Le lancement de ce programme, initié par le rappeur Simon Kouka, s'est tenu au Centre Culturel de Tamba. C'était en présence de Simon, du DG de la Sicap, Mamadou Kassé, de M. Diallo, professeur de Mathématiques, venu représenter le Maire et des acteurs des Cultures Urbaines tels que Ibrahima Cissokho et Djibson Diwanji.
Avec le concept "Sakkú Fi" développé à Tamba (à chaque étape, il y aura un concept qui sera établi), le PDG du label Djolof 4 Life compte aller jusqu'au bout de ses intentions : "Inciter les Sénégalais à consommer local. Nous avons au Sénégal des artisans qui abattent un travail énorme sur la production de chaussures, sacs et toutes autres formes d'accessoires. Nous sommes venus lancer une campagne pour dire à nos concitoyens d'acheter des chaussures et sacs produits par nos artisans. Sur le plan économique, la consommation de produits locaux sera gagnant-gagnant dans les deux côtés : les artisans eux-mêmes et l’État du Sénégal. D'après les statistiques, 4,5 millions de babouches (marakiss) produits par d'autres pays, sont achetés par les Sénégalais. Ce qui ferait une affaire juteuse, si le pays bénéficiait de cette manne financière. "Alors, au lieu d'aller booster l'économie d'un autre pays, on ferait mieux d'utiliser les produits faits par nos propres artisans", a dit Simon Kouka.
Le lancement du programme ne compte pas s'arrêter à Tamba car la campagne de sensibilisation se fera dans toutes les régions du Sénégal...
Avec le concept "Sakkú Fi" développé à Tamba (à chaque étape, il y aura un concept qui sera établi), le PDG du label Djolof 4 Life compte aller jusqu'au bout de ses intentions : "Inciter les Sénégalais à consommer local. Nous avons au Sénégal des artisans qui abattent un travail énorme sur la production de chaussures, sacs et toutes autres formes d'accessoires. Nous sommes venus lancer une campagne pour dire à nos concitoyens d'acheter des chaussures et sacs produits par nos artisans. Sur le plan économique, la consommation de produits locaux sera gagnant-gagnant dans les deux côtés : les artisans eux-mêmes et l’État du Sénégal. D'après les statistiques, 4,5 millions de babouches (marakiss) produits par d'autres pays, sont achetés par les Sénégalais. Ce qui ferait une affaire juteuse, si le pays bénéficiait de cette manne financière. "Alors, au lieu d'aller booster l'économie d'un autre pays, on ferait mieux d'utiliser les produits faits par nos propres artisans", a dit Simon Kouka.
Le lancement du programme ne compte pas s'arrêter à Tamba car la campagne de sensibilisation se fera dans toutes les régions du Sénégal...
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