La coordination des amicales établie à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad) milite pour la sauvegarde de l'année et la continuité des activités pédagogiques.
Ladite coordination qui se dit consciente du quotidien des étudiants sur le plan pédagogique ainsi que sociale, « exige une reprise sans discrimination aucune ou du moins avec une discrimination à la limite positive ».
Les étudiants ont fustigé la démarche qu’ils considèrent «unilatérale et le forcing» dont les autorités universitaires font montre dans le cadre de la reprise avant de rappeler les stratégies sur lesquelles ils ont travaillé durant la suspension des cours afin de sauver l'année scolaire.
Sur ce, il a été prévu « un retour global permettant aux étudiants à tous les niveaux de faire des cours en présentiel et organiser les examens de septembre à décembre. Soit quatre mois pour remplir le quantum horaire afin de mettre les étudiants dans des conditions optimales d’évaluation ».
« Lors d'une rencontre tenue le 22 Août 2020 avec le médiateur et le directeur des affaires pédagogiques, un plan de reprise graduel a été libellé comme suit : master 1 et L3 soit 25% de l’effectif des étudiants suivront les cours en présentiel du 1er septembre au 15 octobre. Le reste, L1, L2 et M2 suivront parallèlement les cours en ligne pendant cette période. Un tel plan a été soumis à notre réflexion à titre informatif et en préparation de l'assemblée de l'université prévue le mercredi 26 août 2020 », explique-t-il.
La coordination se dit surprise, car le plan n’était pas une proposition mais plutôt une décision unilatérale et un forcing de la part des autorités universitaires. Cette décision, précise la coordination, si toutefois elle passe, va sacrifier la masse estudiantine la plus vulnérable sur le plan pédagogique.
À cet effet, les étudiants réunis autour de ladite amicale dénonce cette forfaiture et promet de la combattre par tous les moyens.
Ladite coordination qui se dit consciente du quotidien des étudiants sur le plan pédagogique ainsi que sociale, « exige une reprise sans discrimination aucune ou du moins avec une discrimination à la limite positive ».
Les étudiants ont fustigé la démarche qu’ils considèrent «unilatérale et le forcing» dont les autorités universitaires font montre dans le cadre de la reprise avant de rappeler les stratégies sur lesquelles ils ont travaillé durant la suspension des cours afin de sauver l'année scolaire.
Sur ce, il a été prévu « un retour global permettant aux étudiants à tous les niveaux de faire des cours en présentiel et organiser les examens de septembre à décembre. Soit quatre mois pour remplir le quantum horaire afin de mettre les étudiants dans des conditions optimales d’évaluation ».
« Lors d'une rencontre tenue le 22 Août 2020 avec le médiateur et le directeur des affaires pédagogiques, un plan de reprise graduel a été libellé comme suit : master 1 et L3 soit 25% de l’effectif des étudiants suivront les cours en présentiel du 1er septembre au 15 octobre. Le reste, L1, L2 et M2 suivront parallèlement les cours en ligne pendant cette période. Un tel plan a été soumis à notre réflexion à titre informatif et en préparation de l'assemblée de l'université prévue le mercredi 26 août 2020 », explique-t-il.
La coordination se dit surprise, car le plan n’était pas une proposition mais plutôt une décision unilatérale et un forcing de la part des autorités universitaires. Cette décision, précise la coordination, si toutefois elle passe, va sacrifier la masse estudiantine la plus vulnérable sur le plan pédagogique.
À cet effet, les étudiants réunis autour de ladite amicale dénonce cette forfaiture et promet de la combattre par tous les moyens.
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