Les entreprises sénégalaises font face à des risques bien que la zone de libre-échange leur présente des opportunités, a fait savoir Aminata Assome Diatta, ministre du commerce, des petites et moyennes entreprises. C’est dans ce sens, dit-elle, qu’ils (les dirigeants) ont senti la nécessité de permettre aux pays membres du Zlécaf de tirer profit de l’accord établissant la zone de libre-échange.
Le ministre du commerce qui procédé à la validation de la stratégie nationale pour la mise en œuvre de la zone de libre-échange continentale africaine (Zlécaf) est revenu sur les axes fondamentaux constituant le document stratégique. À l’en croire, le Sénégal ambitionne de devenir un pays industrialisé. «La principale cible pour nous c’est l’industrialisation, mais aussi de faire en sorte que nos entreprises puissent intégrer davantage le marché africain qui absorbe environ 40% de nos produits», dira-t-elle.
Poursuivant, Aminata Assome Diatta souligne l’importance pour le Sénégal de marquer sa présence dans les autres pays africains en dehors de ceux de la CEDEAO afin de lui permettre de tirer son épingle du jeu.
Le vice-président du conseil national du patronat, Amadou Seck, a quant à lui souligné l’importance pour le secteur privé de se mobiliser et de travailler en synergie avec l’action gouvernementale pour tirer profit des zones de libre-échange (un milliard deux cents millions d’habitants avec un PIB de plus de 2500 milliards de dollars).
Selon Amadou Seck, plus de ressources sont attendus pour le secteur de la mise à niveau (…). «Tous ce qui est dumping, barrière tarifaire, règle d’origine entre autres nous y avons travaillé. Les groupes de travail qui ont été énumérés ont pris en compte tous ces aspects qui feront de l’entreprise sénégalaise le fer de lance de la zone de libre échange »...
Le ministre du commerce qui procédé à la validation de la stratégie nationale pour la mise en œuvre de la zone de libre-échange continentale africaine (Zlécaf) est revenu sur les axes fondamentaux constituant le document stratégique. À l’en croire, le Sénégal ambitionne de devenir un pays industrialisé. «La principale cible pour nous c’est l’industrialisation, mais aussi de faire en sorte que nos entreprises puissent intégrer davantage le marché africain qui absorbe environ 40% de nos produits», dira-t-elle.
Poursuivant, Aminata Assome Diatta souligne l’importance pour le Sénégal de marquer sa présence dans les autres pays africains en dehors de ceux de la CEDEAO afin de lui permettre de tirer son épingle du jeu.
Le vice-président du conseil national du patronat, Amadou Seck, a quant à lui souligné l’importance pour le secteur privé de se mobiliser et de travailler en synergie avec l’action gouvernementale pour tirer profit des zones de libre-échange (un milliard deux cents millions d’habitants avec un PIB de plus de 2500 milliards de dollars).
Selon Amadou Seck, plus de ressources sont attendus pour le secteur de la mise à niveau (…). «Tous ce qui est dumping, barrière tarifaire, règle d’origine entre autres nous y avons travaillé. Les groupes de travail qui ont été énumérés ont pris en compte tous ces aspects qui feront de l’entreprise sénégalaise le fer de lance de la zone de libre échange »...
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