L’avocat sénégalais, Me Ciré Clédor Ly, a salué la libération de Michel Gbagbo et autres estimant que ‘’cette initiative qui bien que tardive, marque un tournant appréciable dans le traitement du dossier pénal de la famille de l’ancien président de la Côte-d’Ivoire ainsi que de ses collaborateurs’’.
La Chambre d’Accusation de la Cour d’appel de Côte-d’Ivoire, sur l’initiative du Parquet général, a ordonné, lundi, la libération d’office de Michel Gbagbo, fils de Laurent Gbagbo, conformément aux dispositions du Code de Procédure pénale ivoirien.
Dans un communiqué transmis à l’APS, jeudi, Ciré Clédor Ly, Avocat principal de Simone Ehivet Gbagbo et Michel Gbagbo, soutient que ‘’la libération constatée de compagnons et collaborateurs du président Laurent Gbagbo donne des motifs d’espérer que la justice pourrait enfin opter de se tourner résolument vers la recherche de la vérité’’.
''Ce qui aura comme conséquence inéluctable, ajoute t-il, le blanchiment de toutes les personnes qui avaient été arbitrairement arrêtées et emprisonnées’’.
Ciré Clédor Ly espère ‘’ainsi que dans cette dynamique, la Cour suprême de Côte- d’Ivoire saisie d’un pourvoi en cassation régulier, annulera l’arrêt de la Chambre d’accusation qui a prononcé la mise en accusation de toutes les personnes victimes de poursuites sélectives et arbitraires’’.
L’avocat attire aussi ‘’l’attention de la communauté nationale et internationale sur l’état de santé de Simone Ehivet Gbagbo, détenue à Odienné et qui doit impérativement bénéficier de soins de santé adéquats lui garantissant son droit à la vie et à la santé’’.
Il souhaite que les motivations qui ‘’ont guidé l’heureuse initiative de la libération du fils du président Gbagbo se poursuivent rapidement pour le compte de son épouse’’.
La plupart des personnalités libérée lundi avaient ont été arrêtées et inculpées, notamment d'atteinte à la sûreté de l'Etat et d'infractions économiques, à la fin de la crise postélectorale, et incarcérées dans le nord du pays.
Cette crise est née du refus de Laurent Gbagbo de céder le pouvoir à Alassane Ouattara après sa défaite à la présidentielle de novembre 2010. Elle a fait quelque 3 000 morts.
L’ex-président Gbagbo est lui détenu depuis la fin de 2011 à La Haye par la Cour pénale internationale (CPI). Il est soupçonné de crimes contre l'humanité. La CPI qui a également émis, à la fin de 2012, un mandat d'arrêt contre Simone Gbagbo, attend toujours la réponse d’Abidjan.
La Chambre d’Accusation de la Cour d’appel de Côte-d’Ivoire, sur l’initiative du Parquet général, a ordonné, lundi, la libération d’office de Michel Gbagbo, fils de Laurent Gbagbo, conformément aux dispositions du Code de Procédure pénale ivoirien.
Dans un communiqué transmis à l’APS, jeudi, Ciré Clédor Ly, Avocat principal de Simone Ehivet Gbagbo et Michel Gbagbo, soutient que ‘’la libération constatée de compagnons et collaborateurs du président Laurent Gbagbo donne des motifs d’espérer que la justice pourrait enfin opter de se tourner résolument vers la recherche de la vérité’’.
''Ce qui aura comme conséquence inéluctable, ajoute t-il, le blanchiment de toutes les personnes qui avaient été arbitrairement arrêtées et emprisonnées’’.
Ciré Clédor Ly espère ‘’ainsi que dans cette dynamique, la Cour suprême de Côte- d’Ivoire saisie d’un pourvoi en cassation régulier, annulera l’arrêt de la Chambre d’accusation qui a prononcé la mise en accusation de toutes les personnes victimes de poursuites sélectives et arbitraires’’.
L’avocat attire aussi ‘’l’attention de la communauté nationale et internationale sur l’état de santé de Simone Ehivet Gbagbo, détenue à Odienné et qui doit impérativement bénéficier de soins de santé adéquats lui garantissant son droit à la vie et à la santé’’.
Il souhaite que les motivations qui ‘’ont guidé l’heureuse initiative de la libération du fils du président Gbagbo se poursuivent rapidement pour le compte de son épouse’’.
La plupart des personnalités libérée lundi avaient ont été arrêtées et inculpées, notamment d'atteinte à la sûreté de l'Etat et d'infractions économiques, à la fin de la crise postélectorale, et incarcérées dans le nord du pays.
Cette crise est née du refus de Laurent Gbagbo de céder le pouvoir à Alassane Ouattara après sa défaite à la présidentielle de novembre 2010. Elle a fait quelque 3 000 morts.
L’ex-président Gbagbo est lui détenu depuis la fin de 2011 à La Haye par la Cour pénale internationale (CPI). Il est soupçonné de crimes contre l'humanité. La CPI qui a également émis, à la fin de 2012, un mandat d'arrêt contre Simone Gbagbo, attend toujours la réponse d’Abidjan.
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