
Un peuple uni et indivisible ! C’est ce que la classe politique veut faire savoir au promoteur de lutte, Gaston Mbengue, sorti dans une émission à Walfadji en lançant des propos dépréciatifs. Le mal semble être profond d’autant plus que les réseaux sociaux ont amplifié la distribution de cette information qui a fini par créer l’indignation dans la classe politique.
Dans cette vidéo virale qui a fait désormais le tour des plateformes digitales très fréquentées par les jeunes, on aperçoit clairement que le promoteur de lutte fait une analyse sur la situation sociale liée notamment aux préparatifs des élections locales. Gaston Mbengue qui disait clairement que des gens dans l’opposition encouragent la violence. C’est le cas, selon Gaston, de Barthélémy Dias. « Nous sommes tous des sénégalais. Mais cette famille Dias est minoritaire. Si on les brûlait cela ne se fera pas ressentir par rapport aux autres familles majoritaires dans ce pays ». Tels étaient les propos avancés par celui qui a fait ce lundi la plupart des Unes des quotidiens. Ces propos sont-ils de trop? Était-il obligé, même s’il est avec le régime de Macky Sall, de sortir ces propos qui peuvent affecter la cohabitation qui est jusque là, très huilée entre les différentes couches religieuses, sociales et culturelles?
En revanche, il est clair que les interventions regrettant cette bévue semblent toutes signifier au promoteur de lutte que : « Ces genres de propos ne collent pas avec les réalités du pays ». Ousmane Sonko, Thierno Alassane Sall, Khalifa Ababacar Sall, Soham El Wardini et la société civile ont livré leur part de vérité qui est à la limite, partagée par les sénégalais, outrés.
Il n’en demeure pas moins que contexte dans lequel nous nous trouvons est assez tendu pour soulever ce genre de propos qui peuvent affecter la cohésion sociale et le vivre-ensemble. Au moment où le cadre unitaire de l’Islam et d’autres couches de la société civile soucieux d’installer un climat social apaisé dans un contexte politico-social délicat, se lancent dans des initiatives de conciliation, le pays n’a pas besoin d’un élément qui pourrait mettre le feu aux poudres.
En effet, ces propos jugés ethnicistes sont la goutte d’eau qui a fait déborder le vase même si, rappelons-le, Gaston Mbengue a fait l’objet d’attaques même de certains lutteurs qui se plaignaient de son traitement. Fallait-il atteindre ce niveau dans le seul but de défendre le régime en place? Avait-il besoin de passer par cette considération « Ethnique et sensible » pour se faire comprendre et donner sa lecture politique dénonciatrice au regard des actes posés par l’opposition?
Gaston Mbengue ne désiste pas malgré ces critiques. Dans une vidéo postée par un site de la place, il maintient ses propos même s’il considère qu’il a été plus ou moins incompris.
Dans cette vidéo virale qui a fait désormais le tour des plateformes digitales très fréquentées par les jeunes, on aperçoit clairement que le promoteur de lutte fait une analyse sur la situation sociale liée notamment aux préparatifs des élections locales. Gaston Mbengue qui disait clairement que des gens dans l’opposition encouragent la violence. C’est le cas, selon Gaston, de Barthélémy Dias. « Nous sommes tous des sénégalais. Mais cette famille Dias est minoritaire. Si on les brûlait cela ne se fera pas ressentir par rapport aux autres familles majoritaires dans ce pays ». Tels étaient les propos avancés par celui qui a fait ce lundi la plupart des Unes des quotidiens. Ces propos sont-ils de trop? Était-il obligé, même s’il est avec le régime de Macky Sall, de sortir ces propos qui peuvent affecter la cohabitation qui est jusque là, très huilée entre les différentes couches religieuses, sociales et culturelles?
En revanche, il est clair que les interventions regrettant cette bévue semblent toutes signifier au promoteur de lutte que : « Ces genres de propos ne collent pas avec les réalités du pays ». Ousmane Sonko, Thierno Alassane Sall, Khalifa Ababacar Sall, Soham El Wardini et la société civile ont livré leur part de vérité qui est à la limite, partagée par les sénégalais, outrés.
Il n’en demeure pas moins que contexte dans lequel nous nous trouvons est assez tendu pour soulever ce genre de propos qui peuvent affecter la cohésion sociale et le vivre-ensemble. Au moment où le cadre unitaire de l’Islam et d’autres couches de la société civile soucieux d’installer un climat social apaisé dans un contexte politico-social délicat, se lancent dans des initiatives de conciliation, le pays n’a pas besoin d’un élément qui pourrait mettre le feu aux poudres.
En effet, ces propos jugés ethnicistes sont la goutte d’eau qui a fait déborder le vase même si, rappelons-le, Gaston Mbengue a fait l’objet d’attaques même de certains lutteurs qui se plaignaient de son traitement. Fallait-il atteindre ce niveau dans le seul but de défendre le régime en place? Avait-il besoin de passer par cette considération « Ethnique et sensible » pour se faire comprendre et donner sa lecture politique dénonciatrice au regard des actes posés par l’opposition?
Gaston Mbengue ne désiste pas malgré ces critiques. Dans une vidéo postée par un site de la place, il maintient ses propos même s’il considère qu’il a été plus ou moins incompris.
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