Le Tribunal de grande instance de Mbour a rendu son jugement dans l’affaire des véhicules volés par C. Fall, retrouvés entre les mains de trois personnes, dont une esthéticienne et une hôtelière. Selon L’Observateur, M.N. Fall, esthéticienne de 33 ans, a été condamnée à six mois de prison avec sursis pour avoir acheté une Citroën volée auprès de son grand frère.
En revanche, M.N. Dièye, hôtelière de 53 ans, et Mb.L. Aïdara, commerçant, ont été relaxés par le tribunal. L’hôtelière a déclaré à la barre, comme le rapporte L’Observateur, avoir été trompée par C. Fall, un individu qu’elle croyait digne de confiance, et s’être présentée d’elle-même à la police lorsque le véhicule a été localisé à Malicounda.
L’enquête avait révélé que C. Fall avait volé deux véhicules loués à A.L. Mbaye, gérant d’un parking à Saly, pour un montant total de 1,45 million de FCfa restant dû après un acompte de 1,2 million. La Citroën avait été cédée par l’esthéticienne à un commerçant pour 2,7 millions de FCfa, tandis que la Kia Sportage avait été vendue à l’hôtelière pour 4 millions de FCfa.
Le tribunal, convaincu de la complicité de M.N. Fall, a appliqué la loi, tandis que les autres receleurs ont bénéficié de relaxes, faute de preuve de leur implication directe dans le vol initial.
En revanche, M.N. Dièye, hôtelière de 53 ans, et Mb.L. Aïdara, commerçant, ont été relaxés par le tribunal. L’hôtelière a déclaré à la barre, comme le rapporte L’Observateur, avoir été trompée par C. Fall, un individu qu’elle croyait digne de confiance, et s’être présentée d’elle-même à la police lorsque le véhicule a été localisé à Malicounda.
L’enquête avait révélé que C. Fall avait volé deux véhicules loués à A.L. Mbaye, gérant d’un parking à Saly, pour un montant total de 1,45 million de FCfa restant dû après un acompte de 1,2 million. La Citroën avait été cédée par l’esthéticienne à un commerçant pour 2,7 millions de FCfa, tandis que la Kia Sportage avait été vendue à l’hôtelière pour 4 millions de FCfa.
Le tribunal, convaincu de la complicité de M.N. Fall, a appliqué la loi, tandis que les autres receleurs ont bénéficié de relaxes, faute de preuve de leur implication directe dans le vol initial.