Belle et plantureuse - ajoutez-y la voix - celle qui troqua son nom de jeune fille contre le patronyme des Ndour, a tout pour plaire. Le talent de l’artiste n’est plus à discuter. Viviane peine cependant à se frayer un chemin sur le plan international. La voie vers "un ailleurs artistique meilleur" serait-elle parsemée de cram-crams ? Cherchons à identifier les plombs dans les "ailes" du Rossignol aux débuts pourtant prometteurs.
Viviane Chidid, il faut le rappeler, n’aura droit à aucune excuse si elle se trouvait (nous ne le lui souhaitons pas) dans l’impasse. Elle a atterri dans le milieu du show-biz avec une sacrée baraka. S’il faut ajouter à ce cadre optimal, pas toujours évident pour un début, un tant soit peu de talent – accordons-le-lui –, le résultat doit impérativement être au rendez-vous.
Il n’en est rien du tout. Elle occupe une place respectable certes, mais qui ne lui procure pas une stature de leader dans sa catégorie. D’ailleurs avec ses "collègues" chanteurs, c’est comme une partie de poker. C’est du "à toi, à moi" jusqu’à l’abattement total des cartes pour connaître le "Top" du moment. Ce qui est loin d’être une promenade de santé face à une pléthore d’artistes qui poussent comme des champignons dans un pays meurtri par les inondations et où on n’a presque plus le cœur à festoyer.
Loin de ce calvaire lié aux intempéries, la Vivi, elle, se dandine tranquillement dans les rues de New York sans le minimum de protocole, laissée à elle-même, parfois en farniente dans certains clubs, si elle n’est pas dans les compagnonnages peu recommandables. Avec son staff, elle s’est engagée dans une campagne de "com" aux antipodes de toute éthique, en courant notamment derrière des distinctions qui n’ont aucune reconnaissance internationale pouvant booster la carrière d’un artiste. Après l’Afrotainment, la reine du Djolof Band, piquée par on ne sait quelle boulimie, a remis ça en polluant les réseaux sociaux de messages, pour solliciter, non pas de potentiels acheteurs de CD, dans la perspective de brandir un disque platine européen ou encore un Grammy Awards, mais plutôt des votes pour être classée au N.E.A (Nigerian Entertainment Awards). En quoi cette distinction peut-elle aider à obtenir une renommée ?
Cette obsession à vouloir à tout-va obtenir de quoi se déhancher dans les rues de Dakar et certainement pour faire des "jaloux", a finalement transformé notre star du "mbalax" en véritable dévergondée. Se faire photographier avec Viviane, c’est ce qu’il y a de plus banal sur la Toile. Il n’y qu’à jeter un coup d’œil sur les réseaux sociaux comme Facebook, pour se rendre compte du degré de banalité avec lequel les internautes s’y prennent. Tous ou presque ont une photo (bras- dessus, bras- dessous) avec l’ex femme de Bouba.
Pendant ce temps, les membres du groupe peinent à trouver la queue du diable. Certains musiciens comme le percussionniste Bakane Seck sont obligés de se taper des piges dans tous les sens pour s’en sortir.
Guelewar.com
Viviane Chidid, il faut le rappeler, n’aura droit à aucune excuse si elle se trouvait (nous ne le lui souhaitons pas) dans l’impasse. Elle a atterri dans le milieu du show-biz avec une sacrée baraka. S’il faut ajouter à ce cadre optimal, pas toujours évident pour un début, un tant soit peu de talent – accordons-le-lui –, le résultat doit impérativement être au rendez-vous.
Il n’en est rien du tout. Elle occupe une place respectable certes, mais qui ne lui procure pas une stature de leader dans sa catégorie. D’ailleurs avec ses "collègues" chanteurs, c’est comme une partie de poker. C’est du "à toi, à moi" jusqu’à l’abattement total des cartes pour connaître le "Top" du moment. Ce qui est loin d’être une promenade de santé face à une pléthore d’artistes qui poussent comme des champignons dans un pays meurtri par les inondations et où on n’a presque plus le cœur à festoyer.
Loin de ce calvaire lié aux intempéries, la Vivi, elle, se dandine tranquillement dans les rues de New York sans le minimum de protocole, laissée à elle-même, parfois en farniente dans certains clubs, si elle n’est pas dans les compagnonnages peu recommandables. Avec son staff, elle s’est engagée dans une campagne de "com" aux antipodes de toute éthique, en courant notamment derrière des distinctions qui n’ont aucune reconnaissance internationale pouvant booster la carrière d’un artiste. Après l’Afrotainment, la reine du Djolof Band, piquée par on ne sait quelle boulimie, a remis ça en polluant les réseaux sociaux de messages, pour solliciter, non pas de potentiels acheteurs de CD, dans la perspective de brandir un disque platine européen ou encore un Grammy Awards, mais plutôt des votes pour être classée au N.E.A (Nigerian Entertainment Awards). En quoi cette distinction peut-elle aider à obtenir une renommée ?
Cette obsession à vouloir à tout-va obtenir de quoi se déhancher dans les rues de Dakar et certainement pour faire des "jaloux", a finalement transformé notre star du "mbalax" en véritable dévergondée. Se faire photographier avec Viviane, c’est ce qu’il y a de plus banal sur la Toile. Il n’y qu’à jeter un coup d’œil sur les réseaux sociaux comme Facebook, pour se rendre compte du degré de banalité avec lequel les internautes s’y prennent. Tous ou presque ont une photo (bras- dessus, bras- dessous) avec l’ex femme de Bouba.
Pendant ce temps, les membres du groupe peinent à trouver la queue du diable. Certains musiciens comme le percussionniste Bakane Seck sont obligés de se taper des piges dans tous les sens pour s’en sortir.
Guelewar.com