À l’occasion de l’atelier de validation nationale de la lettre politique sectorielle de développement de l’élevage (LOSDEL 2022-2026) et aussi la présentation de celle 2017-2022), le ministre de l’Élevage et de la Protection animale, dans un discours ferme, a dénoncé les accusations de spéculation mises sur le dos des éleveurs.
« Nous sénégalais devront les prendre comme tout autre acteur économiques et qu’on les paie à la juste valeur de leur travail. Ce n’est pas possible qu’un éleveur engraisse son mouton à coup de milliers de francs, d’aliment de bétail dont le prix ne cesse de grimper, avec toutes ses charges, pour venir les brader. Il faudrait que nous sénégalais, consommateurs qu’on puisse comprendre que les éleveurs méritent plus de considération à la hauteur de leur importance dans ce pays », dira-t-il.
Toutefois, il rappelle que « l’année passée nous avions trouvé sur le marché des moutons dont les prix ont oscillé de 65.000 f à N prix. Il n’y a pas de spéculation, il faut appeler les choses telles qu’elles sont. Les éleveurs sont des opérateurs économiques. Sans eux, il n’y a pas point de mouton, il n’y a pas point de viande tout le long de l’année. Ils sont des opérateurs qui ont des charges, nourrissent le bétail », conclut le ministre de l’Élevage.
« Nous sénégalais devront les prendre comme tout autre acteur économiques et qu’on les paie à la juste valeur de leur travail. Ce n’est pas possible qu’un éleveur engraisse son mouton à coup de milliers de francs, d’aliment de bétail dont le prix ne cesse de grimper, avec toutes ses charges, pour venir les brader. Il faudrait que nous sénégalais, consommateurs qu’on puisse comprendre que les éleveurs méritent plus de considération à la hauteur de leur importance dans ce pays », dira-t-il.
Toutefois, il rappelle que « l’année passée nous avions trouvé sur le marché des moutons dont les prix ont oscillé de 65.000 f à N prix. Il n’y a pas de spéculation, il faut appeler les choses telles qu’elles sont. Les éleveurs sont des opérateurs économiques. Sans eux, il n’y a pas point de mouton, il n’y a pas point de viande tout le long de l’année. Ils sont des opérateurs qui ont des charges, nourrissent le bétail », conclut le ministre de l’Élevage.
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