Les socialistes de la capitale du Saloum se regardent en chiens de faïence. La raison : un processus de renouvellement des instances, au point mort entamé depuis 2009. «La procédure a été interrompue à plusieurs reprises.
La première fois, c’était pour des raisons électorales ensuite, pour ne pas parasiter la préparation du 15ème Congrès. Et tout dernièrement le blocage a été spécifique à notre coordination pour laquelle un schéma de découpage a été validé par le secrétariat politique», a rappelé Ndeye Sokhna Gueye, responsable communale des jeunesses socialistes. Une précision pour se démarquer de l’autre camp qui a rejeté ladite restructuration.
«Après plusieurs arbitrages de la direction du parti, aucun compromis n’a été trouvé. En dépit des concessions de notre part, le camp des frondeurs est resté inflexible sur ses positions au point d’empêcher, pour des raisons crypto personnelles, la représentation de notre coordination dans les instances supérieures du Parti Socialiste(Ps)», se désole Pape Mbaye responsable sortant des jeunes.
Un blocage qui a poussé la direction du Ps à envoyer un émissaire pour trouver un compromis. Ce dernier, Abou Diao, ne désespère pas de concilier les deux camps pour relancer l’ancien parti au pouvoir. «Ce n’est pas évident, mais il y a des raisons de croire que la sagesse va finir par prévaloir. Mais je dois à la vérité de dire que les opérations de vente des cartes menées par le camp de Diockel Gadiaga n’ont pas été validées par la direction du parti pour n’avoir pas remplies les formalités en vigueur», a t-il précisé.
Autre objet de discorde, le choix du futur patron de l’Union Régionale, pour laquelle la candidature du ministre de l’Education nationale Serigne Mbaye Thiam est agitée. Contrairement au camp d’en face, les partisans du secrétaire général Alioune Ndiaye sont prêts à le soutenir.
«Le camarade Serigne Mbaye Thiam réunit toutes les qualités de représentativité poli- tique et de compétences professionnelles pour présider les destinées de l’Union Régionale. Il n’y qu’à voir son management du stratégique département de l’Education nationale pour s’en convaincre», se défend Cheikh Seck syndicaliste et membre de la coordination communale Ps.
Libération
La première fois, c’était pour des raisons électorales ensuite, pour ne pas parasiter la préparation du 15ème Congrès. Et tout dernièrement le blocage a été spécifique à notre coordination pour laquelle un schéma de découpage a été validé par le secrétariat politique», a rappelé Ndeye Sokhna Gueye, responsable communale des jeunesses socialistes. Une précision pour se démarquer de l’autre camp qui a rejeté ladite restructuration.
«Après plusieurs arbitrages de la direction du parti, aucun compromis n’a été trouvé. En dépit des concessions de notre part, le camp des frondeurs est resté inflexible sur ses positions au point d’empêcher, pour des raisons crypto personnelles, la représentation de notre coordination dans les instances supérieures du Parti Socialiste(Ps)», se désole Pape Mbaye responsable sortant des jeunes.
Un blocage qui a poussé la direction du Ps à envoyer un émissaire pour trouver un compromis. Ce dernier, Abou Diao, ne désespère pas de concilier les deux camps pour relancer l’ancien parti au pouvoir. «Ce n’est pas évident, mais il y a des raisons de croire que la sagesse va finir par prévaloir. Mais je dois à la vérité de dire que les opérations de vente des cartes menées par le camp de Diockel Gadiaga n’ont pas été validées par la direction du parti pour n’avoir pas remplies les formalités en vigueur», a t-il précisé.
Autre objet de discorde, le choix du futur patron de l’Union Régionale, pour laquelle la candidature du ministre de l’Education nationale Serigne Mbaye Thiam est agitée. Contrairement au camp d’en face, les partisans du secrétaire général Alioune Ndiaye sont prêts à le soutenir.
«Le camarade Serigne Mbaye Thiam réunit toutes les qualités de représentativité poli- tique et de compétences professionnelles pour présider les destinées de l’Union Régionale. Il n’y qu’à voir son management du stratégique département de l’Education nationale pour s’en convaincre», se défend Cheikh Seck syndicaliste et membre de la coordination communale Ps.
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