaractu . Idrissa a été démasqué .

51.Posté par wx le 22/02/2012 18:05
bilahi c'est vrai! je connais deux bisseau guinnéen ki font parti du lot de recrues.c vré ne soyez pas dupe

50.Posté par gorgus le 22/02/2012 17:53
ainsi avait on accusé l'autre du meurtre de maitre seye...tout le monde y compris l'extérieur avait exigé sa libération....pour nous rendre compte quelques années plus tard que l'accusait tenait bien...
alors...comme quoi il ne faut pas contredire l'état par simple plaisir.... car entre l'élève et son maitre, il y a bel et bien photo !

49.Posté par boubac le 22/02/2012 17:47
Le seul et unique responsable de cette situation n'est peut- être personne d'autre que Abdoulaye Wade.
Comment un président peut avoir autant de haine envers son peuple qui lui a tout donné ?
Tout a commencé au soir du 23 juin quand le peuple l'a contraint à sursoir à l'une des étapes de son plan de dévolution monarchique, le ticket présidentiel et le quart gagnant.
« Ils m'ont surpris ! » dit-il.
Depuis ce jour Abdoulaye Wade est devenu sourd, muet, aveugle et haineux.
Il a osé qualifier de BRISE, les émeutes qui ont suivi la validation de sa candidature. Ces émeutes avaient fait 3 morts dont un policier et plusieurs blessés.
Comment une personne ayant toutes ses capacités mentales peut qualifier de vent léger la mort d'un humain ?
J'ai l'impression qu'il cherche à tout prix à faire bascule le pays dans la violence. Peut-être que c'est une stratégie pour se maintenir au pouvoir, sachant qu'il n’espère plus pouvoir gagner par les urnes. Sinon comment peut-on comprendre qu'un président nargue autant son peuple quand il qualifie les membres du M23 de bande de poltron qui ne font que menacer de bruler le pays sans jamais passer à l’acte.
M. le président a joué et a perdu. Il est temps qu’il se réveil s’il n’est pas déjà trop tard.
La seule et unique solution à cette catastrophe est qu’il retire sa candidature, qu’il maintient les élections du 26 février entre les 13 autres candidats et s’il le veut, il peut demander à tous ces militants de voter blanc pour lui permettre de mesurer sa popularité dans ce pays.
Cela déterminera également le type de correction qu’on doit lui infliger. Il a fait beaucoup de tort au peuple sénégalais.
Une chose est sure, quelque que soit l’issu de cette crise, Abdoulaye Wade ne pourra plus jamais gouverner ce pays.

48.Posté par Tah! le 22/02/2012 17:46
Idrissa Seck, pour que nul n’en ignore
 
 
Nous assistons de plus en plus à un concours implicite de médisance et d’attaques stériles contre la personne d’Idrissa Seck. Si d’aucuns portent des cagoules pour défendre une chapelle, d’autres profitent de ce méli mélo pour faire prévaloir une posture dite intellectuelle mais totalement dénuée d’objectivité et de démarche scientifique. On se fait un film et on le raconte. Idrissa Seck est l’homme politique qui prend moins d’initiatives parce que se concentrant sur la recherche de solutions mais il demeure l’un des plus critiqués et parfois avec une agressivité surprenante. La raison est simple : ils savent tous qu’il peut y arriver. Pour contrer son cheminement ils s’attaquent à ses piliers fondamentaux ; Sa constance dans la démarche et son attachement aux valeurs libérales et républicaines.
Cependant les faits sont là et ils sont sacrés. Le fait de les déformer ou de chercher à les insérer dans un contexte autre que leur contexte de production démontre toute la détermination des adversaires d’Idrissa Seck à mettre hors course un candidat sérieux à la magistrature suprême.  Pour que nul n’en ignore, son objectif est unique : défendre les intérêts du Sénégal et de l'Afrique, non ceux d'un clan ou d'une famille. Pour y arriver il est prêt à des sacrifices. Il a toujours rappelé que « le destin personnel des hommes, même d’Etat, est une insignifiance au regard des intérêts supérieurs d’une Nation » Son engagement pour servir son peuple transcende les personnes même si des personnes peuvent jalonner son parcours et y jouer un rôle quelconque. Le 7 février 2006, après plus de 7 mois de prise d’otage, devant la prison de Rebeuss, Idrissa Seck annonçait déjà être armé d’esprit de dépassement pour servir son pays. Il l’avait déclaré en ces termes « C’est avec une conscience calme que je suis entré dans cette épreuve, c’est avec une conscience calme que j’en sors et je convoite de Dieu la sérénité, l’endurance, la capacité de dépassement qu’exige la mission que je me suis assignée : servir le Sénégal. Car rien ne me pèse plus lourd que les difficultés auxquelles notre pays est confronté et rien ne fera obstacle à mon ambition et à ma volonté de le servir ». Un esprit de dépassement dont l’humanité a toujours eu besoin pour éteindre les feus de tension, mettre fin aux guerres et aux conflits, réconcilier les peuples.
 
La posture d’Idrissa Seck face à sa famille politique demeure constante. Elle ne varie pas. Idrissa Seck veut ramener sa famille politique sur le chemin du vrai sopi, du vrai changement au bénéfice du peuple souverain.  « On a dévié du chemin ! C'est ma responsabilité de veiller à l'unité, au renforcement, mais surtout au retour à ces valeurs fondamentales de ma famille politique. ». Disait-il. Il veut sauver sa famille politique du risque de non participation à la compétition électorale de 2012 suite à un possible carton rouge constitutionnel à 29 jours du scrutin délivré par un conseil de 5 sages qui ne sauraient être en désaccord avec toute la communauté nationale et internationale de constitutionnalistes. Voilà tout le sens de son intervention sur rfi.
 
Cependant, même en défendant sa famille, Il ne fera pas de compromission avec les principes et valeurs. Il ne fera pas de compromission avec la vérité. Il ne se donnera pas, cependant, de limites en sacrifices pour le bonheur de son peuple, pour que ce peuple jouisse d’une tabaski loli. Une belle tabaski en période de moissons abondantes. Son retour au PDS, en dehors du fait qu’il découle d’un choix stratégique assumé et constant, entre dans ce même objectif : Défendre les intérêts du peuple.  Il n’a pas manqué de le répéter lors de sa conférence de presse du 12 Janvier 2009, en ces termes « Mon choix a été dicté par les difficultés du pays. Je suis animé par l’esprit de travail pour l’intérêt du Sénégal. Notre intention est de régler les problèmes du Sénégal (…) Mon apport sera de donner toutes mes compétences pour résoudre les difficultés du pays, avec ma liberté de lui dire ce que je trouve utile et non ce qui lui plait» Sa conduite politique est un choix assumé en toutes circonstances. « Ma conduite politique ne dépend pas de Wade. Elle dépend de moi, de ma foi en Dieu d'abord, de ma foi en l'individu, aux Sénégalais, de mon attachement aux valeurs libérales… » Disait-il en rendant visite au journaliste de la rfm, Kambel Dieng, le mercredi 8 Juin 2008. Les faits sont là. Sa posture est constante : vérité et courage. Approuver le convenable, condamner le blâmable. Quels qu'en soient les auteurs. Quand il était avec Wade il avait dit non à la loi Ezzan, non au défilé des journalistes et hommes politiques à la Dic, non à un projet de dévolution monarchique du pouvoir. Quand il a été en dehors des sphères de décision il s’est offusqué de la dissolution des collectivités locales, de l’agression barbare des journalistes comme kambel etc. Comme il l’a lui-même révélé « notre posture est invariable ; nous approuvons tout ce qui est convenable, nous condamnons tout ce qui blâmable. Quand j'étais avec Wade, c'était mon comportement ; aujourd'hui que je ne suis plus avec lui, ça reste mon comportement »   
 
Les films fictions peuvent défiler dans les têtes mais les faits sont là. Ils contredisent les propos malveillants et parfois incorrects de personnes en mal de popularité qui veulent profiter de l’aura d’Idrissa Seck pour se faire un nom. La critique est aisée.

47.Posté par Tah! le 22/02/2012 17:44
Quelques raisons pour justifier le choix sur Idrissa Seck. 

1. Le seul homme politique à avoir eu le courage depuis l’indépendance d’injecter dans une stratégie exogène de « Big Push » qu’il a nommé » grappe de convergence » la masse de 40 milliards dans une région autre que Dakar. Le Sénégal ne se limite pas à Dakar. Regardez, les 360 milliards que Karim Wade a dépensé rien qu’à Dakar avec l’ANOCI auraient suffis pour transformer 9 régions du Sénégal à l’image de Thiès (360 milliards = 40 milliards X 9). C'est-à-dire toutes les régions du Sénégal hormis Dakar et Thiès (qui ont été déjà servies). Un développement se doit d’être équilibré du point de vue territorial. 


2. Le Sénégal compte en valeur relative par rapport à la population globale le plus grand nombre de diplômés de hauts niveaux dans les pays avancés. Il est clair que le développement n’est plus essentiellement tributaire des dotations en ressources naturelles, minières ou industrielles, mais du capital humain (dans les pays développés les secteurs tertiaires et quaternaires représentent jusqu’à 70% du PIB). Les secteurs primaires et secondaires se disputent les 30% restants. C’est dans le tertiaire et le quaternaire que l’on retrouve les services, les NTIC, l’innovation, la créativité etc. Et le Sénégal dispose d’un avantage comparatif par rapport aux autres pays Africains Subsahariens. Ce qui signifie que la solution est pour le Sénégal de mettre de côté toutes considérations d’ordre ethnique, clanique ou confrérique et de privilégier la compétence à tous les niveaux. Après analyse des contenus de discours des acteurs politiques, force est de constater qu’Idrissa Seck est le chantre d’une telle démarche. 


3. Après plusieurs mois de détention, personne n’a entendu de sa part des propos démesurés : insultes, diffamation, tortuosité, agression envers journaliste ou autre venant de sa part et témoignant de son sens de la responsabilité. 

4. Idrissa Seck n’a aussi pas vendu son âme durant les périodes difficiles pour se tailler les faveurs du chef. En effet, il n’a pas changé d’obédience confrérique, ni épousé une fille de guide religieux (ce qui constitue de la corruption politique). 

46.Posté par manet le 22/02/2012 17:02
juste une questiion apour cheikh yerim.comment vous avez eu ces informatoins?

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