La Covid-19 ne cristallise plus toute l’attention des populations de Dakar. L’apparition, au cours de cette semaine, d'une maladie qualifiée de mystérieuse se manifestant par des éruptions cutanées a fini d’occuper les esprits. Au niveau de l’État, les autorités sont fortement mobilisées pour identifier le mal et éviter sa propagation. Et ce, malgré le fait que les sujets affectés sont isolés dans des zones où ils subissent des traitements. Mais, au même moment, l’inquiétude commence à gagner le cœur des populations. Une situation qui s’explique par le fait que toute la lumière n’est pas encore faite sur cette pathologie dermatologique.
C’est alors à se demander si cette maladie mystérieuse qui préoccupe ces derniers jours les autorités médicales, étatiques et administratives ne serait pas liée à ces drames écologiques. Une question qui tarde à trouver une réponse. Pour la simple raison que des phénomènes étranges ont été notés, ces trois derniers mois, sur la linéaire comprise entre Thiaroye/Mer et Popenguine.
Le plus récent de ces drames écologiques remonte au 9 novembre dernier. Cette date a la particularité d’avoir été marquée d’une pierre blanche par la mort de centaines de milliers de petits poissons au Marigot de Mbao. Le directeur de l’Environnement et des Etablissements classés (Deec), Baba Dramé, accompagné de ‘’Urgences Environnement'' qui avait fait le déplacement sur les lieux pour constater la situation et en définir les causes avait relevé la nécessité des investigations.
C’est aussi le cas à Toubab Dialaw, une localité du département de Rufisque située sur la Petite-Côte, entre Bargny et Popenguine où plusieurs milliers de poissons ont été retrouvés morts sur la plage. Un drame écologique qui s’est produit le dimanche 30 août dernier mais qui n’a suscité aucune réaction officielle des autorités. Une affaire vite étouffée.
Le président de l'Association Nebeday est l’une des rares personnes à avoir réagi, en son temps, pour déplorer les dégâts enregistrés ce jour-là. Contacté par Dakaractu, Jean Goepp avait affirmé avoir constaté l’hécatombe non seulement sur la plage de Toubab Dialaw mais au moins sur trois kilomètres. Il est à la tête de cette structure créée en 2011 qui œuvre dans le domaine de la protection et de la valorisation des ressources naturelles. D’ailleurs, indique-t-il pour le regretter, cette surmortalité était visible jusqu’à la plage de Ndayane.
C’est alors à se demander si cette maladie mystérieuse qui préoccupe ces derniers jours les autorités médicales, étatiques et administratives ne serait pas liée à ces drames écologiques. Une question qui tarde à trouver une réponse. Pour la simple raison que des phénomènes étranges ont été notés, ces trois derniers mois, sur la linéaire comprise entre Thiaroye/Mer et Popenguine.
Le plus récent de ces drames écologiques remonte au 9 novembre dernier. Cette date a la particularité d’avoir été marquée d’une pierre blanche par la mort de centaines de milliers de petits poissons au Marigot de Mbao. Le directeur de l’Environnement et des Etablissements classés (Deec), Baba Dramé, accompagné de ‘’Urgences Environnement'' qui avait fait le déplacement sur les lieux pour constater la situation et en définir les causes avait relevé la nécessité des investigations.
C’est aussi le cas à Toubab Dialaw, une localité du département de Rufisque située sur la Petite-Côte, entre Bargny et Popenguine où plusieurs milliers de poissons ont été retrouvés morts sur la plage. Un drame écologique qui s’est produit le dimanche 30 août dernier mais qui n’a suscité aucune réaction officielle des autorités. Une affaire vite étouffée.
Le président de l'Association Nebeday est l’une des rares personnes à avoir réagi, en son temps, pour déplorer les dégâts enregistrés ce jour-là. Contacté par Dakaractu, Jean Goepp avait affirmé avoir constaté l’hécatombe non seulement sur la plage de Toubab Dialaw mais au moins sur trois kilomètres. Il est à la tête de cette structure créée en 2011 qui œuvre dans le domaine de la protection et de la valorisation des ressources naturelles. D’ailleurs, indique-t-il pour le regretter, cette surmortalité était visible jusqu’à la plage de Ndayane.
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