Un phénomène inquiétant est en train de prendre de l’ampleur à Louga : des voitures hippomobiles communément appelées calèches circulent la nuit avec à leur bord des clients jusqu’au-delà de 22h voire 23h, sans aucun dispositif de lumière signalétique, exposant du coup leurs occupants à des risques d’accident de circulation pouvant leur coûter cher.
En effet, ces calèches peuvent être heurtées ou entrer en collision avec des véhicules faute de catadioptres et de lumière signalétique et provoquer ainsi l’irréparable.
Mais le plus incompréhensible et intolérable, c’est que ces calèches passent devant le commissariat de police et la brigade de gendarmerie situés en plein centre-ville, sans être inquiétées par ces forces de sécurité qui devaient sévir en immobilisant les voitures, avant de sanctionner leurs conducteurs (cochers) par une amende.
Ce qui au fil du temps réglerait ce problème surtout, a-t-on signalé à ce propos, qu’un arrêté interministériel conjoint de l’intérieur et de l’élevage réglementant la circulation de ces voitures hippomobiles existe bel et bien, mais les dispositions de cet arrêté ne sont jamais appliquées à Louga par les services régionaux chargés de son exécution, notamment la police et le service de l’élevage.
CORRESPONDANCE RÉGIONALE DE M'BARGOU DIOP.
En effet, ces calèches peuvent être heurtées ou entrer en collision avec des véhicules faute de catadioptres et de lumière signalétique et provoquer ainsi l’irréparable.
Mais le plus incompréhensible et intolérable, c’est que ces calèches passent devant le commissariat de police et la brigade de gendarmerie situés en plein centre-ville, sans être inquiétées par ces forces de sécurité qui devaient sévir en immobilisant les voitures, avant de sanctionner leurs conducteurs (cochers) par une amende.
Ce qui au fil du temps réglerait ce problème surtout, a-t-on signalé à ce propos, qu’un arrêté interministériel conjoint de l’intérieur et de l’élevage réglementant la circulation de ces voitures hippomobiles existe bel et bien, mais les dispositions de cet arrêté ne sont jamais appliquées à Louga par les services régionaux chargés de son exécution, notamment la police et le service de l’élevage.
CORRESPONDANCE RÉGIONALE DE M'BARGOU DIOP.
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