
Le rapport de l’Inspection générale d’État a décelé des scandales dans le recrutement de certains agents de santé dans les établissements publics sanitaires.
De nombreux manquements et irrégularités ont été relevés aussi bien en ce qui concerne les conditions de recrutement, qu’en ce qui concerne la gestion des différentes catégories de personnel.
En effet, dans nombre de structures de santé, des recrutements sont effectués sans création préalable de postes budgétaires. On assiste à l’application de statuts et de grilles salariales disparates, facteurs de conflits sociaux. Il s’y ajoute un personnel dit communautaire, régi par des contrats à durée déterminée, parfois plusieurs fois renouvelés, en violation des dispositions du code du travail. Il résulte que la gestion des rémunérations n’obéit pas à des critères d’équité et ne se réfère ni à une grille salariale pertinente, ni à l’ancienneté des agents.
À Kaffrine, il est constaté un sureffectif, notamment pour les contractuels ou les personnels irrégulièrement recrutés comme prestataire. Ils sont 49 sur les 79 agents. Par contre à l’hôpital Principal, il prévaut une insuffisance des spécialistes en pédiatrie et en psychiatrie. Et pis, dans les services des soins infirmiers, il est constitué d’une seule personne dont le profil ne correspond pas toujours à celui qui est prescrit par les textes. Dans certains cas, le responsable n’a manifestement pas les compétences nécessaires pour exercer sa mission.
De nombreux manquements et irrégularités ont été relevés aussi bien en ce qui concerne les conditions de recrutement, qu’en ce qui concerne la gestion des différentes catégories de personnel.
En effet, dans nombre de structures de santé, des recrutements sont effectués sans création préalable de postes budgétaires. On assiste à l’application de statuts et de grilles salariales disparates, facteurs de conflits sociaux. Il s’y ajoute un personnel dit communautaire, régi par des contrats à durée déterminée, parfois plusieurs fois renouvelés, en violation des dispositions du code du travail. Il résulte que la gestion des rémunérations n’obéit pas à des critères d’équité et ne se réfère ni à une grille salariale pertinente, ni à l’ancienneté des agents.
À Kaffrine, il est constaté un sureffectif, notamment pour les contractuels ou les personnels irrégulièrement recrutés comme prestataire. Ils sont 49 sur les 79 agents. Par contre à l’hôpital Principal, il prévaut une insuffisance des spécialistes en pédiatrie et en psychiatrie. Et pis, dans les services des soins infirmiers, il est constitué d’une seule personne dont le profil ne correspond pas toujours à celui qui est prescrit par les textes. Dans certains cas, le responsable n’a manifestement pas les compétences nécessaires pour exercer sa mission.
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