"Grâce à la portée de ses travaux de recherche et de leur influence dans le débat public au Sénégal et en Afrique", le chercheur sénégalais "fait partie des « 100 Africains les plus influents »", rapporte ce journal.
M. Samb a été inscrit "dans la catégorie « Sciences et milieux académiques »", aux côtés de personnalités telles qu’Elikia M’bokolo (Rdc), Jean-Louis Atangana Amougou (Cameroun), Karim Sy (Mali) et Michel Goeh-Akue (Togo).
Selon Le Soleil, l’universitaire sénégalais "est décrit par le journal panafricain comme « un des meilleurs experts de la radicalisation et des phénomènes transnationaux dans le Sahel".
Un temps "très critiqué pour ses thèses sur la menace djihadiste en Afrique de l’Ouest", Bakary Samb est désormais perçu comme "un précurseur", souligne Le Soleil, citant New African Magazine.
Ce changement de perception ne serait pas sans lien avec la publication, en 2013, du premier rapport "Paix et Sécurité dans l’espace CEDEAO", intitulé "Overview of religions radicalism and the terrorist threat in Sénégal" (Grand angle sur le radicalisme religieux et la menace terroriste au Sénégal).
Cette étude a été réalisée avec l’Institut d’études de sécurité (ISS), un think tank panafricain basé à Addis-Abeba, Dakar, Nairobi et Pretoria.
Enseignant-chercheur au Centre d’études des religions (CER) de l’UFR Civilisations, Religions, Arts et Communication (CRAC) de l’UGB, Bakary Samb coordonne l’Observatoire des radicalismes et conflits religieux en Afrique (ORCRA).
Politologue et spécialiste des relations internationales, ses travaux portent spécifiquement sur l’évolution des sociétés du monde musulman, les rapports arabo-africains, la radicalisation et les réseaux transnationaux dans le Sahel. Il est par ailleurs chercheur principal de la European Foundation for Democracy (EFD), à Bruxelles, depuis 2009.
Dans ce cadre, M. Samb a publié, en juillet dernier, "Boko Haram, du problème nigérian à la menace régionale". Une thématique qui trouve prolongation dans ses recherches sur sur la construction des identités religieuses des jeunes entre le local et le global.
Cette perspective l’a amené à s’intéresser naturellement aux "processus de basculement des jeunes vers la radicalisation", ce qui en fait "l’un des experts les plus avisés sur les risques liés à l’extrémisme violent et à sa prévention", indique le journal.
Auteur d’un essai paru il y a quatre ans, sous le titre "Islam et diplomatie : la politique africaine du Maroc", Bakary Samb vient de fonder Timbuktu Institute-African Center for Peace Studies, un think tank ouest-africain travaillant sur les différents aspects de l’extrémisme violent.
Cette structure de recherche ambitionne par ailleurs de promouvoir "les solutions préventives par l’éducation à la paix, le dialogue des cultures et des civilisations à travers l’Observatoire des radicalismes et conflits religieux en Afrique (ORCRA), installé maintenant à Dakar depuis décembre 2015".
M. Samb a été inscrit "dans la catégorie « Sciences et milieux académiques »", aux côtés de personnalités telles qu’Elikia M’bokolo (Rdc), Jean-Louis Atangana Amougou (Cameroun), Karim Sy (Mali) et Michel Goeh-Akue (Togo).
Selon Le Soleil, l’universitaire sénégalais "est décrit par le journal panafricain comme « un des meilleurs experts de la radicalisation et des phénomènes transnationaux dans le Sahel".
Un temps "très critiqué pour ses thèses sur la menace djihadiste en Afrique de l’Ouest", Bakary Samb est désormais perçu comme "un précurseur", souligne Le Soleil, citant New African Magazine.
Ce changement de perception ne serait pas sans lien avec la publication, en 2013, du premier rapport "Paix et Sécurité dans l’espace CEDEAO", intitulé "Overview of religions radicalism and the terrorist threat in Sénégal" (Grand angle sur le radicalisme religieux et la menace terroriste au Sénégal).
Cette étude a été réalisée avec l’Institut d’études de sécurité (ISS), un think tank panafricain basé à Addis-Abeba, Dakar, Nairobi et Pretoria.
Enseignant-chercheur au Centre d’études des religions (CER) de l’UFR Civilisations, Religions, Arts et Communication (CRAC) de l’UGB, Bakary Samb coordonne l’Observatoire des radicalismes et conflits religieux en Afrique (ORCRA).
Politologue et spécialiste des relations internationales, ses travaux portent spécifiquement sur l’évolution des sociétés du monde musulman, les rapports arabo-africains, la radicalisation et les réseaux transnationaux dans le Sahel. Il est par ailleurs chercheur principal de la European Foundation for Democracy (EFD), à Bruxelles, depuis 2009.
Dans ce cadre, M. Samb a publié, en juillet dernier, "Boko Haram, du problème nigérian à la menace régionale". Une thématique qui trouve prolongation dans ses recherches sur sur la construction des identités religieuses des jeunes entre le local et le global.
Cette perspective l’a amené à s’intéresser naturellement aux "processus de basculement des jeunes vers la radicalisation", ce qui en fait "l’un des experts les plus avisés sur les risques liés à l’extrémisme violent et à sa prévention", indique le journal.
Auteur d’un essai paru il y a quatre ans, sous le titre "Islam et diplomatie : la politique africaine du Maroc", Bakary Samb vient de fonder Timbuktu Institute-African Center for Peace Studies, un think tank ouest-africain travaillant sur les différents aspects de l’extrémisme violent.
Cette structure de recherche ambitionne par ailleurs de promouvoir "les solutions préventives par l’éducation à la paix, le dialogue des cultures et des civilisations à travers l’Observatoire des radicalismes et conflits religieux en Afrique (ORCRA), installé maintenant à Dakar depuis décembre 2015".
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