Le programme de développement de la Microfinance Islamique au Sénégal a initié un atelier de partage avec la direction générale des Impôts et Domaines sur les contours de la probable révision du code général des impôts afin de revoir le cadre fiscal de la microfinance islamique au Sénégal. Les deux parties réfléchissent sur la nécessité de réviser le code général des impôts et domaines en ses dispositions relatives aux opérations de finance islamique.
Ainsi Yaye Fatou Diagne, coordonnatrice nationale de Promise, souligne que « dans le commerce, les taxes doivent être payées par les consommateurs pour qu’elles soient ce qu’elles doivent être. Nous sommes dans la dynamique d’avoir les guichets uniques. C’est pour l’ouverture et la distribution des produits de la microfinance islamique afin que la loi puisse être changée. Nous rencontrons la DGID pour un que la loi soit adaptée à nos finances ».
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