L’ex-ministre d’Etat a saisi la tribune de « Débattre campagne » sur Dakaractu pour lever toute équivoque quant aux informations faisant état de l’existence, en messe basse, de négociations entre l’Alliance pour la République et l’Union des centristes du Sénégal (Ucs). « Il faut délier les choses. Il y a une séparation des pouvoirs. On a lancé des commissions rogatoires à travers le monde entier. On n’a vu aucune société et aucun compte bancaire m’appartenant. Quand les enquêteurs ont fait leurs conclusions, ma femme et moi avons été convoqués pour une nouvelle confrontation. Mon épouse a apporté les éclaircissements appropriés…. J’ai été audité. Je crois que les gens me font un mauvais procès. J’ai été interdit de sortie du territoire national pendant trois ans. Cela ne serait pas possible que je sois encore en liberté si j'avais commis un quelconque délit. Sur 25 personnalités poursuivies par la CREI, seuls Tahibou Ndiaye, Aïda Ndiongue, Karim Wade et moi-même avons défilé devant le juge d’instruction. Pour parler comme mon grand-frère Idrissa Seck, jusqu’à l’extinction du soleil, aucun centime de volé ne pourra jamais m’être reproché ».
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